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5 bonnes raisons de s’intéresser à Sofi Vega

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Si le mystère est le meilleur service rendu aux fans, Sofia Vega est généreuse. Peu d’informations filtrent en effet sur celle qui s’adonne pourtant aux joies du porno depuis un an. Tout juste sait-on qu’elle a 27 ans, qu’elle est sud-am et qu’elle aime beaucoup les filles qui peuplent moitié de ses 20 scènes. Ça fait déjà de bonnes raisons de s’intéresser à elle.

Parce qu’elle est colombienne

Sofi naquit à Cali, le 26 juillet 1995. Etre colombien draine son lot de stéréotypes qui oscillent entre les extrêmes. Les mecs sont footballeurs, narcos ou tueurs à gages. Les femmes sont danseuses, refaites et libidineuses. Sofi Vega colle juste à un seul : elle a des envies de sexe aventureux. « Je n’ai pas de tabou. J’aime profondément explorer ma sexualité et là-dessus, le monde de l’adulte est un monde de découvertes sans fin », explique-t-elle à AVN. A 21 ans, elle devient camgirl dans sa ville natale et rejoint les bataillons de Colombiennes sur les webcams. A l’étroit à Cali, elle rêve de Californie, mais en Catalogne, elle atterrit. En mars 2022, elle prouve au monde entier qu’elle aime le sexe par les fesses avec un premier girl/girl pimenté d’anal pour le compte de Sexyhub. En fin de compte, en devenant camgirl, en passant par l’Espagne et en affichant d’emblée son attrait pour la sodo, Sofi cumule bel et bien les clichés sur les Colombiennes.

Parce qu’elle aime la vie simple

Sofi ne mène pas une vie de bâton de chaise comme dirait ma mère. Quand les spots des plateaux s’éteignent, elle mène une existence paisible, loin du stupre et des porte-jarretelles. Enfin, c’est ce qu’elle dit. « Je suis quelqu’un de positif et avec des goûts simples. J’aime danser, la bonne bouffe, les voyages, visiter de nouveaux endroits et depuis que je suis enfant, j’ai un attachement particulier pour les animaux, raconte-t-elle à AVN. Mais par-dessus tout, j’aime passer des nuits avec mes amis en buvant de bons cocktails. En même temps, le sexe est aussi un grand centre d’intérêt dans ma vie privée ! ». Sofi a des moments de folie incoercible, mais à l’approche de ses 30 ans, elle est devenue plus casanière et focus sur sa carrière.

Parce qu’elle a une plastique parfaite

Ce qui frappe en premier lieu chez Sofi, c’est son regard. Viennent ensuite sa peau ambrée, ses seins parfaitement proportionnés, ses bun’s en guise de fesses… La liste est longue et il faut une bonne dose de mauvaise foi pour ne pas reconnaitre que Sofi est sublime dans son genre. De plus, la Colombienne est all natural et pas « toute pleine de collagène », comme dans un lyric de Booba. Pour Drifting Together, Little Caprice l’a mise en scène et en a bien profité. « Elle a un joli teint de peau. Le contraste entre nous est réussi. Une nouvelle scène à Award, à mon sens », s’enorgueillit ainsi la Tchèque, qui verrait d’un bon œil de remettre le couvert.

Parce qu’elle est arrivée sur les conseils de Canela Skin

La solidarité fonctionne souvent à plein tube chez les expatriés et Sofi en a profité auprès de sa compatriote Canela Skin. Cette dernière l’a introduite dans l’industrie. Les jeunes femmes sont installées toutes deux à Barcelone, ont à peu près le même âge et des atomes crochus. Dans le game depuis 2017, Skin a 200 scènes à son actif et connait les productions qui pèsent dans le biz européen. « Le business de l’adulte me semblait proche de celui des cams, mais je n’étais pas certaine de moi, alors je lui ai demandé et elle m’a orientée vers les bonnes agences, détaille Sofi. Et c’est vrai, le passage à la vidéo pro a été très naturel. Les producteurs ont été surpris de voir que j’étais aussi à l’aise avec l’image ». La multi-awardisée Little Caprice, qui lui offert sa meilleure scène, abonde : « Elle sait comment me procurer un orgasme et comment être devant une caméra, car elle a l’expérience de la webcam. Elle a un gros potentiel et je suis impatiente de retravailler avec elle ».

Parce qu’elle a été directrice artistique dans une boite de prod audiovisuelle

Certes, Sofi n’a pas été responsable des programmes pour la télé publique colombienne ou elle n’aurait pas atterri à Prague chez Marcello Bravo et Little Caprice, mais elle n’est pas arrivée dans le monde de l’image par hasard. Avant d’être son propre produit, elle a travaillé deux ans une société de production de films et de docu. « J’ai commencé à l’université, quand j’y ai rencontré des amis qui faisaient des vidéos pour la publicité, témoigne-t-elle à Dan Miller. Ils travaillaient pour de jeunes marques de mode. Ils m’ont pris avec eux, même si je ne connaissais rien à ce métier. Je me suis accrochée pour apprendre car j’adorais l’aspect créatif. Aujourd’hui, je suis à l’aise dans l’adulte grâce à tout ce que j’ai appris à cette époque ». A 27 ans, l’âge où les rockstars finissent leur vie, Sofi en commence une nouvelle.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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