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Sexe et village olympique : 7 anecdotes que vous n’entendrez jamais sur France Télévisions

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Avant même le lancement des Jeux Olympiques de Tokyo, une information a fait les gorges chaudes des médias du monde entier : les lits des athlètes du village olympique, en carton recyclé, auraient été spécialement étudiés pour empêcher leurs occupants de se livrer à des prouesses sexuelles. Finalement erronée, l’information en dit cependant long sur les rapports tumultueux entre le sexe et les Jeux, dans un village qui se transforme très souvent en véritable lupanar. La preuve en 7 anecdotes aussi croustillantes que réjouissantes.

« La maison des tireurs »

Joshua Lakatos est un tireur sportif originaire des États-Unis qui a participé aux JO d’Atlanta en 1996 et à ceux de Sydney en 2000. Lors de l’édition australienne, la compétition de tir s’achève au milieu de la compétition et le comité olympique américain demande donc aux athlètes, comme de coutume, de libérer la maison qu’ils occupaient dans le village pour rentrer au pays. Mais Joshua a d’autres projets en tête. Comme à Atlanta quatre ans plus tôt, il sait bien que le village s’apprête à devenir un lupanar géant et ne raterait ça pour rien au monde. Avec ses coéquipiers, il crochète la serrure du bâtiment et se réinstalle, ni vu ni connu.

« Le lendemain matin, je le jure devant Dieu, j’ai vu sortir l’équipe du relais féminin du 4x100m d’un pays de type scandinave, suivie par des garçons de chez nous. Et je me suis dit : Merde, je les ai vues courir hier soir ! »

8 jours durant, c’est un véritable défilé dans « la maison des tireurs », avec arrêt obligatoire devant un sac de sport Oakley rempli de préservatifs fournis par la clinique du village. Pour la petite histoire, l’organisation avait commandé 70 000 préservatifs pour les JO de Sydney mais s’était vue forcée d’en recommander 20 000 de plus, tant le climat australien donnait des ailes aux athlètes…

Les Barjots se donnent en spectacle

Les facéties des Barjots, première équipe de handball française championne du monde, mériteraient plusieurs livres tant elles sont nombreuses et scandaleuses. Pénis dessinés à la tondeuse dans les cheveux des joueurs avant des matchs cruciaux, sollicitation de prostituées durant les stages de préparation, etc. Tout juste auréolée de son titre mondial, l’équipe tricolore arrive à Atlanta avec la ferme intention de retourner le village olympique et jette son dévolu sur les représentantes de l’équipe de natation synchronisée. À tel point que Daniel Costantini, entraineur des Bleus à l’époque, imputera l’échec de son équipe lors de la compétition, défaite en demi-finale et lors du match pour la médaille de bronze, à cette trop grande proximité avec les naïades ! 

Pour bien se rendre compte de la folie de l’équipe française, il faut se souvenir de cette anecdote racontée par Brandi Chastain, joueuse de football de l’équipe américaine, survenue dans la salle à manger du village olympique.

« On a entendu des acclamations, on a donc jeté un oeil et là, on a vu deux handballeurs français vêtus uniquement de chaussettes, chaussures, cravates et de chapeaux se nourrir l’un l’autre. On se disait: Mais c’est quoi cet endroit ? »

Les stats stratosphériques de Breaux Greer 

Breaux Greer est un lancer de javelot américain, détenteur du record national et dont la plus belle performance reste une médaille de bronze arrachée aux Championnats du monde d’Osaka en 2007. Du moins sa plus belle performance dans un stade d’athlétisme, car il peut se targuer de statistiques autrement plus impressionnantes en matière de sexe olympique ! Ainsi, lors des JO d’Athènes en 2004, l’athlète faisait l’amour à trois femmes par jour, notamment une perchiste bien connue et une sauteuse de haies. L’histoire ne dit pas si la blessure qu’il a contractée lors de la compétition est due à cette frénésie sexuelle…

Médaille d’or pour Tinder

Tinder est définitivement l’application la plus populaire au sein du village. Ainsi, lors des JO d’hiver de Pyeongchang, en 2018, son utilisation a grimpé de 350% au sein de l’enceinte. Lors des Jeux de Rio, Tinder a même annoncé quels étaient les athlètes les plus swipés :  les tennismen chez les hommes et les pongistes chez les femmes. Comme quoi, savoir manier le manche, ça aide… Lors de ces même Jeux de Rio, les matches ont ainsi progressé de 129% au sein du village, avec des utilisatrices célèbres comme la nageuse suédoise Michelle Coleman.

Bob Beamon s’allège

Aux Jeux Olympiques de Mexico en 1968, Bob Beamon effectue un saut en longueur de 8,90m, établissant ainsi un record mondial qui ne sera battu qu’en 1991. Cette performance sera si ahurissante que les juges devront sortir un décamètre, les viseurs optiques n’étant pas réglés pour prendre en compte cette distance ! Ce record hallucinant, 55cm de mieux que la marque précédente, est pourtant le fruit d’une nuit agitée… En effet, la veille de la compétition, l’athlète américain s’échappe du village pour rejoindre sa maitresse, Gladys, dans une villa mexicaine. La nuit sera si agitée qu’à son réveil, voyant le champ de bataille que la chambre est devenue, sens dessus dessous, Bob Beamon est persuadé qu’il a ruiné ses chances de médaille en gaspillant toute son énergie avec la volcanique Gladys… Quelques heures plus tard, il entrera pourtant dans l’histoire de l’athlétisme. 

Troc

En 1994 aux Jeux d’hiver de Lillehammer, deux représentants de l’équipe allemande de bobsleigh proposent un drôle de marché à  la skieuse américaine Carrie Sheinberg. Ils sont prêts à lui offrir leur médaille d’or en échange de faveurs sexuelles ! Celle-ci déclinera la généreuse transaction en arguant que Tommy Moe, autre membre de l’équipe américaine, avait aussi une médaille d’or et qu’elle préférait donc jouer avec la sienne ! 

Du sexe partout, tout le temps

Hope Solo, gardienne superstar de l’équipe américaine de football, lève le voile sur la réalité sexuelle du village olympique, amplifiée selon elle par le caractère même des athlètes de haut-niveau.

« Les athlètes font tout de façon extrême. Quand ils s’entrainent, la concentration est maximale, quand ils sortent c’est pour se mettre la tête à l’envers… Quand vous vivez l’expérience d’une vie, vous voulez vous faire des souvenirs, que ce soit en faisant l’amour, en faisant la fête ou en remportant des médailles. J’ai vu des gens faire des cochonneries dehors, à la vue de tout le monde. Sur l’herbe, entre deux immeubles, ils font ce qu’ils ont à faire sans se soucier du reste ! »

En 2008, le soir de la finale remportée à Pékin, la joueuse avoue d’ailleurs avoir fait pénétrer dans sa chambre une star de cinéma, sans toutefois divulguer son identité, ce qu’elle nomme affectueusement son « petit secret olympique ». Sachant que, cette même nuit, toute l’équipe américaine a été vue sur les réseaux sociaux en train de faire la fête avec Vince Vaughn, on peut toutefois avoir une vague idée de qui cela pourrait bien être…

 

 

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