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Bianca Beauchamp : Des pis pas vrais !

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Ceux, qui à force d’avoir fait leurs courses chez Bois & Chiffons, se sont retrouvés, au final, chez Cuirs & Latex, ne connaissent qu’elle, car elle est le modèle fetish par excellence. Mais, avant-tout, elle est devenue incontournable grâce à ses pare-chocs de compétition légendaires…

Elle ne sera jamais passée au porno. Mais peut-être qu’au bout de sept ans de réflexion…

Bianca Beauchamp ! Son nom fleure bon le latex, puisqu’elle en est devenue l’une des porte-drapeaux. La Canadienne, qui arbore une tignasse rousse incendiaire, est connue dans le monde entier grâce aux shootings qu’elle a réalisés pour des sites tels que Playboy, Penthouse ou Heavy Rubber. Mais c’est son opulente poitrine, pour laquelle elle est quand même passée trois fois sur le billard, qui l’a rendue incontournable. Imaginez un peu. Lorsqu’elle commence sa carrière de modèle, elle arbore déjà un joli 85C, ce qui, entre nous, est tout à fait honorable. Mais cela ne lui suffit pas et après une première implantation de prothèses mammaires, elle passe un cran au dessus, atteignant un 90D, sans doute plus alléchant pour la gent masculine. Toujours insatisfaite, elle décide un an plus tard de se faire regonfler les pneus pour atteindre un 85E. Et en 2009, nouvel arrêt aux stands ou l’on lui injecte 800CC de solution saline dans les cardans ! Elle reprend la course, non plus en arborant des slicks mais un 85H définitif.

Avec des obus pareils, difficile de passer inaperçue.

À présent que la jeune femme respire mieux, avec des poumons pareils le contraire serait malheureux, elle peut enfin se déchaîner dans sa passion, à savoir, le fétichisme du latex. Et d’ailleurs, elle posera à l’occasion de nombreux shootings pour le site Latexlair, le spécialiste du genre. Si, à la rédaction, nous avons un regret, c’est que la demoiselle n’a jamais osé franchir ce Styx qui sépare la photo de charme du hard. Car, si elle est apparue, de temps à autre, en train de se faire des « papouilles » ou autres « léchouilles » mammaires en compagnie d’autres modèles, plutôt bien équipés également, comme Aria Giovanni, la flamboyante Bianca n’a jamais souhaité s’asseoir sur le moindre chibre et encore moins en pomper, du moins, devant les flashs des photographes.

Une Lara Croft plus vraie que nature mais légèrement gênée aux entournures pour la grimpette.

Le plastique c’est fantastique !

Mais elle demeure avant tout la reine du latex. Pour combien de sets photographiques dédiés à ce fetish, aura-t-elle posé ? Un nombre incalculable. De l’outdoor, de préférence sur les plages de sable fin à l’infini ou dans les piscines de luxe de somptueuses villas, dans la mer des Caraïbes, et du latex en veux-tu en voilà. Si certains shootings peuvent être plus ou moins surprenants, personnellement, les masques à gaz de type Seconde Guerre mondiale ne m’ont jamais procuré le moindre effet érogène, il suffit qu’elle enfile une combi moulante pour faire rêver par ses formes. Et quand elle en dégrafe les premiers boutons pour faire jaillir ses obus, qui auraient pu figurer sous les ailes d’un Messerschmitt de la Luftwaffe, alors là… On reste coi.

Quelle que soit la tenue qu’elle porte, elle continue, malgré sa quarantaine assumée [enfin, depuis quelque temps on a l’impression qu’il n’y a pas que la poitrine qu’elle se sera fait refaire], d’exciter les mâles que nous sommes. C’est vrai qu’on irait bien faire un petit tour à Punta Cana en sa compagnie, histoire de lui passer un peu d’huile sur le corps afin que son bronzage soit parfait. Même si au final, avec elle, conclure… Faut pas rêver.

Pigiste globe-trotter, essentiellement pour la presse américaine.

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