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5 bonnes raisons de s’intéresser à Chloe Surreal
A 23 ans, Chloé, nouvelle à la table, a au moins cinq gros atouts dans son jeu et ils ne sont pas que physiques. Belle en dedans comme en dehors, la voluptueuse Californienne séduit par sa générosité dans les attributs et dans l’effort. Au vu de sa motivation, les fans auront droit une décennie de plaisir à venir.
Parce qu’elle a une poitrine sensationnelle
L’arme fatale de Chloé, ce sont ses seins lourds et volumineux. Elle arbore un 32 G américain soit un 90 F/85 G français. Autant dire qu’elle galèrerait un max pour trouver un soutif de ce côté-ci de l’Atlantique… Qu’importe, cette poitrine lui a déjà permis de tourner quinze fois pour Brazzers et Reality Kings. « J’adore travailler pour eux, confie-t-elle à AVN. Ce sont des compagnies qui vous traitent et qui montrent beaucoup de respect pour les talents masculins et le staff ». Le potentiel de sa poitrine, elle l’a découvert la nuit où elle s’est connectée pour la première fois sur une de ces grosses plateformes de webcam : « Je n’avais aucune idée de ce que je devais faire et à vraie dire, je ne faisais pas grand-chose, mais j’avais une tonne de gens sur ma room qui me demandaient de montrer mes seins ».
Parce qu’elle a pratiqué l’abstinence sexuelle
Cela peut paraitre paradoxal pour une pornstar en herbe, mais Chloé sait se maitriser pour mieux en profiter. « J’ai décidé de devenir célibataire trois mois avant de rentrer dans le X, explique-t-elle à Dan Miller. Je ne suis pas masturbée, aucune relation, rien. Je crois vraiment que certaines personnes qui génèrent une forte énergie sexuelle comme moi, ont besoin d’être abstinent pour se nettoyer l’esprit ». Fin février, elle est fin prête pour son premier boy/girl avec le colosse Alex Legend, pour Mofos et sous la direction de Lea Lexis. Son trip abstinent semble avoir porté ses fruits. Elle ne ressent pas d’appréhension. « Il n’y avait aucune raison d’être nerveuse. Lea est une des trois meilleures réalisatrices et c’est la plus cool. Quand j’étais plus jeune, j’étais arrivée à un point où je plantais les rendez-vous et je n’allais pas dans les lieux publics par anxiété, mais plus maintenant ».
Parce qu’elle a un peu de Corée et d’Irlande en elle
Fille de la vallée de San Fernando, creuset du melting pot dans la grande banlieue de Los Angeles, Chloé a des ascendances originales. Sa mère est sud-coréenne et elle a émigré aux Etats-Unis à la fin des années 90. Elle s’installe dans cette grande banlieue de Los Angeles où Chloe verra le jour d’un père d’origine irlandaise. La famille bougera dans le Colorado, le Sud et à Seattle avant de revenir à L.A. Ce sont peut-être ses racines irlandaises communes avec John O’Byrne qui ont fait pencher la balance en faveur de son agence East Coast Talent qu’elle a choisie pour la représenter.
Parce que c’est une intello qui aime lire
Le cliché de la fille qui a tout raté à l’école et finit dans le X a vécu. Chloé a une bonne tête. Elle aurait pu faire ce qu’elle voulait dans la vie, mais c’est le divertissement pour adulte qu’elle a choisi. « Je crois fermement que c’est le job pour lequel j’étais née ». Pour autant, elle n’oublie pas de nourrir son esprit. « Je pense qu’on ne lit jamais assez. Il y a toujours des opportunités pour apprendre et grandir. Je suis une grande fan des classiques et de poésie. Anna Karenine est mon oeuvre favorite. Je la revisite tous les six mois. Outre Tolstoï, Chloe Pablo Neruda, Anne Sexton, Ted Hughes, Sylvia Plath et Henry James. « J’essaie de terminer Portrait d’une femme de Henry James, mais entre les études et le boulot, je n’ai jamais eu le temps de le finir ». A son propre compte, elle a désormais tout le temps de se cultiver.
Parce qu’elle a collectionné les petits jobs
Le gig jobs comme on dit aux US. Chloe Surreal travaille depuis l’âge de 16 ans. Son premier job fut de faire des cafés frappés chez Starbuck. « Le problème, c’est que je déteste le café. Je ne bois pas de caféine. Elle troque la préparation des cafés pour celle de commandes dans l’entrepôt d’un GAFA dont le nom commence par « Ama » et finit par « zon ». Une expérience qui l’encouragera à privilégier le petit commerce. « J’ai beaucoup de respect pour les gens qui travaillent dans les entrepôts, car ce sont des jobs brutaux. C’est dur pour le corps et l’esprit. J’étais de nuit. Je commençais à 19 ou 20 heures, jusqu’à 4 heures du matin. J’ai fait ça trois ou quatre mois avant de péter un plomb ». Elle trouvera la paix en vendant des grosses têtes de weed dans un dispensaire californien.
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