Actrices
Sydney Cole, un regard qui fait fondre

Blonde californienne assez éloignée des clichés de la bimbo régionale, elle a fait son trou dans l’industrie du X grâce à… son cul ! Même si, au demeurant, ce dernier reste toujours en sens interdit.
Du haut de son mètre 58, la petite blondinette est un exemple type de la spinner capable de bien des acrobaties durant une partie de jambes en l’air. Dès lors, la moindre modification corporelle pourrait rapidement relever de la faute de goût, voire même de la faute professionnelle car susceptible de mettre à mal cette formidable chicane créée par l’enchaînement d’une vertigineuse chute de reins et d’un postérieur tout rond. Les plus puristes [ou conservateurs] pourront toujours regretter l’apparition de deux petits tatouages derrière ses cuisses et d’un autre sur l’omoplate, mais ça reste tout de même suffisamment discret et élégant pour ne pas s’en offusquer.
C’est de plus en plus rare de tomber sur une actrice populaire qui ne détaille pas ses moindres repas sur Twitter et ne balance pas des selfies sans maquillage en veux-tu en voilà [elle balance quand même pas mal de vidéos sexy d’elle dans des avions de ligne]. Sydney Cole reste très discrète sur sa vie en dehors du porno et, pour éviter de se confier véritablement en interview, elle se dissimule derrière une apparente timidité. Apparente, oui, car la demoiselle a du caractère. Beaucoup de caractère. Pendant l’été, Jaye Summers l’a accusée d’avoir brûlé son portefeuille avec ses papiers d’identité à l’intérieur, l’empêchant ainsi de bosser pendant un mois. Charmant. Un mois plus tard, quand son agent hésitait à l’envoyer sur des tournages à causes des mauvaises langues, elle n’a pas hésité à balancer des captures d’écran de ses échanges avec lui. Quelques jours plus tard, elle était représentée par LA Direct Models, l’agence des stars du X business comme Lexi Belle, Tori Black, Megan Rain ou Jynx Maze.
Son cul est une voie sans issue
N’en déplaise aux aficionados du petit trou, Sydney Cole refuse de laisser ses partenaires la prendre par derrière. « No Entry », pourrait-elle se faire tatouer juste au-dessus du postérieur. Pourtant, ça n’empêche pas les mecs d’en rêver, ni même ses partenaires d’essayer de transpercer son cul rebondi. Mike Adriano, lui, a mis un doigt dans Young Tight Sluts 3 mais la palme revient à Chris Strokes qui a carrément réussi à y glisser sa queue. Seulement, la belle n’aime pas ça. Le passage est trop étroit. Sauf peut-être pour un micropénis. Par contre, elle aime bien la double pénétration et s’y adonne volontiers devant la caméra. En double vaginale, donc… Mais tenter la sodomie lors d’une DP fait partie de ses fantasmes. Ça fait moins mal quand on a déjà une bite dans la chatte, paraît-il… Chaud devant !
Environ 150 scènes en trois ans de carrière, on est tout de même loin du plein-emploi à Keynes. Après plusieurs nominations en début d’année aux AVN Awards, elle a tout de même quelque peu augmenté la cadence. Peut-être a-t-elle simplement besoin d’un peu plus d’encouragement pour devenir définitivement une star incontournable de la Porn Valley ?
La bru idéale
Il y a quelque chose de particulier à contempler Sydney Cole lorsqu’elle a un chibre dans la bouche. Son regard s’illumine et réchauffe son air austère tandis que sa grande bouche fait parler la poudre. Ses lèvres épousent délicatement le contour d’une queue mais ce n’est qu’une sombre diversion. C’est elle, maintenant, qui est la reine du plaisir, et elle possède un otage : une queue enfermée dans sa prison orgasmique. Lorsque les joues de la blondinette se creusent, l’exécution approche. L’air se raréfie, la liqueur séminale cherche à se faire la malle mais la voie est à sens unique. Sydney le sait bien. On peut lire dans ses yeux sa satisfaction. Eye contact incontournable. Inutile de lutter. Elle a gagné. Une vraie suceuse, c’est rafraîchissant à une époque où, après un tournage « romantique » chez X-Art, les filles prennent l’avion pour tenter la triple anale chez Legal Porno…
Discrète et charmante en apparence, Sydney Cole est une femme qu’on pourrait facilement imaginer présenter un dimanche midi à ses parents. À condition de ne pas piper mot de la soirée de la veille, d’éviter la moindre allusion à son côté caractériel et de ne pas s’épancher sur son attrait pour les performances hard. Les meilleures sont souvent les plus allumées. Du coup, on ne peut que remercier tous les réalisateurs qui documentent régulièrement la vie sexuelle de la belle.
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