Bio/Milieu du X
Olivia Austin : « Faire de vous une Milf à 25 ans, c’est ridicule ! »

Ranger Olivia au rayon des antiquités serait injuste et réducteur. C’est la trentenaire que tout le X s’arrache. Et n’allez surtout pas lui rappeler qu’elle a l’âge d’être mère, elle vous assènerait ses melons en pleine poire.
LVDX : Olivia, pourquoi commencer une carrière porno à 26 ans ?
Olivia Austin : C’est un désavantage parce que j’étais à la limite d’être une Milf. Mais je n’ai jamais voulu ça, moi ! Ils essaient de faire de vous une Milf à 24 ou 25 ans, c’est juste ridicule. Ceci dit, ça fait longtemps que je sais que j’ai un démon à l’intérieur de moi. Je l’ai caché en étant une fille banale et sympa. Un jour, j’en ai eu marre et j’ai décidé d’assumer qui j’étais vraiment. J’aime le sexe et me montrer en train d’en faire. Après ma première scène, (NDLR : un POV pour Peter North), je me suis dit : « c’est ce pour quoi j’ai toujours été faite ».
Que faisais-tu avant le porno ?
Je suis née à Seattle, c’est là où j’ai grandi. Avant de faire du porno, j’ai passé trois ans entre l’Arizona et Las Vegas. J’étais un mélange de barmaid et de serveuse, des boulots où j’étais à moitié à poil ! J’ai toujours été très focalisée sur ma sexualité, c’est donc normal d’en arriver au porno.
À quel âge as-tu concrétisé pour la première fois ?
J’ai eu ma première expérience à 16 ans et demi. C’était avec un mec plus vieux, à l’arrière de son camion. C’était horrible, comme tout le monde la première fois, mais après je suis devenue une vraie salope.
Qu’appelles-tu une salope ?
J’étais une espèce de petite pute. Je me tapais toute l’équipe de foot, des trucs du genre. J’ai vite arrêté de compter le nombre de mecs que je me suis fait, mais j’ai été à bonne école !
Avant d’entrer dans le porno, étais-tu aussi délurée ?
En fait non, je suis restée investie quatre ans et demi dans une relation amoureuse et j’étais fidèle la plupart du temps. Une fois que c’était fini, je me suis remise à coucher à droite, à gauche.
Couchais-tu avec des filles avant le porno ?
Non, elles ne m’avaient jamais intéressées. Je ne pourrais jamais être dans une relation amoureuse avec une fille mais c’est fun de s’amuser avec.
Tu as un gros et beau cul, quelle est sa taille ?
Je fais un bon 38 et c’est 100 % naturel ! J’ai toujours eu un cul avec des courbes qui attiraient les mecs. Maintenant, le terme « big butt » est devenu tellement galvaudé… Tout le monde a recours à des implants ou des injections et assume d’avoir un « faux » cul.
En revanche, tes seins ont été refaits, c’est ça ?
Le problème est que j’étais une vraie « planche », mais avec un gros cul, c’est moche ! Il fallait rééquilibrer le haut et le bas. Je les ai donc refaits deux fois. La première à 19 ans. Ensuite, je me suis lancée dans des compétitions de fitness et de bikini. À 23 ans, j’ai eu envie de les augmenter encore.
Ton physique t’a-t-il souvent aidé à arriver à tes fins ?
Un max oui. Le pouvoir de la chatte est irréel. J’avais des tickets de concert gratuits, des chaussures, des vêtements, des trucs du genre. Je n’ai jamais eu besoin d’attendre et de faire la queue pour avoir ce que je veux.
Comment aimes-tu être prise ?
Tout dépend du mec. La taille ne compte pas, tout dépend de ce que tu fais de ton « engin ». Il faut s’adapter à ce que la nature t’a donné. Si ça dure longtemps, la levrette peut faire mal parce que ça rentre très profondément, mais dans d’autres situations, c’est génial !
Quels sont les films dont tu es fière ?
J’ai adoré bossé sur la parodie d’Anchorman, pour Digital Playground. C’est le premier gros film que j’ai fait et j’en voudrais plus de ce genre.
Quel genre d’homme t’attire ?
Je préfère les mecs plus vieux et plus expérimentés, mais j’ai une règle : qu’ils soient plus jeune que mon père !
Et quel âge a ton père ?
63.
Qu’est-ce qui te fait mouiller ?
Qu’on me parle avec des mots crus.
Au moins une fois par jour ! J’aime bien utiliser deux godes à la fois. Un sur le clito et un autre que j’enfonce dans la chatte.
Par le cul, c’est niet par contre…
Je n’ai rien contre mais je ne l’ai jamais fait qu’avec une seule personne dans ma vie et seulement quatre fois. Face à une caméra, c’est tellement différent de la vie privée. Il faut qu’il y ait une connexion et il faudrait que je me sente assez à l’aise et soumise à mon partenaire pour accepter. Avec toutes les positions imposées dans le porno, c’est tellement « scripté » qu’il est difficile de se relaxer.
Mates-tu du porno ?
Avant d’en faire, oui, je regardais beaucoup de SM, mais maintenant non. Ça fait trop bizarre de regarder baiser des gens que tu connais.
As-tu un fantasme que tu aimerais réaliser hors caméra ?
Oui, une double pénétration. Je sais, je ne fais pas d’anal, mais c’est pour cette raison que c’est un fantasme ! Je ne sais pas si je le ferais un jour mais j’ai entendu d’autres filles dire qu’un orgasme en DP est incomparable.
Que fais-tu de ton temps libre ?
J’aime la musculation et le fitness. Je pratique le crossfit trois à quatre fois par semaine. Ça m’épuise ! Sinon, j’aime « buller » avec Presley, mon bulldog anglais.
Quelle est la chose la plus perverse que tu aies faite ?
J’ai baisé d’une manière bien bestiale avec mon ex : gifles, crachats et tout ce genre de choses. Ensuite, dans la douche, il m’a enculée avant de se retirer et de me pisser dessus.
Sur ces belles paroles, Oliva, merci !
Olivia Austin
30 ans
Originaire de Seattle (USA)
1,70 m
54 kg
90 F
Filmo Sélective :
– Dirty Secrets (Digital Playground)
– Deep Throat This 70 (North Pole)
– Lexington Steele : Shades of Black (West Coast)
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