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Un clip de K-pop avec des actrices X !

Quand j’entends qu’un nouveau groupe, de la musique la plus populaire en Corée du Sud, se forme, à première vue, je ne vais pas me jeter sur mon clavier pour vous pondre l’un de ces articles qui vous régalent. Par contre, quand ses membres sont trois actrices de boulards, là… ça pique ma curiosité.
Je suppose que comme moi, vous n’êtes pas des fans assidus du genre JAV [pour Japan Adult Videos]. Déjà, si la censure japonaise pouvait arrêter de flouter au pixel de dix mètres de large, les images, on pourrait profiter un peu plus de ces petites asiatiques adorant se faire ramoner la tuyère. Ce n’est pas compliqué, j’ai l’impression de me retrouver devant un vieux boulard de la génération Canal+, armé d’une passoire et secouant la tête à contresens du cryptage d’époque.
Et puis, la K-pop… Mais qu’est-ce que c’est que ce machin-là ? Car je pose la question. Eh bien, c’est avec joie que je réponds moi-même à mon interrogation. La K-pop est tout simplement le diminutif de Korean Pop, soit la musique pop de Corée du Sud, à ne pas confondre avec celle de Corée du Nord, subtil mélange entre un opéra de Wagner et les glorieux chants de l’ex-Union soviétique. La K-pop c’est du boys ou girls bands, un peu comme les Spice Girls ou les 2B3, mais en version karaoké digne d’un resto chinois le vendredi soir.
La K-pop a largement dépassé ses frontières asiatiques, car c’est partout qu’elle s’impose. En Amérique déjà et puis, après être entrée en Europe, chez nous bien sûr ! Rappelez-vous Gangnam Style du chanteur [enfin, presque] Psy, en 2012, cette sorte de slow de l’épileptique débridé.
Ces choristes, c’est pas les sept nains !
Et aujourd’hui, c’est Honey Popcorn qui annonce sa formation avec une première performance programmée le mercredi 14 mars au YES 24 Live Hall, sorte de Stade de France made in Séoul. Alors bien Évidemment, doué d’un certain éveil musical et né l’année où David Bowie écumait les scènes dans la peau de Ziggy Stardust, j’avoue que, personnellement, ce genre musical, pour lequel je suis sans doute trop vieux, me passe au-dessus de la tête, à la même altitude qu’un missile de croisière intercontinental cherchant sa route en mer du Japon.
Mais tout de même, je me dis, jetons un œil à ce « pop-corn au miel » qu’on nous annonce ! Et sur quoi tombé-je ? Trois petits avions de chasse asiatiques, plus habitués à pomper du chibre et à se faire dilater la rondelle, qu’à se trémousser le fion sur une scène en interprétant un remix en accéléré de Bambino.
Les voilà donc Mikami Yua [24 ans], Miko Matsuda [22 ans] et Moko Sakura [26 ans] ! Et elles ont déjà une carrière bien entamée dans la musique ! Parce qu’au Japon, les girls bands ce n’est pas les L5 ! Tenez-vous bien… Mikami Yua faisait partie du groupe Team S [SKE48] qui regroupait une quinzaine de filles. Miko Matsuda, de NMB48 Kenkyuusei qui, en 2012, était formé de plus de cinquante membres. Moko Sakura, quant à elle, faisait partie des groupes Akihabara Backstage Pass et Backst Sotokanda Itchome qui unissait « à l’unisson », respectivement, 82 et 32 chanteuses ! Bonjour Les Choristes !
Sous les sunlights, trop de bites ?
Qu’elles aient l’habitude de la scène, voilà une chose de réglée. Mais elles ont aussi l’habitude des caméras ! Car elles en ont vu défiler du câble et tété des glands ! C’est qu’elles se sont fait torpiller la fouf en mode Tora ! Tora ! Tora ! Et pas qu’une fois, les petites ! Car toutes ont tourné pour les studios du hard japonais.
Mikami Yua n’a pas moins de dix films, à son actif, pour les studios S1 No. 1 Style, comme Temptation massage, Fist beauty kiss ou Thanksgiving fan et presque autant pour Muteki, avec des titres du type The first time squirting ou Princess Peach, entre 2015 et 2017. Miko Matsuda a tourné cinq vidéos pour S1 No. 1 Style [Fluid exchange, Intimate sex…] et deux chez Mituki [Number 01 et 02], Moko Sakura, quant à elle, est une débutante et n’a tourné qu’une vidéo chez Kawaii*, Shocking studio transfer et Fuck stage pour Mituki.
Bon, je ne vais pas vous cacher, que j’ai été, discrètement, jeter un petit œil dessus [il faudra, d’ailleurs, que je pense à aller le récupérer] et finalement, après visionnage, je me dis que l’on peut tout apprécier, tant un bon porno japonais, qu’une musique qui, décidément même si elle n’est pas rock, peut être un tant soit peu audible. D’ailleurs espérons, qu’avec un peu de chance, elles finissent par se foutre à poil en plein live, puis passent en mode broutage de minou inversé, sur scène, façon Rockbitches… Allez savoir.
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