Bio/Milieu du X
Aspen Ora : « Je suis toujours défoncée »

Une sylphide de 1m76, ex-prof de snowboard et qui réclame qu’on l’encule ? Si, si, elle existe et s’appelle Aspen Ora. En plus, les gros sticks, c’est sa came. Reste plus qu’à composer avec son gros caractère, pour rester poli…
LVDX : Aspen, lorsqu’on regarde tes scènes, on se dit que l’anal, c’est une obsession chez toi, non ?
Aspen Ora : Non, mais je le fais pour deux bonnes raisons. La première est que c’est la manière la plus sûre pour que je m’éclate au lit et la seconde est simplement parce qu’on me le demande à chaque fois. Pourquoi refuserais-je quelque chose qui est bon ?
La drogue aussi c’est bon, ce n’est pas pour ça qu’il faut en prendre…
Mais le sexe, c’est naturel ! L’anal a toujours fait parti de ma sexualité. Je n’ai pas de pudeur ou de tabou avec mon cul. Et puis en terme de drogue, c’est la meilleure que je connaisse avec un bon joint d’herbe. J’aime bien mélanger les deux.
Quel effet ça fait de se faire enculer ?
Physiquement, c’est un peu comme lorsque tu as des courbatures et que tu te fais masser : douloureux mais tellement bon à la fois. Sinon, la principale sensation est dans la tête. Il y a l’idée que l’on ne s’appartient plus, un lâcher prise total, on oublie tout ce qu’il y a à côté et on ne sait plus où l’on se trouve.
Dans quel environnement as-tu grandi ?
Pour simplifier, je dis que je viens de Portland qui est la ville la plus connue de mon État, mais en fait j’ai grandi à deux pas du Mont Bachelor dans un village de 1000 habitants sous la neige six mois par an. La seule chose à faire pour éviter l’ennui, c’était du ski. Ça a sculpté mon corps, mais ça n’a pas fait gonfler mes seins !
Ton pseudo, Aspen, est-ce en référence à la station de sport d’hiver du Colorado ?
Exact, j’y ai travaillé en tant que monitrice de snowboard, mais quand j’ai débuté, j’avais pris le pris le nom de Naveen Ora. Naveen, c’est d’origine indienne. Ça signifie « nouveau ». Quant à « Ora », il symbolise mon esprit et le début d’un nouveau chapitre de ma vie qui correspondait au porno. Finalement, je suis revenue à la source pour ne garder que l’esprit de la neige.
Tu donnais des cours de snow ?
Oui et j’étais modèle photo à Aspen. Le plus drôle est que je posais pour des catalogues de marijuana. Dans le Colorado, c’est légal. J’avoue, je fume beaucoup, c’est un de mes vices. Quand je ne tourne pas, je passe mes journées à jouer à la PS4 en kiffant. Quoi qu’il arrive, je suis toujours défoncée !
Qu’est-ce qui t’a étonnée le plus en arrivant dans le porno un beau jour de 2014 ?
Moi-même en fait. J’ai découvert que face à une caméra, je me transformais au point que les gens qui me sont proches ne me reconnaîtraient pas. Je me concentre uniquement sur l’objectif. Ce n’est plus moi, je deviens une vraie chienne qui ne pense qu’à satisfaire tous ceux de l’autre côté de leur écran. Je crois être appréciée pour cela : je donne tout à l’image.
Comment s’est passée ta première expérience sexuelle ?
Un soir, j’ai taillé une pipe au capitaine de l’équipe de football de mon collège au milieu du terrain. Je crois que je n’ai jamais sucé avec autant d’adrénaline dans l’air. J’ai aimé être à genoux et me sentir une « vilaine fille ».
Hormis la sodomie, quels sont les trucs qui te font décoller ?
Qu’on me stimule le clito. Ça pourrait durer une journée si c’était possible ! J’aime bien être prise à quatre pattes aussi, être serrée fort, embrassée. Quand je suis super excitée, je peux même aller jusqu’à sucer les orteils de mon partenaire. C’est déjà arrivé.
Tu craques pour quel genre de mec ?
Les hommes poilus ! Sportifs et ouverts sur la nature aussi. J’aime les cheveux longs, le côté cool, no stress. J’ai du mal avec les prétentieux et les grandes gueules.
Avoir quelqu’un dans sa vie quand on est pornstar, est-ce compliqué ?
Moi, je ne suis avec personne ! Je suis mariée au porno, mariée au game ! Je suis une fille super indépendante. Je n’ai besoin d’aucun mec pour m’entretenir. J’avoue, j’aime l’argent, mais je me le fais moi-même. J’ai symbolisé ça en me faisant tatouer un dollar sur l’annulaire.
Ça explique aussi l’abondance de sodomies sur tes scènes, cela paye mieux…
En effet.
As-tu un trip sexuel qui te fasse fantasmer ?
Me faire prendre sur une grosse moto, à flanc de montagne avec le panorama devant moi. Ça peut paraître bêtement romantique, mais pas impossible, même si aucun mec ne me l’a encore proposé.
A quel détail peut-on voir que tu simules sur une scène ?
Je n’aime pas ta question, ça laisse supposer que je simule obligatoirement sur mes scènes alors que ce n’est jamais le cas pour la simple raison que c’est la caméra qui m’excite et pas la bite des mecs.
Ok… Pas d’autre question votre honneur !
Aspen Ora
Originaire de Portland (Oregon)
21 ans
1m76
58 kg
85 A
Filmographie sélective :
- The Lust of Us. A XXX Parody (Badoink)
- Ass Transit (Wicked Pictures)
- Anal Models 2 (Jules Jordan)
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