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Bio/Milieu du X

Shane Blair : « Se servir d’un pénis n’est pas chose facile ! »

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Elle nous comprend. C’est la copine au nom bizarre qu’on aimerait tous avoir. Mais d’elle, on ne connaît que l’anatomie. Dommage, Shane Blair est bien plus qu’un cul. Remédions donc à cette regrettable lacune en entrant plus profondément dans l’univers de cette fille de la porte d’à côté, celle des toilettes où on la culbuterait.

LVDX : Comment étais-tu avant le porno ?

Shane Blair : Je suis restée pareille sauf j’assumais moins ce que je faisais avant. Au collège, j’étais très BCBG, mais je détestais l’école et tous mes amis avaient dans les 25 ans. J’étais aussi très open pour coucher. Je gardais même une liste de mes plans cul.

Tu matais du cul aussi ?

J’ai toujours regardé du porno, mais sans jamais savoir qui était dedans. Je connaissais les noms des gros studios, mais si j’ai rejoint le porno, c’est parce que j’aimais baiser, pas pour autre chose. Je ne m’attendais à rien d’ailleurs.

shane blair 3Qu’aimes-tu le plus dans le fait d’être une pornstar ?

De pouvoir être dans trois États différents pour trois évènements différents en moins de 24 heures. De fréquenter beaucoup de belles personnes aussi, physiquement et mentalement.

As-tu des affinités avec quelqu’un dans le business ?

Je ne suis pas certain de lui avoir déjà dit, mais Alexis Fawx est un peu ma maman porno. Elle est toujours là pour les conseils ou le café. Le mec que je préfère, c’est Ryan McLane. Il est vraiment bien fait. On dit aussi que je ressemble à Abigaïl Mac, mais je n’ai jamais tourné avec.

shane blair 1Que faut-il pour qu’une scène porno soit bonne ?

Une alchimie et un rythme commun. Il y a des choses qu’on peut difficilement expliquer. Avec certains sexes, ça ne colle pas, ni dans la forme, ni dans la fréquence. C’est presque hormonal, même les odeurs peuvent être déplaisantes. Si c’est le cas sur un tournage, j’essaie de ne rien montrer. Je reste pro. C’est la base.

Tu fais le tri… Certains hommes ne trouvent pas grâce à tes yeux ?

Pas du tout ! J’aime trop les mecs. Je suis une hétéro à 100 %. Après avoir porté un strap on sur une scène, les hommes ont gagné beaucoup de respect à mes yeux : se servir d’un pénis n’est pas une chose facile !

Tu mets des godes pour enculer les mecs ? On peut voir ça où ?

Non, c’était pour un tournage avec une autre actrice. Je ne suis pas bi mais j’ai quand même tourné avec des filles. C’était pour Kink. J’étais en combinaison de latex. L’univers du BDSM me fait mouiller. Dès que je rentre dans l’ambiance, je ne suis plus moi. Je peux devenir la dernière des chiennes ! Peut-être même devenir cruelle. Je ne sais pas quelles sont mes limites.

Les gens aiment savoir s’ils pourraient rentrer dans tes critères de sélection. Quels sont-ils ?

Faut que ça colle au niveau des centres d’intérêts et des objectifs. Je ne dois pas me sentir trop draguée ou je ne vais pas aimer. Les bruns aux yeux clairs partent avec un coup d’avance. En ce moment, j’ai ce qu’il faut, mais avec moi, ça ne dure jamais.

Pourquoi ?

Je suis une peste. Je sais me rendre insupportable. Les mecs craquent. C’est ma façon d’exprimer la lassitude. Je m’ennuie vite, je suis désolée. Je passe très rapidement à autre chose. La vie a tant de trésors à offrir.

Tu as de gros besoins ? Te branles beaucoup ?

Avec le temps, les hommes ont du mal à rester constant dans le plaisir qu’ils donnent et je ne suis pas bien si je n’ai pas de sexe régulièrement. Après tout, nous sommes conçus pour ça. Si je suis d’humeur joueuse, je peux me masturber à un feu rouge sans aucun problème. Il n’y a jamais de mauvais moment pour ça !

Si je te dis que tu es une girl next door, comment le prends-tu ?

C’est ce qu’on me dit sur chaque tournage. Je ne nourris aucun complexe. On peut s’identifier à moi et je trouve ça bien. Je suis comme tout le monde : j’adore le base ball, j’ai un physique naturel. Je viens de la campagne. Ça fait peu de temps que j’ai quitté le Colorado pour m’installer à Huntington Beach (NDLR : banlieue sud de L.A).

Que peut-on te souhaiter pour l’avenir ?

J’aimerais devenir une businesswoman qui s’est bâtie un nom avec ses performances.

Shane Blair

20 ans
Originaire de Colorado Springs
1m70
59 kg
90B

Filmo sélective :

– Social Media Sluts (Evil Angel)
– Faces Covered 2 (PornPros)
– Madam (Wicked Pictures)

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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