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Moka Mora : si elle fait du X, c’est pour payer ses études de chirurgienne !

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L’Américaine, née au Texas et qui à grandi en Espagne, arrivée dans le X il y a quelques mois, n’a eu aucun mal à se faire remarquer. Entre un visage rayonnant, un physique naturel et une propension à ne pas avoir peur du trash, elle ne pouvait être qu’une source d’attraction pour les studios.

À l’inverse de ces actrices qui vous racontent qu’elles ont perdu en même temps leur virginité vaginale et anale à 14 ans, avec le plus beau mec du lycée, qu’elles ont plaqué dans la foulée pour assouvir leur appétit débordant naissant, Moka n’a pas grand-chose à dire sur cet épisode de sa vie, ou peut-être a-t-elle juste de la pudeur ? On saura juste que c’était à 17 ans et demi et qu’il n’y a rien d’autre à ajouter, si ce n’est qu’en matière de porno non plus, cette Américaine qui a grandi à Barcelone, n’a pas été précoce. Elle s’est lancée dans le milieu en novembre dernier, à 24 ans, âge auquel beaucoup de ses collègues sont déjà à la retraite.

On l’a vu, en matière de dépucelage hors et face caméra, Moka n’a pas été la plus hâtive. Elle a rapidement comblé son retard, et même pris un peu d’avance, en tournant dès sa première scène un gang-bang avec pénétration anale pour Kink, le studio le plus hard du circuit. On a connu entrée en matière plus douce. Elle ne regrette rien, même si sa motivation première était d’ordre financier. « Ma voiture venait de tomber en panne, j’avais des factures à payer et j’étais étudiante. Je savais que le seul moyen de me payer une nouvelle voiture consistait à prendre une décision radicale. » Pourquoi Kink ? Parce qu’elle avait visité avec son copain l’Armurerie, le fort qui accueillait les studios de Kink à San Francisco, fermé depuis peu, mais alors ouvert aux visites. « L’avantage quand on commence avec Kink, c’est qu’après, on n’a plus rien à craindre », note-t-elle avec discernement. Depuis, c’est anal minimum sur toutes ses scènes.

Des fantasmes « kinky »

Quand on attaque le porno par Kink, on ne peut résolument pas avoir des fantasmes trop softs. À ce niveau-là, Moka ne déçoit pas. Se faire violer par un poulpe ou se faire multi-pénétrer dans une mare de faux sang, font partie de ceux-ci. Plus romantique, elle rêve aussi de se « faire la Tour Eiffel », ce que nous comprendrons par une volonté d’avoir des rapports sexuels à l’intérieur du plus célèbre monument de Paris. Mais avec Moka, allez savoir…

Anal, DP, gang-bang, poulpe… Moka n’est pas du genre à refuser grand-chose, sauf si cela implique un caractère incestueux. Les scénarios mêlant beaux-pères et belles-filles, assez répandus aux États-Unis, ce n’est clairement pas pour elle. « C’est une ligne incestueuse que je ne veux pas franchir, explique-t-elle avec fermeté. Les enfants sont notre avenir, ne nuisons pas à notre avenir. » En même temps, elle ne prend pas beaucoup de risque. En commençant le porno à 24 ans, on a peu de chances de se voir proposer ce genre de rôles.

Sucer des vits et sauver des vies

Pour l’heure, elle se contente de sauver des vits gonflés par l’afflux sanguin, mais demain, elle le promet, ce seront des vraies vies. Vous l’avez noté plus haut, avant de faire du porno, Moka était étudiante. Elle n’a pas perdu de vue son objectif initial : devenir chirurgienne. « Ce sont des études longues et chères, donc sans le porno, je ne sais pas si j’aurais pu les suivre. Dans quatre ans maximum, je serai diplômée, sans dette et je travaillerai dans un hôpital où je sauverai des vies » assure-t-elle.

Sexuellement délurée, mais avec la tête sur les épaules, Moka ressemble à l’idée que l’on pourrait se faire de la femme idéale. En prime, dans quatre ans maximum, elle aura une excellente situation, tout à fait présentable aux parents. Définitivement bonne à marier.

Étudiante en lettres modernes et libertine assumée. Mes deux passions: la littérature et le sexe. Que je peux enfin concilier sur ce blog, où je vous raconterai mes aventures sexuelles et autres coups de cœur et coups de gueule en rapport avec la sexualité. Bisous à tous (et à toutes, j'aime bien les filles aussi !).

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