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5 bonnes raisons de s’intéresser à Bunny Madison

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Bunny est une belle lapine dodue de 32 printemps qui a pointé le bout du museau il y a deux ans. Experte dans le maniement de la langue (de bois), cette belle blonde coche toutes les cases du point de vue professionnel. Ceci explique cela : malgré la forte concurrence sur le créneau encombré des femmes matures, elle taffe dur et beaucoup.

Parce qu’elle incarne un certain idéal

« Bunny est une performeuse très solide avec un corps athlétique incroyable ». L’acteur Ramon Nomar en a vu passer, des starlettes, mais il ne tarit pas d’éloges sur la native de Saint-Paul, dans le Minnesota. À 32 ans, cette esthéticienne de formation est au top de sa beauté. La longue crinière blonde est dans les canons. Le nez aquilin lui donne un max de caractère et son sourire est large et carnassier. Toutefois, c’est son corps qui fait office de juge de paix et met tout le monde d’accord. Elle a ainsi recalibré sa poitrine sur un 95E massif et bien rond. Sous la ceinture, elle affiche une paire de fesses digne de Cardi B. Du haut de son 1m63 pour 57 kilos, Bunny Madison est une performeuse bien charpentée et juste assez voluptueuse pour plaire au commun des mortels.

Parce qu’elle refuse de shooter en POV

À la fin des années 80, Seymore Butt réalise les premiers cadrages en gonzo et en Point of View, mais il les mixe avec des plans plus classiques où on le reconnait aisément. Trente ans plus tard, les scènes en POV intégral sont légion sans qu’on sache qui se cache derrière la queue. Et ça, Bunny n’aime pas. « Je ne tourne plus avec ceux qui ne montrent pas leur visage ou en POV. C’est une décision personnelle », explique-t-elle sur Twitter. Si elle reste évasive sur ses motivations, il serait salutaire que d’autres suivent son exemple. Trop de faux acteurs et producteurs se prennent pour des performers sans assumer d’être reconnu et le (très) relatif sentiment d’anonymat peut dériver vers un sentiment d’impunité. Niveau professionnalisme, Madison montre donc une bonne raison de s’intéresser à elle.

Parce que son derrière est une double-voie

Bunny n’est pas un diesel, pas besoin de préchauffage : dès ses premières apparitions sur les plateaux début 2022, elle a envoyé direct de la bonne grosse sodomie, comme si elle faisait ça tous les jours. Et c’est visiblement le cas. « Je n’ai jamais rien appris au niveau sexuel, explique-t-elle pour le site Mylf. Tout est toujours arrivé naturellement. Je ne me suis jamais imposée de faire des choses dont je n’avais pas envie. Pour l’anal, c’est la clé. J’aime me faire prendre par derrière dans ma vie intime. Je n’ai pas besoin de conditionnement mental. Si c’était le cas, je me sentirais obligée. Ce serait horrible et le résultat affreux ». Au contraire, le rendu visuel est quasi-clinique, y compris lorsqu’elle livre son fondement à des acrobaties chez Evil Angel. Bunny est définitivement une Gape Queen.

 

Parce qu’elle mène une vie rangée en dépit de son statut 

« Nous jouons un rôle sur le théâtre de la vie, mais nous ne devons pas nous identifier à ce rôle ». Bunny applique à la lettre les préceptes de Sri Ramana Maharshi, grand sage hindou : ce qu’elle est à l’image ne reflète en rien ce qu’elle est dans la vie. « Je veux une vie privée simple et tranquille, lâche-t-elle sur Twitter. C’est pour cette raison que je poste ma chatte et mon trou du cul partout sur le net ». Sur les rares publications où Bunny lève le voile sur sa vie intime, on la voit flanquée d’un petit chien. Nulle trace d’un homme ou d’une femme ce qui explique peut-être que la trentenaire ait la liberté pour réaliser autant de contenus homemade.  

Parce qu’elle pourrait bien être la nouvelle Cherie DeVille 

Le parcours de Bunny Madison est des plus classiques : modèle fetish, réseaux sociaux et OF. La constitution d’une fanbase a encouragé cette ancienne esthéticienne à passer à l’étape supérieure, le porn professionnel, où « aucun jour ne ressemble à un autre », lâche-t-elle dans un élan de joie. « Ceux qui n’ont pas encore tourné avec elle ne savent pas ce qu’ils ratent. C’est une performeuse fabuleuse et un plaisir de l’avoir sur un set », témoigne quant à lui le réalisateur Mike Quasar. Comme à l’accoutumée avec les milfs aux gros seins, Brazzers fut le premier gros studio à mettre la main dessus pour empiler les scènes, dont une avec Cherie DeVille et un plombier bienheureux. Entre la débutante et la légende, point de jalousie, la mayonnaise a pris. Outre leur ressemblance physique, elles sont toutes deux anal addicts et portées sur les orgies. DeVille est de surcroît connue pour sa bienveillance à l’égard des nouvelles venues, chose rare dans l’industrie. À 45 ans et après 1 500 scènes, Cherie est un oracle du porno et au-dessus de la mêlée.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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