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Alina Lopez : « Squirter et avaler, je le fais avec plaisir »

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On prend les paris : ce sera la star de 2018. À 22 ans, Alina Lopez fait une entrée fracassante dans le X par la grâce d’un corps athlétique, un visage angélique et une voracité pantagruélique. Pas de hic, elle est faite pour qu’on la nique !

LVDX : Ton agent est extrêmement élogieux à ton égard, c’est rare de sa part…

Alina Lopez : Alors qu’avec moi, il n’est jamais content ! Mark Spiegler est quelqu’un de très important à mes yeux. Il est l’un des facteurs clés qui expliquent que mes débuts sont incroyables, comme dans un rêve. Je ne vis pas à Los Angeles et quand je décide de venir tourner, il fait le lien avec les studios pour qu’ils puissent me booker. Ça évite les déceptions et les impressions que je peux planter, alors que je ne suis tout simplement pas là. Que quelqu’un qui a une expérience pareille dans ce milieu croit autant en moi est très motivant. Je veux donner le meilleur de moi-même pour le remercier.

Comment es-tu entrée en contact avec le milieu du porno ?

Il suffit d’avoir deux grammes de cervelle. D’ailleurs, je m’amuse de voir des mecs envoyer des tweets aux pornstars pour savoir comment rentrer dans l’industrie… Je ne connaissais pas une seule personne de ce milieu avant d’y rentrer. J’avais zéro connexion, aucun plan, aucune idée de par où je devais commencer. Ça m’a seulement pris deux semaines de recherches et un coup de fil à deux agents pour trouver ma place et débuter. Si j’ai pu me débrouiller seule, les autres le peuvent aussi.

Tu as fait ta première scène en octobre, comment s’est-elle passée ?

C’était pour Blacked Raw et elle est restée mon plus beau souvenir. Jordan, l’acteur, mesure plus de 1m90 et sa queue m’a limée tout en profondeur. Il était si puissant, si viril que je ne pouvais rêver meilleur première fois. Et puis, nous avons fait des choses très perverses, qui sont nouvelles pour moi, comme lorsque je lui ai léché l’anus. C’est très doux en fait. J’aime beaucoup.

 

C’est une scène impressionnante, on ne dirait pas que c’est ta première.

Je suis venue au porno pour une recherche de plaisir. La renommée et l’argent viennent derrière. Et c’est ce que j’ai trouvé. J’ai pris beaucoup de plaisir de la première à la douzième scène que j’ai tournée jusqu’à maintenant. Même chez Blacked, je n’ai pas senti d’appréhension. Il était beau, bien membré, je n’avais qu’à me laisser aller et montrer à quel point c’était bon.

Quand nous fais-tu une scène anale, squirt et éjac faciale ?

C’est ce qui m’avait été prédit chez Brazzers, mais je n’ai pas eu droit à ça ! Ils ont compris que j’aurais refusé. Je ne veux pas faire de scène anale tout de suite. Squirter et avaler, je le fais et avec plaisir. Avoir beaucoup de sperme sur la bouche, c’est le jeu.

Ta première sodo va s’arracher comme des pots de Nutella en promotion !

(Elle éclate de rire). Comparer mon cul à de la pâte à tartiner !? Je ne sais pas comment je dois le prendre ! Si mes fesses ont autant de succès que le beurre de cacahuètes, alors je le prends comme un grand compliment. Après, je le redis : je ne ferai pas de pénétration anale pour le moment.

En France, on se bat pour le Nutella !

Vous êtes fous en Europe ! Alors il y aura des émeutes lorsque ma première anale va sortir ? Mes comptes vont être saturés ? J’ai hâte de voir ça. Ce sera comme la sortie d’un nouvel iPhone.

D’où vient la souplesse que tu donnes à voir sur tes scènes ?

Je fais de la danse depuis l’âge de sept ans et j’ai quelques années de gymnastique derrière moi aussi. Je m’étire tous les jours. Chez Brazzers, j’ai dû faire quasiment toutes les figures imposées d’un concours de gym. Au moins, quand je me suis fait manger la chatte, j’étais bien écartée !

Ton pseudo, Lopez, est-il en référence à tes racines mexicaines ?

Lopez n’est pas mon vrai nom, mais celui de mes ancêtres et d’une branche de ma famille. Mon père est « blanc », mais ma mère est mexicaine. J’ai peut-être les yeux clairs et je ne suis pas douée en Espagnol, mais je me sens vraiment mexicaine.

 

 

Quelle est ta définition de la baise idéale ?

Intense. Je suis très cochonne. J’aime le sexe brut, qui dégage de l’animalité et de l’énergie. Moi, je donne tout ce que j’ai et j’aime que ce soit pareil en retour. Je n’aime pas lorsque ça dure trop longtemps. Et après l’effort, rien ne vaut une bonne bière !

Avec quel(le)s partenaires aimerais-tu tourner ?

J’avais plus qu’un objectif, un vrai fantasme : une scène lesbienne avec Jenna Sativa. Comme nous avons le même agent, j’ai fait en sorte que mon souhait soit exaucé et je remercie Jules Jordan au passage. Après, nous nous sommes vues au salon de Las Vegas. Elle signait. Moi, je n’étais même pas sur un stand, j’étais juste là en touriste, pour assister à mes premiers Awards. J’étais trempée d’excitation comme la première fois où nous avons tourné ensemble.

 

Tu es bavarde, mais tu as aussi une grande langue au sens propre !

Pratique pour la rentrer bien au fond des trous ! J’ai fait plein de photos où l’on me demande de la sortir. On m’appelle la nana à la longue langue. C’est comme ça. C’est mon truc en plus. Une qualité spéciale pour le porno. Il n’y a pas de hasard, j’ai des aptitudes pour être une bonne performeuse. En tout cas, je donne tout et je ne triche pas.

Alina Lopez

22 ans

Originaire d’Albuquerque (Nouveau Mexique)

1m68

54 kg

85 B

Filmo sélective :

  • Alina Loves to be Bad (Blacked)
  • After the Party (Reality King)
  • Dirty Wives Club 23687 (Naughty America)

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