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Les meilleures scènes de Sugardaddies

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Mettre des jeunes avec des vieux est une recette gagnante de longue date. On ne présente donc plus les Sugardaddies. Ces hommes d’âge mur qui s’entichent d’étudiantes, de stagiaires et de brus constituent une des mamelles du porno et des scènes du type, il y en a à foison. Il n’était pas inutile de faire le tri.

Je baise avec mon boss (Good Porn Productions)

Les relations de bureau sont compliquées. Entre chefaillons, lèches-culs et faux-culs, il est parfois nécessaire de lâcher-prise et de se montrer sous son vrai jour. Les très mammaires Alisha Adams, Annika Albrite et Carmen Caliente, ainsi que quelques autres stagiaires vont devenir de belles garces prêtes à tout pour assouvir leurs ambitions, quitte évidemment à coucher avec le patron. La promotion canapé dans toute sa splendeur, à retrouver sur Jacquietemichelelite.com

 

Hot For My Dad (Digital Sin)

Autant les studios ethniques afro-américains ont quasi-disparu, autant les performers blacks ont su prendre la relève de Lexington Steele et Shaun Michaels. Formés par les modèles précités, Isiah Maxwell, Scotty P et Jax Slayher sont toujours impeccables dans ces rôles de performeurs brut de pomme en costume-trois-pièces qu’on dirait sortis de la série Power. Dans Hot For My Dad, en beaux-pères de famille américaine modèles, ils oeuvrent pour leur communauté. Personne ne sait que leurs brus, Alina Ali, Hazel Grace, Maya Farrell et Alexis Tae leur font un rentre-dedans auquel ils ne résisteront pas. 100% caramel, 100% validé par la fédé.

The prodigual Daughter (Pure Taboo)

Si Bree Mills est passée à la prod et à déléguer la réalisation à Craven Moorehead, rien ne change au niveau de la malséance (N’hésitez pas à arracher la langue de ceux qui parlent de « malaisance », un barbarisme). Donc, chez Pure Taboo, le retour de la fille prodigue, devient un calvaire. Le pitch : un couple a perdu sa fille depuis 12 ans quand une jeune femme sonne à la porte et prétend être la fillette disparue. L’oncle a des doutes, les flics sont perplexes, mais rien ne peut s’opposer à la joie des parents. Après quelques jours, le climat change. Scarlett n’est pas leur fille. C’est une dingo qui menace de dire à la police que leur fille est séquestrée depuis 12 ans dans la cave. Un pur mensonge, mais qui fait paniquer le couple. Ils vont devoir céder à son caprice : un plan à trois. Si c’était fait par un mec, il serait déjà dans une cellule à Lompoc, mais comme c’est du Bree Mills, c’est frais…

Etudiantes dévergondées 7 (Dirty Laundry Pictures)

Les étudiantes sont au porn ce que les accidents de la route sont à la PQR : un marronnier ! Quoi qu’il arrive, Alisa, Carmen, Salina et Jasmine sont toujours dévergondées et peuvent prétendre à trouver un Sugardaddy, surtout dans ce septième numéro de la série de Dirty Laundry Pictures à retrouver sur le site d’Elite depuis avril.

 My Stepdaughter Squirts 4 (Diabolic)

Ça fait longtemps que la rousse Kay Carter et le redneck viril qu’est son beau-père, Tommy Pistol, se tournent autour. Profitant de l’absence de madame, il va l’aider à inonder la pièce. En effet, la thématique secondaire de cette série est le squirting. Outre Kay Carter, Maya Kendrick, Petra Blair et Vanessa Sky complètent le casting. Toutes sont des femmes-fontaines abondantes et il n’y a pas tromperie sur les beaux-pères : de Mark Wood à Mike Mancini, ils ont entre 40 et 60 ans, la tranche d’âge principale des Sugardaddies.

 A Study In Gaping (Pure Taboo)

Mick Blue en prof sévère et Bill Bailey en Sugardaddy au menu de ces deux scènes qui ont pour fil conducteur l’initiation au gaping. Expertes de l’anal, Lola Fae et Adriana Chechick ne sont pas contre, c’est le moins que l’on puisse dire. Comme toujours chez Pure Taboo, la qualité technique est au rendez-vous. L’image sombre et désaturée est proche d’une série télé. Du haut de gamme.

Dad Crush Volume 10 (Crave Media)

Filmer dans les yeux du beau-père, ce n’est pas bête. Surtout quand celui-ci aime espionner sa belle-fille entre deux portes. La technique du POV est au centre de ce 10ème numéro de Dad Crush (et des neufs précédents d’ailleurs) et les filles qui défilent pendant plus de 3h30 sont Top Notch : Emily Willis, Violet Rain, Jasmine Vega et Serena Santos. Les micro-scénarios sont simples, mais suffisamment accrocheurs pour qu’on y croie.

How To Plan An Orgy Volume 2 (Crave Media)

Un peu d’originalité dans le genre, c’est salvateur. Comment préparer une orgie, deuxième du nom, propose quatre solutions. La première consiste à baiser la fille d’un pote et de faire baiser la sienne par ce dernier, tous ensemble, à la sauce candauliste. La seconde est de former un duo mère-fille qui attrape le beau-fils/frère. La troisième est de faire un repas de famille qui dérape, la dernière est mutualiser les rendez-vous culs entre les jeunes et les beaux-parents pour faire un véritable projet X. Avec douze actrices en action, il n’y a même pas de questions à se poser.

 Daddy’s Pretty Little Stepdaughter (Penthouse)

Ce qui va suivre est assez moche : alors qu’elle est conduite par son beau-père (Tommy Gunn) jusqu’à l’église pour se marier, Vanna Bardot se rend compte qu’elle ne pourra jamais vivre sans lui. La bagnole fait marche arrière, retour à la maison. Dans le salon, elle lui avoue son amour, une coupe de champagne à la main et alors qu’il est en train de lui masser les pieds. Ne pouvant résister devant tant de dentelles blanches, il va la déglinguer. Pendant ce temps-là, à Vera Cruz, un mec attend la gueule au point mort devant l’autel…

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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