Actrices
Nicole Kitt : merci Michelle

Grâce à Nicole, on a une idée de ce que donnerait le sosie de Michelle Obama sur une scène porn et c’est emballant ! Gogo danseuse dans les festivals de musique électro, Nicole Kitt fait partie de celles que l’on n’aurait sans doute jamais vues dans le X sans la pandémie. Petit Bouddha a dit : tu verras le bien y compris dans le mal.
Entrer en porno est souvent le fruit d’un warm up préalable. Pour Nicole, ce fut la danse burlesque, sous le nom de Miss Jackson. Elle a la longueur de jambes qu’il faut pour les faire émerger du bain moussant avec grâce, comme son idole, Raquel Reed. « Elle est tout ce que j’aspire être en tant que femme glamour dans l’industrie du sexe » confia-t-elle lors de son casting pour Cherry Pimps. Du burlesque au business du sexe, Nicole a poussé le curseur plus loin que son modèle Raquel, au demeurant sculpturale, mais qui n’a jamais dévoilé plus qu’un bout de fesse.
Si tous les chemins mènent au porn, Nicole Kitt a plutôt emprunté celui d’une autre danseuse du genre plus célèbre encore, Dita Von Teese, qui a reconnu avoir fait du lesbien en 2008. Toutefois, dix ans après l’heure de gloire de Teese, le burlesque n’est plus trop à la mode et c’est dans l’électro (la musique, pas l’électromécanique) qu’elle va trouver son premier boulot : danseuse pour les soirées Robotic Wednesdays au bar péruvien La Brasa, sur la 25ème à Oklahoma City. La grande ville du Midwest, elle y a débarqué d’Allemagne à l’âge de six ans dans le sillage de son père qui était militaire. Car Nicole est née à Bad Kreuzbach alors que son paternel était stationné dans une base de l’OTAN. C’est fou ce que nombre de GI’s ont engendré comme pornstars : Stormy Daniels, Texas Patty, Violet Monroe… Le résultat de l’éducation militaire est parfois contre-intuitif.
Quelques mercredis à se déhancher plus tard, Nicole a rapidement l’opportunité de montrer ses talents sur la tournée des festivals. Les noms ne vous diront rien mais le Electric Daisy Carnival et le Global Dance sont de gros events de la scène techno outre-Atlantique. En parallèle, elle s’initie à des styles de danses plus lascives, dont le burlesque et se met à confectionner ses propres costumes. « J’étais timide et introvertie, mais l’énergie de la foule me poussait à devenir quelqu’un d’autre. C’est une période où j’ai acquis une maturité sexuelle et quelques certitudes sur mon pouvoir de séduction », avoua-t-elle récemment. Armée de ses convictions et désoeuvrée par l’arrêt des concerts et soirées, Nicole entame la réflexion qui va l’amener à rencontrer Sandra McCarthy de l’agence OC Modeling. Les références d’OC plaident pour l’agence. Le courant passe bien et la belle Allemande est en confiance.
En septembre dernier, elle prend la route entre Oklahoma et Los Angeles pour un périple de 2000 kilomètres. Objectif : tourner sa première scène pour le studio spécialisé dans les premières fois : Net Video Girls. « J’ai conduit pendant vingt heures. Je voulais avoir le temps de méditer sur ma décision. Je savais que lorsque je serai arrivée à destination, ma vie allait être changée à tout jamais. C’était une manière de rendre ça inoubliable. Le jour J, j’étais très nerveuse. La pièce était pleine de gens, j’avais des frissons ». Ça se passe si bien qu’elle y retourne le lendemain pour shooter son premier trio. Vingt scènes plus tard pour Xempire, Reality Kings, Cherry Pimps et consorts, Nicole Kitt est parfaitement intégrée à son nouvel univers. « Je commence à peine à réaliser que c’est le monde auquel j’appartiens. Les gens y sont ouverts, libérés et on ne leur demande rien d’autre que d’être eux-mêmes. C’est un monde accueillant et sûr ». Le retour de ceux qui ont bossé avec est très positif. « Elle est vraiment phénoménale, se réjouit Sam Phillips de Penthouse. Elle est concernée, pro et sérieuse. Je suis super impressionnée par son comportement et sa connaissance du milieu. Elle s’est bien préparée avant de se lancer ».
La seule fantaisie qu’elle s’est permise, c’est un étrange nom de compte sur les réseaux sociaux : @IHateNicoleKitt (Je hais Nicole Kitt). Un clin d’œil à sa référence, Raquel Reed, qui a visiblement joué de la même ficelle, mais pas que. « Les gens vont s’étonner, s’arrêter et me demander pourquoi j’ai pris ce nom. Ça aidera pour mon exposition et à ce qu’on parle de moi » glisse-t-elle au journaliste Dan Miller. Pour se faire remarquer, on pariera plus sur sa capacité à se trémousser sur la queue de ses partenaires… Dans ce domaine, elle attire déjà tous les regards.
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