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Liv Wild : le joyau du Panama

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En lice pour le titre de Starlette de l’Année aux prochains Xbiz, Liv Wild est une délicieuse Panaméenne de 21 ans ce mois-ci, propulsée sur le devant de la scène par Hustler et Penthouse. Ayant collectionné les scènes toute l’année, elle s’en trouva fort pourvue lorsque la bise fut venue. Et ce n’est qu’un début : elle est à l’aube d’une carrière glorieuse.

Le Panama est un petit pays. Son personnage le plus connu est le narco-dictateur Manuel Noriega et son plus grand fait d’arme est un canal creusé par le sang et la sueur des hommes entre les deux océans qui le bordent. Mais le Panama a donné naissance à un joyau qui ravit les onanistes du monde entier chaque fois qu’elle sort une scène : Liv Wild. Bon, certes, elle a grandi en Caroline du Nord, mais de son pays d’origine, elle a gardé les piments : un corps affolant, des yeux en amandes et une prédisposition pour le sexe, ce je-ne-sais-quoi si caractéristique des latinas.

C’est à la toute fin de l’année 2018 qu’elle a pointé le bout du nez. En Caroline, où ses parents ont émigré du Panama, son destin était tout tracé. Comme tant d’autres, elle ne savait pas où traîner ses guêtres et galérait pour joindre les deux bouts. La fac, c’était trop cher et Liv n’a pas eu la chance de choper une bourse, la faute à des résultats insuffisants en High School. C’est d’ailleurs avec une franchise désarmante qu’elle le confia à l’insider Dave Naz quelques mois après ses débuts : « Je n’ai rien fait de productif à l’école. C’est pour ça que je fais du porno ». En ces temps-là, Liv faisait voler son dragon comme on dit du côté de Guangzhou, mais ni plus ni moins que ses copines, c’est d’ailleurs à l’âge moyen de 17 ans qu’elle a connu le grand frisson du dépucelage. « Honnêtement, je n’en garde pas vraiment de souvenirs continue-t-elle au cours du même entretien. C’est venu naturellement, je n’y voyais rien de sacré. J’ai fait ça avec un mec mignon et sympa, mais après je n’y pensais pas plus que ça. Les garçons, ça leur prend plus la tête ».

 

Fausse innocente, mais vraie gourmande alors ? Y a de ça. Là où un trolleur aigri twitterait que Liv Wild suce des bites parce qu’elle ne sait rien faire d’autre, nous préférerons dire qu’elle allie l’utile à l’agréable, qu’être cover girl pour Hustler et Pet of the Month contre un beau paquet de flouze, c’est pas pire que de servir des noisettes à des têtes de con toute la journée. Chacun place le curseur où il le veut… Qui plus est, Liv s’engage prudemment sur la voie du divertissement pour adultes. Pas question pour elle de se forcer à faire des trucs hardcore qui ne lui correspondent pas. Exit donc la sodomie, les gangbangs ou les faciales trop glaireuses : « Être nue devant du monde, ça va, c’est facile, mais faire du sexe, c’est un cap à franchir et ça n’a pas été facile. Encore maintenant, j’ai l’impression que le regard des gens me transperce. C’est pour ça que je n’aime pas les scènes où il y a trop de monde sur le set. C’est pour ça aussi que je veux garder le contrôle sur ce que je fais. Je ne veux pas que l’on voit des choses de moi que je n’ai pas envie de montrer ». Elle est entre de bonnes mains. Chez Motley Models, son agence, on veille au grain pour que la pépite s’épanouisse et ne disparaisse pas au bout d’une poignée de semaines. Au vu de sa progression de carrière, il y a peu de chance que ça arrive. En bonne place dans la course aux récompenses lors des cérémonies du business le mois prochain, on prend le pari qu’elle remportera plus qu’un accessit, même si la compétition est féroce chez les nouvelles venues, entre les Gabbie Carter et autre Savannah Sixx.

 

Peu importe, Liv Wild ne prend pas ombrage de la concurrence. Ses attentes restent simples et elle reconnaît qu’elle a encore beaucoup à apprendre. « J’attends du porno qu’il me fasse voyager – je n’étais jamais allée dans une grande ville auparavant – et rencontrer un maximum de gens ». Le tri, elle commence à avoir l’habitude le faire : « Je suis d’un naturel prudent avec les mecs. J’ai même tendance à m’en méfier. La plupart sont égoïstes et pas fiables. Les filles, par exemple, prennent la pilule tous les jours pour que les mecs puissent jouir en elles et après, eux sont trop fainéants pour leur offrir des fleurs quand elles ont passé une mauvaise journée ». A défaut d’un bonhomme à temps plein, Liz s’occupe avec les jeux vidéo, un de ses gros kifs. Aussitôt rentrée à la fin d’un tournage, elle tâte de la manette après avoir tâté du pénis. C’est d’ailleurs par ce biais qu’elle a découvert le porno, lorsqu’un mec de sa classe lui a fait tester un jeu de cul comme on peut en trouver dans tous les recoins du web. Fondue aussi de culture japonaise, de manga (son préféré est Inuyasha) et de hentaï, la jeune Panaméenne est une jeune femme bien dans son époque. Elle a en tout cas toutes les cartes en main pour en devenir la nouvelle star.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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