Actu/News
Vague de répression sur le X en Chine
En Chine, durant les derniers jours de mai, une répression féroce s’est abattue sur les distributeurs de X en réalité virtuelle.
C’est par le biais d’un rapport de Xinhua, l’agence de presse de la République Populaire de Chine, que l’Occident a appris l’arrestation d’une trentaine de vendeurs en ligne sur la dernière semaine de mai. Il leur est reproché d’avoir distribué gratuitement du contenu pour adultes en réalité virtuelle aux acheteurs de casque VR.
Quand les plateformes de vente en ligne dénoncent les distributeurs
Toujours selon Xinhua, l’Office National contre la Pornographie et les Publications Illégales a fait récemment cette déclaration : « Les plus grandes plateformes de e-commerce ont coopéré lors d’une enquête visant à filtrer les moteurs de recherches sollicités pour de la pornographie et à dénoncer ceux qui enfreignent la loi ». En gros, contrairement à la France et à la majorité des pays où l’internaute peut taper « blonde à gros nichons » dans Google, procéder à de telles recherches en Chine peut vous valoir de gros ennuis.
La deuxième opération de répression cette année
Ce n’est pas la première fois que les autorités chinoises procèdent à une opération de répression à grande échelle cette année. C’est ainsi que le plus grand détaillant en ligne chinois, Taobao, a empêché en février les acheteurs d’accéder à des casques de réalité virtuelle. Un rapport avait débusqué plusieurs propriétaires de magasins utilisant le porno comme matériel promotionnel.
La Chine n’aime pas le porno
Le porno est un domaine strictement prohibé depuis la création de la République Populaire de Chine, en 1949. Mais c’est en 1997, avec le développement d’internet et sa popularité montante, que les dirigeants du pays ont durci les règles concernant le X. Selon certains analystes, malgré une répression impitoyable, la Chine resterait un des plus grands pays consommateurs de X, même si c’est une information difficile à vérifier étant donné l’opacité du pays sur ces questions.
Pour mémoire, il faut rappeler qu’en 2004, les autorités promettaient la prison à vie à toute personne propriétaire d’un site pour adultes ayant enregistré plus de 250 000 clics, soit un nombre plutôt facile à atteindre pour un site de fesses. En 2009, lors d’une campagne policière de même nature, ce sont un peu moins de 1000 personnes qui ont été emprisonnées. Et en 2014, la police chinoise avait tapé encore plus fort, incarcérant plus de 30 000 personnes en deux mois, pour « utilisation ou diffusion » de matériel à caractère pornographique.
Selon les textes de loi, ceux qui contreviennent à la loi anti-porno risquent une condamnation allant d’une simple amende à la prison à vie. Dans les faits, les peines de prison sont courantes et peuvent facilement durer plus de dix ans. En septembre, ce sont quatre cadres de la société QVOD basée en Chine qui ont été condamnés à trois ans fermes de prison pour avoir hébergé, streamé et fait du profit avec du porno. Pour ceux d’entre vous qui, par pur hasard, liraient ces lignes entre trois photos sexy et deux vidéos de gang-bang : pensez-y. On n’apprécie jamais assez à sa juste valeur la liberté dont on peut disposer.
-
Actricesil y a 6 jours
Elly Clutch. Money Time
-
Actricesil y a 3 ans
Les plus gros seins du X
-
Acteursil y a 5 ans
Les plus grandes légendes du porno black
-
Actricesil y a 7 jours
Gianna Dior. On adore
-
Actricesil y a 5 ans
Les 20 Reines de l’anal
-
Acteursil y a 5 jours
[Vidéo #336] Doryann Marguet, pour le Meilleure et pour le Pire !
-
Actricesil y a 2 semaines
5 bonnes raisons de s’intéresser à Gia Derza
-
Actu/Newsil y a 2 ans
L’orgasme prostatique : mode d’emploi