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Eliza Ibarra : cheers !

Les pépites poussent comme des cactus dans la Porn Valley au point de galvauder le qualificatif. Toutefois, cette Eliza Ibarra une classe folle et fait vraiment péter les braguettes avec des centaines de scènes salaces et sans chichi. Cherchons donc à cette latina all natural de 25 ans des poux, comme son homonyme le fit jadis à Gainsbourg…
Désignée en juin Fantasy of the Month par le studio Nubile Films, Eliza Ibarra possède une arme aussi fatale qu’une giga-paire de seins chez la concurrence : son sourire. « Elle a les plus belles fossettes du circuit », remarque la photographe Holly Randall sur son podcast Unfiltered. Remarquez, de son corps, elle n’a pas à rougir non plus. Il est dans les canons et contribue à leur perpétuation. « Je ne suis pas pressée de ressembler trait pour trait à l’idée que l’on se fait d’une pornstar. J’ai envie de pouvoir me regarder dans le miroir à 40 ans ».
La sentence est assez terrible, mais derrière le sourire, se cache une jeune femme lucide, parfaitement briefé sur les écueils qu’elle rencontrera dans le milieu par son agent, le vénérable Mark Spiegler. « On n’est pas dans ce milieu parce que l’on a un problème comme le pensent la majorité des gens, mais ce métier peut devenir terrible si vous vous souciez de ce que les autres pensent de vous. J’ai commencé à 20 ans, mais je pense qu’il serait plus intelligent de relever à 21 ans l’âge légal pour débuter dans l’adulte, commente-t-elle au micro de Randall – au passage, cette dernière a définitivement abandonné la réalisation cette année pour se consacrer à plein à l’éducation des foules sur Youtube. « De par ma propre expérience, je conseillerais aux filles de commencer célibataires aussi, qu’elles puissent avoir le temps d’être entièrement focalisées sur ce qu’elles font et de ne pas dépenser ce qu’elles gagnent dans des sacs Gucci. Mais par dessus tout, je leur dirais de ne pas consommer de drogues.
En arrivant à L.A, on peut être tenté de sortir beaucoup et de laisser aller. Tu ne peux pas être accro à un truc, sortir tout le temps et avoir l’air en bonne santé. Ce n’est pas possible de mener une carrière comme ça. J’ai trop vu de filles, de bonnes filles pourtant, être comme possédées par un démon et j’en étais très triste ». Au-delà des conseils d’usage, Eliza Ibarra reste marquée en filigrane par sa rupture avec son ancien compagnon, celui avec lequel avait débuté, le performer Owen Gray. Ils pensaient grimper ensemble au sommet mais à l’instar de nombreux autres couples avant eux, leurs chemins se sont séparés. Ainsi va la vie dans la Porn Valley : il y a un prix à payer pour tout ce qui est gagné. La démarche de cette belle plante de 1m75 laissait de toute façon peu de place pour une vie de couple rangée, elle qui avait « envie de connaître des expériences sexuelles qu’il aurait été impossible de connaître sans le porno ». Avec une grand-mère à Vera Cruz et toute la famille de son père dans le Chihuahua, la native de Riverside, en pleine vallée de San Bernardino, n’était pourtant pas prédestinée à embrasser une carrière de star internationale du divertissement à l’horizontal. De l’autre côté du Rio Grande, on ne badine pas avec la pudeur et chez les Ibarra, on cultive un certain attachement pour les traditions mexicaines. « Je m’attendais à ce que ce soit mon père qui prenne le plus mal que je fasse du X, mais il a été conciliant. En revanche, pour mes frères, ça a été très dur et ma mère en a pleuré. Elle me disait : mais personne ne te verra comme tu es vraiment ! Tu vas juste faire semblant de faire la fille délurée ».
Ce que la mère d’Eliza ignore est que sa progéniture ne fait pas toujours semblant. Elle exprime juste une part de sa personnalité qu’elle ne lui connaissait pas. Morceaux choisis : « Je ne simule pas et ça se voit (…) Quand je jouis, je tremble comme une feuille (…) Je ne vois pas comment je pourrais faire semblant ». Avec près de 500 scènes accomplies depuis sa première apparition début 2018, la brune est une marathonienne du plaisir, aussi à l’aise sur des scènes lesbiennes que pour des studios hardcore comme All Anal et Anal Only. Dès sa première apparition, elle prodigua un blowjob de deux heures au vétéran Logan Pierce pour Passion-HD, ce qui lui fit dire à AVN que la jeune latina avait « un potentiel incommensurable », tandis qu’à l’occasion de sa première scène avec elle pour Brazzers, Keiran Lee confiait qu’on ne lui avait jamais taillé une telle pipe depuis Jenna Haze… L’Anglais est d’ordinaire très avare de compliments. Son jugement vient trancher le débat : Eliza est là. Et pour longtemps.
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