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5 bonnes raisons de s’intéresser à Olivia Jay

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Olivia est une superbe MILF qui a débarqué dans le X en 2020. En peu de temps, elle a conquis par son intelligence et son professionnalisme, même si ce sont surtout sa peau magnifique et son déhanché diabolique qui ont apporté leur contribution à sa popularité croissante. À 33 ans, elle n’a même pas encore atteint son prime. 

Parce qu’elle est Serena Williams faite porno

Le 5 juin, sortait la première scène d’Olivia Jay pour Vixen sous la direction de Derek Dozer. Ce jour-là, il y eut de quoi se demander s’il n’était pas mieux d’arrêter de mater un soporifique Roland Garros pour se taper plutôt ce qui ressemblait à une sextape de Serena Williams après sa dernière victoire Porte d’Auteuil en 2015. Car avec ses cheveux gaufrés naturels, sa silhouette athlétique et sa peau ambrée, Olivia Jay pourrait être la doublure cascade de la légende du tennis. C’est d’autant plus remarquable qu’Olivia part de loin. Pour sa première scène, un obscur Casting Couch de Net Video Girls, la native de Washington était moins glamour et avait peu à voir physiquement avec la cadette des Williams. « Je viens du strip et du monde de la nuit, mais c’est du live. Quand c’est filmé et enregistré, les contraintes sont supérieures. Une mauvaise lumière et un mauvais stylisme ne pardonnent rien », lâchait-elle au magazine AVN en mars dernier. 

Parce qu’elle est une Squirt Queen

« J’ai toujours été très sexuelle, mais entre coucher et performer, il y a une grande différence. Je n’avais aucune idée de la manière d’ouvrir les cuisses devant un objectif. Je suppose qu’il y a des choses que l’on apprend sur le tas ! », confiait-elle en février 2022 au podcast Inside the Industry. Comme la découverte de son aptitude à être fontaine par exemple… Cette dernière eut lieu quand elle a commencé la webcam au début de la pandémie. Passer ses journées à se masturber devant un écran a quelques bienfaits : Olivia est une reine du squirt. Elle peut se faire gicler en quelques secondes. « J’y arrive presque automatiquement. Je dois avoir le clitoris stimulé à un endroit précis que je suis la seule à connaitre. Si je suis excitée, il devient facile à trouver ».

 

Parce qu’elle était stripteaseuse pendant ses études

« J’ai payé mes études avec le striptease et je n’ai aucune honte à le dire désormais. Mais à l’époque, je comptais emporter ce secret dans ma tombe. Je savais que beaucoup de gens dans mon entourage n’était pas à l’aise avec cette idée », raconte Olivia Jay au micro du podcast de l’acteur James Bartholet. Pourtant, elles sont très nombreuses à partager cette double-vie pour financer leurs études. Elles le deviennent moins quand il s’agit d’embrasser une carrière porno dans la foulée, mais pour l’afro-américaine, le ver était dans le fruit : « J’aimais et j’aime toujours le striptease. Je n’ai jamais arrêté, même après avoir été diplômée, car j’ai vite compris que travailler de 9h à 17h ne me conviendrait pas. Aujourd’hui encore, je fais la tournée des clubs. Cet été, je ferai toute la côte Est ». De New York à Miami, elle croisera de nombreuses autres pornstars qui ont le même mode de vie.

Parce qu’elle est diplômée en Science Politique à Washington

Désormais installée à Las Vegas, Olivia a grandi à Washington D.C, la capitale fédérale. Mine de rien, la plus afro des villes américaines n’a pas engendré foule de pornstars. Elle est plutôt connue pour sa concentration de politiciens, juristes et autres lobbyistes. Diplômée en sciences politiques, Olivia était fonctionnaire dans le service public jusqu’en mars 2020. Si la nuit, elle strippait incognito, le covid l’a fait définitivement changer de trajectoire. « J’ai muri ma décision jusqu’à l’été, explique-t-elle. Je savais qu’elle aurait des ramifications sociales, que je perdrai une grande part de mes connaissances et que mes fréquentations ne seraient plus les mêmes ». En août 2020, sa décision est prise : elle découvre la côte ouest à l’occasion de son premier tournage.

Parce qu’elle n’est pas du genre à se laisser faire

Pour booker Olivia, inutile de passer par une agence. La jeune femme est indépendante et gère son planning et ses affaires toute seule. Elle invite ses consoeurs à faire pareil, mais toutes n’ont pas sa charpente intellectuelle. On peut même dire qu’elle est très déçue par ses collègues comme elle le confiait, dépitée, à la mi-mai sur Twitter : « Je ne fais plus confiance en personne et je fais un break sur les échanges de scènes pour un bout de temps ». Le premier conseil qu’elle donnait aux apprenties performeuses quelques semaines auparavant était d’ailleurs de débuter avec du contenu solo. Toujours prompte à pointer du doigt les brebis galeuses du X yankee, Olivia Jay est aussi la première à monter au créneau pour défendre les droits des sexworkers.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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