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Luna Mills : petite mais fait le maximum

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Face à la concurrence qui fait rage chez les actrices sino-américaines, au premier rang desquelles Lulu chu, Vina Sky, Alona Bloom et Alexia Anders, Luna Mills a deux top paires servies : son 85 E et une extraordinaire capacité orale. C’est peu dire qu’à 19 ans, le mini-modèle de l’Arkansas a grillé des étapes et ne compte surtout pas s’arrêter là. Présentation d’un phénomène.

« Je pensais que personne n’aurait fait attention à moi. Je suis Asiatique et j’ai des gros seins, ça doit être pour ça ». Comme c’est mignon. Du haut de son 1m57, Luna Mills ne pensait pas récolter 2 000 $ pour sa première semaine à poster sur un gros réseau social pour adultes. Fut-ce suffisamment pour susciter une vocation ? Faut croire. « Quand mon agent m’a contacté via Twitter, ça m’a quand même pris du temps pour prendre une décision, explique-t-elle à Dan Miller d’AVN. Je vivais encore chez mes parents et je travaillais dans une épicerie. On était en pleine première vague de Covid. Je n’avais aucune certitude, mais je savais que je ne pourrais plus revenir en arrière, après, et que ma vie changerait ». Mi-juillet 2020, sa décision est prise. Elle laisse tomber les oranges et prend un vol direction Las Vegas pour tourner avec Tyler D chez NetVideoGirls. « J’étais vraiment nerveuse, continue-t-elle. Je me disais juste : ok, faisons-le, je suis là, faisons-le. Maintenant, c’est totalement différent. Je vois juste que j’ai une caméra devant moi et qu’il faut que je regarde dedans. Peu importe ce que le réalisateur attend de moi, je n’ai plus ce sentiment de nervosité ».

Le stress n’a visiblement pas pris le pas sur les résultats puisqu’elle est bookée le lendemain même pour son premier Girl/Girl avec Madi Laine et les tournages ne feront que s’enchainer. Comme pour toutes les débutantes lambda, me direz-vous, mais non. Luna Mills n’est pas une débutante lambda. Se fier à son physique de poids plume serait une grossière erreur. La Vietnamienne – Cambodgienne est une performeuse ultra-hardcore qui n’a pas eu besoin de plus de 40 scènes pour sortir tout son potentiel. Ses throat-fuckings sont tout simplement hors du commun et les mots sont pesés : hors – du – commun. Oubliez les Katsuni, les Sasha Grey ou même les Annette Schwarz. Luna Mills est capable d’apnées dignes du Grand Bleu. De mémoire de journaliste, c’est du jamais vu. D’ailleurs, le public ne s’est pas trompé. La moindre de ses vidéos a été visionnée des millions de fois. Elles sont loin d’être toutes de qualités égales, mais ce qu’elle a produit pour Naughty America, Team Skeet, Anal4k et AllAnal est foutrement excitant. Pour les deux derniers studios cités, on ne croirait pas qu’elle était vierge de toute sodomie avant qu’ils ne la bookent. « C’était fun. Je reviendrai, mais je pense que je dois travailler un peu plus le sujet. L’anal, ce n’est pas quelque chose que j’ai l’habitude de faire en privé et je ne peux pas me contenter d’en faire que sur un plateau ! » Alors qu’elle avait pris l’habitude de faire des allers-retours entre le Kansas et Vegas pour des sessions de deux semaines de taf, Luna a décidé de briser cette routine pour se rapprocher définitivement du boulot.

Désormais installée dans la capitale du jeu, la starlette a encore augmenté sa cadence de tournage. « C’est plus facile pour être bookée et au moins, dans le Nevada, tout le monde se fiche que je bosse dans l’adulte », lâche-t-elle. Quand elle n’est pas en train de repousser ses limites sur un gonzo, la jeune femme peint. Et pas n’importe quelle peinture : la grande, à l’huile. « Ca fait longtemps que je dessine. Je fais des portraits. J’ai beaucoup travaillé à l’acrylique avant, mais je suis passée à l’huile et à différents médiums comme les pastels et la craie. Je les trouve plus fun à manipuler et je suis plus créative avec. L’art est un processus. Je peux toujours créer quelque chose de joli, même si ça ne vient pas en une journée ». Au vu du nombre de pornstars qui peignent, il va bientôt falloir consacrer sinon un musée, au moins un article recensant les plus belles œuvres produites… A l’instar de toutes les jeunes adultes, Luna aime aussi jouer à Zelda sur la Switch, cuisiner, asiatique évidemment, faire du pain et écouter de la musique. A la fin d’une dure journée de labeur où sa gorge est en feu, elle prend une bonne tisane avant de se plonger dans des documentaires de toute sorte, dont ceux consacrés à la nature et l’ethnologie. 

En résumé, s’il ne devait y en rester qu’une cette année, ce serait elle. Luna Mills 2022. A glisser dans la fente !

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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