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5 bonnes raisons de s’intéresser à Jane Lucier

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Nulle trace de Jane sur le circuit pro et pourtant, la jeune femme de 24 ans se décrit comme « une millionnaire partie de rien ». Symbole de cette nouvelle génération qui n’existe que sur les réseaux sociaux, la Canadienne monnaie âprement le moindre bout de fesse dévoilé. Le public suit et nous avons cherché à savoir pourquoi.

Raison 1 : parce que Jane gagne un max en en montrant le moins possible

Une fois n’est pas coutume : dans Jane, jamais de bites en chair, mais en plastique. De quoi faire le bonheur des plus pervers de ses suiveurs. C’est dire. Pour les autres, elle est une certaine idée de la beauté, intouchable, jamais croisée ailleurs que sur Insta, Twitter, Snap et TikTok. Ne serait-elle qu’une intelligence artificielle ? A priori non. « Je suis dans l’adulte, depuis que j’ai 18 ans. Cinq ans plus tard, je suis très fière, considérant que je suis partie de zéro, d’être devenue multimillionnaire et indépendante financièrement ». La fortune se construirait ainsi, à travers des vases communicants, des réseaux sociaux gratuits vers les sites payants ? Pas si simple. Jane le confirme : « J’ai bossé vraiment, mais alors vraiment dur et j’ai fait un grand nombre de sacrifices pour être là où je suis maintenant ».

Raison 2 : parce que Jane a galéré avant d’être une businesswoman accomplie

Si Jane a la soif de l’or, c’est qu’elle a longtemps bouffer des cailloux. « J’ai grandi dans un environnement vraiment pauvre. Je me suis faite toute seule sans personne pour me soutenir. L’argent est important pour moi, pas pour ce qu’il est, mais parce qu’il est synonyme pour moi de sécurité et de liberté. Peu importe ce que je peux gagner, je chercherai toujours à économiser le plus possible. J’ai toujours vécu en dessous de mes moyens, parce que je sais ce que c’est de ne rien avoir et je ne veux surtout pas revivre cette situation », confie-t-elle à AVN. Une belle leçon de vie à méditer.

Raison 3 : parce que Jane est une digital nomad

Depuis deux ans, Lucier a voyagé dans plus de 50 pays. Étonnant vu le contexte sanitaire, mais en général, elle planifie un ou deux trips par mois. « Je n’ai pas besoin de rester posée à un endroit spécifique. Peu importe l’endroit où je me trouve. Je trouve toujours un moyen de travailler et de voyager en même temps ». Ses spots favoris sont « probablement Monaco et la côte amalfitaine », mais elle considère que « Dubaï est le paradis ». Quand elle rentre sur le continent nord-américain, elle redescend sur terre et fait le tour des salons de l’érotisme : « J’ai assisté à toutes les sex conventions : Miami, Chicago, Vegas, le New Jersey, Los Angeles et plein d’autres. J’adore les salons. Ce sont les rares moments où les connexions sont directes et spontanées ». Sa prochaine destination est déjà prévue : l’Afrique du Sud.

Raison 4 : parce que Jane est une autodidacte

Avant le X, Jane était étudiante, puis elle trouve un job dans la vente et un stage dans le médico-social (elle n’oubliera pas plus tard de donner à des organisations de charité pour les TDS). À 18 ans, elle quitte tout : sa ville, son mec, son stage et décide de devenir photographe. Elle apprend sur le tas. « J’économise sur les frais. Les photographes sont très chers. Je connais mes angles, je comprends comment l’objectif distord les visages. J’ai beaucoup appris sur ma propre image ». Non contente de se shooter elle-même, elle fait pousser ses propres légumes en hydroponie et joue du piano. « Je me fixe des buts personnels, relationnels et financiers ».

Raison 5 : parce que Jane parle Français

Quand Jane lâche son ancienne vie, elle part s’installer à Montréal, la capitale de sa province natale, le Québec. Le Français est sa langue maternelle, mais à l’instar de tous les Canadiens, elle parle couramment l’Anglais et c’est avec ce dernier qu’elle communique sur les réseaux. Elle complète son CV linguistique avec une maîtrise de l’Espagnol et un peu de Japonais. À l’avenir, ça pourrait bien lui être utile pour trouver un boulot, elle qui s’alarme sur Twitter de voir les plateformes dont elle tire ses revenus réduire la voilure les unes après les autres. « Après avoir retiré ModelHub de Pornhub, et presque perdu OnlyFans, maintenant c’est AVN Stars qui arrête la monétisation des contenus. Les choses deviennent vraiment alarmantes ».

Une de ses options sera de passer au hard, le vrai, et ce jour-là n’est peut-être pas si éloigné. Un gros studio pourrait bien être tenté d’allonger les lovés. En tout cas, nous serons à l’affût et vous tiendrons informés.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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