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Les secrets du squirt

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Fantasme ultime pour certains, étrangeté sexuelle pour d’autres, les « femmes fontaines » restent encore aujourd’hui un mystère. Symbole de la jouissance féminine, le squirt peut aussi représenter une certaine gêne. Plongée en eaux troubles…

Suite aux études de docteurs espagnols sur l’éjaculation féminine et le fameux « point G », il semblerait que la majorité des femmes éjaculent durant leurs orgasmes. Mais même si elles sont près de 3 sur 4 à mouiller considérablement, la notion « d’éjaculation » est à nuancer. En effet, le liquide résultant de l’orgasme est si minime qu’il est à peine visible. Par ailleurs, la nature même de « l’éjaculat » demeure assez mystérieuse. Si ce fluide s’assimile facilement au liquide masculin, il contiendrait aussi des traces d’urine ! Celles-ci sont toutefois suffisamment diluées pour être incolores et indolores. Le squirt peut néanmoins être ressenti comme une gêne pour la femme, mais aussi pour son partenaire. Entre l’aspect déroutant et les draps mouillés, la situation peut vite devenir embarrassante !

Malgré tout, beaucoup d’hommes restent particulièrement intéressés par les femmes fontaines. La catégorie porno « squirt » est d’ailleurs un incontournable des tubes X. Pour les amoureux de la mouille, une question subsiste : comment arriver à un tel résultat ? Toutes les femmes sont uniques et ne présentent donc pas les mêmes caractéristiques à ce sujet. Certes, elles sont nombreuses à émettre quelques gouttelettes mais, à l’inverse, il sera rare de tomber sur des jets aussi spectaculaires que vos fantasmes. Pour mettre toutes les chances de votre côté et inonder vos nuits de plaisir, quelques astuces sont néanmoins recommandées. Bien entendu, les préliminaires restent un passage obligé. Plus c’est long et intense, mieux c’est. L’objectif est de trouver le point G. Là, c’est le jackpot ! Ensuite, il s’agira d’exciter toute la zone du périnée. Créer un orgasme si important qu’il provoquera, en quelque sorte, une perte de contrôle. Le secret du « squirt » réside dans le lâcher-prise. Un relâchement total qui implique autant le physique que le cérébral. Pour atteindre cet état, il est nécessaire de s’attarder sur le clitoris, mais aussi sur le vagin. Enfin, la pénétration anale peut permettre la jouissance recherchée, en stimulant pleinement toute la zone.

Même si, en pratique, le squirt pose quelques problèmes, notamment de « séchage », il présente la jouissance féminine de la manière la plus nette qui soit. Comme celle de l’homme, l’éjaculation féminine « salue » la performance du partenaire et permet, dans l’idéal, de visualiser un orgasme simultané. Rien de plus enivrant que de partager un moment aussi intense.

Ancienne actrice de X des années 80, reconvertie dans le journalisme et éditrice de sites Internet X. Sous pseudonyme dans un souci de discrétion, mais toujours bien informée des dessous du milieu.

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