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Le sperme : un antidépresseur ?

Dans une récente étude menée à l’Université d’Albany, un professeur de psychologie et son équipe ont constaté que l’absorption de sperme par le corps féminin est corrélée à une diminution des symptômes dépressifs. L’équipe scientifique a mené un programme d’enquêtes anonymes auprès de 300 femmes volontaires…
Chacune des participantes a dû répondre à un questionnaire concernant ses activités intimes, ce qui incluait fréquence des rapports, date du dernier rapport sexuel, état des relations, utilisation de contraceptif et fréquence de l’utilisation de préservatifs. Pour compléter l’étude, elles ont également dû compléter l’« Échelle de Beck », un test d’évaluation des symptômes dépressifs et portant le nom de son créateur, le Dr Aaron Temkin Beck, un psychiatre américain, professeur émérite à l’université de Pennsylvanie.
Ce BDI ou « Beck Depression Inventory », consiste en 21 propositions servant à mesurer la sévérité de la dépression clinique et, notamment, humeur, désespoir, irritabilité, sentiment de culpabilité, dégoût de soi, perte de poids, manque d’intérêt sexuel, retrait social, etc.
A chaque item, les participantes doivent sélectionner l’une des quatre propositions notées de 0 à 3 [3 étant correspondant à la proposition la plus négative de l’item. Si nous prenons, par exemple la première proposition, le choix devra se faire entre : 0 “Je ne me sens pas triste”, 1 “Je me sens cafardeux ou triste”, 2 “Je me sens tout le temps cafardeux ou triste et je n’arrive pas à en sortir”, 3 “Je suis si triste et si malheureux que je ne peux pas le supporter”]. Le score total du test peut atteindre 63 « points ». Bien évidemment, les scores les plus élevés révèlent un état dépressif des plus sérieux avec risque de tentative de suicide.
Lorsque l’équipe a comparé les scores du BDI des participantes à leurs habitudes sexuelles, celles qui utilisaient le plus souvent le préservatif se sont nettement démarquées.
Selon le psychologue à la tête de l’expérience, Gordon G. Gallup, les femmes qui n’utilisaient jamais de préservatifs lors des pénétrations, affichaient des scores nettement inférieurs au BDI par rapport à celles qui avaient toujours, ou l’habitude de faire porter une capote à leurs partenaires. En poussant un peu plus loin leurs recherches, l’utilisation du préservatif a pu être mise en corrélation avec les scores les plus négatifs au BDI des participantes.
Ils en sont arrivés à la conclusion suivante : usage du préservatif et symptômes dépressifs peuvent résulter d’une interaction biologique, car lors de la pénétration, les tissus internes de la femme absorbent les fluides produits par son partenaire masculin. Et il serait possible que l’humeur ou le sentiment dépressif puisse surgir en réponse à l’absence de cette absorption. La taille de l’échantillon utilisé lors de l’étude étant relativement faible, un certain nombre de questions sont restées sans réponse. Néanmoins, le Dr Gallup et son équipe ont estimé que le lien entre l’absence d’usage du préservatif et l’état anxio-dépressif méritait une enquête plus approfondie.
Il est bien évident que l’équipe de scientifiques a conseillé aux femmes de ne pas prendre ces résultats au pied de la lettre et qu’elle ne pouvait pas servir de motivation pour suspendre l’usage de la capote. Une déclaration a d’ailleurs été publiée pour rappeler à la population que l’utilisation du préservatif comme protection contre les infections sexuellement transmissibles et la prévention de la grossesse devait l’emporter sur toute tentative ultérieure d’exploitation de ces résultats.
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