Actrices
Alexia Anders : Orient extrême
Il y a peu, elle était encore vierge de tournage, mais nul besoin d’être grand clerc pour deviner qu’Alexia Anders a tout pour accomplir une carrière porn de haut vol. A 21 ans, la Californienne, qui vient de signer chez Foxxx Modeling, est parfaitement préparée à affronter orgies, gangbangs, blowbangs. Enfin, si l’on se fie à sa wishlist qui ne fait pas dans le tiède.
Passer du poste de barista dans un ersatz de Starbucks à celui d’apprentie pornstar, n’est pas un long fleuve tranquille. C’est juste un petit cours d’eau qui se traverse en un saut de cabri. Alexia Anders a en effet franchi le pas et elle préfère encore faire des fellations que servir des capuccinos à des têtes de con toute la journée. De toute façon, les cafés sont fermés. Les clubs de striptease aussi. Ces derniers méritent d’être mentionnés vu qu’elle est passée par la case « effeuillage », quinze jours à peine avant de se lancer dans le grand bain du hard. Sans les lockdown californiens, elle y serait peut-être toujours, dans son club de strip. La pandémie a au moins ça de bon de susciter des vocations.
Pour autant, la Sino-Américaine savait parfaitement où elle mettait les pieds quand elle a envoyé ses photos à l’agence Foxxx Modeling : elle voulait du lourd comme ce qu’elle matait. « Je regarde beaucoup de porno, avoue la débutante à AVN. J’aime le rough porn, quand le mec domine la fille ». Elle a le droit de le dire et on a encore celui de l’écrire… D’ailleurs, du peu qu’elle en a vu de l’intérieur, le porno ne mérite pas les critiques qui l’accablent. « Deux choses sont importantes : savoir s’entourer et communiquer. L’équipe de Foxxx est bienveillante et dès que quelque chose me perturbe, j’en parle. Je ne garde rien qui pourrait parasiter mon travail. C’est la première chose qu’ils m’ont dit lorsque l’on a signé. Au début, par exemple, j’ai mal vécu l’éloignement familial. Du jour au lendemain, je prenais des avions alors que je n’avais jamais voyagé avant, mais j’ai toujours eu des gens pour m’écouter. Le fait que l’on soit toutes dans une même maison, est un remède à la solitude » confie-t-elle dans la même interview.
En revanche, la spectatrice qui est en elle a des heures de vol au compteur. « Les trios et les gangbangs, c’est vraiment ce que je préfère. J’ai toujours été curieuse au sujet du porn et sachant que j’ai une vie sexuelle plutôt débridée, la question de savoir si je serais en mesure de faire carrière avec ma libido me taraudait ». Dans cette optique hardcore, Alexia n’offre pas la sodo en option, mais la livre de série. A une époque, ça aurait été Byzance, mais à Los Angeles, aujourd’hui, ce n’est guère plus qu’un bon point dans la concurrence acharnée que se livrent les modèles.
Néanmoins, des atouts, A.A en a un paquet d’autres dans son jeu, à commencer par son physique qui ne passe pas inaperçu. Ce n’est pas un secret, les mâles occidentaux sont très friands des femmes asiatiques et son métissage salvadorien-philippin est ce que le melting pot peut offrir de plus beau sur la côte ouest américaine. En outre, son bonnet D naturel pour deux belles pommes gorgées de vie n’est pas si commun. De même que ses fesses, pas en reste. Chez le peintre Arcimboldo, elles seraient devenues de vrais abricots. Le tableau pourrait s’achever sur ses longs cheveux qui descendent jusqu’au milieu de son dos, mais non. Son amour pour le sexe transpire et on pourrait écrire une somme théologique sur ses fellations : appliquées, hypnotiques, alors qu’elle ne lésine pas sur la bave et les gorges-profondes. « Je pourrais sucer des journées complètes » l’entend-t-on d’ailleurs murmurer au détour d’une scène pour le studio Spankmonster, juste avant de ne pas en perdre une goutte. Cerise sur le gâteau, ses jouissances en rafales ne sont pas feintes : la cyprine explose au bout de quelques minutes de pénétration. Bref, n’en jetez plus : la somptueuse Lily Thaï qui fit péter des braguettes il y a quinze piges a peut-être enfin trouvé un successeur. Les plus jeunes checkeront qui c’était, mais pour les initiés, la ressemblance est frappante.
Naturellement portée sur le sexe, Lily, enfin Alexia, n’est pas entrée dans le X le couteau entre les dents et sous une extrême pression financière. Certes, elle a besoin de faire de l’argent comme tout le monde, mais ce qui importe le plus, c’est le fun. A ce titre, sa plus grande crainte est de voir ce fun disparaître avec l’accumulation des tournages et les contraintes inhérentes au sexe filmé (pose, lumière etc). « Je ne sais pas encore l’impact qu’aura ma carrière sur ma sexualité, lâche-t-elle. Je suis certaine que ça va être difficile de trouver quelqu’un qui acceptera mon taf ». Il y a un prix à payer pour chaque chose gagnée. Alexia Anders a voulu devenir une vestale, une icône sexuelle et elle passera par une étape où son personnage lui bouffera la vie. C’est le destin d’une actrice, qu’elle soit porno ou pas.
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