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5 bonnes raisons de s’intéresser à Suttin

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Se sentant unique, Suttin n’a pas jugé bon d’ajouter un patronyme à son blaze. On ne peut lui donner tout à fait tort : la brune incendiaire est facilement reconnaissable. Forte de sa plastique de rêve, la milf californienne a décidé de passer pro deux ans après avoir posé pour Penthouse et dix ans après ses premières vidéos. À 32 ans, elle a une belle carte à jouer.

Parce qu’elle vient de passer à l’hétéro

Suttin n’a pas un parcours linéaire. En 2013, elle apparait pour la première fois sur un réseau de webcams. La même année, elle devient Suicide Girl et inaugure son mystérieux nom de scène : Suttin. L’expérience durera six mois avant qu’elle ne disparaisse. Trois ans plus tard, en 2016, elle réapparait sur Snapchat et Manyvids. En octobre 2020, elle sort du bois et devient Pet Of The Month pour Penthouse. Son premier moment de gloire. « Penthouse est iconique. C’est une marque dont on entend parler même en dehors du milieu, comme Playboy. Pour moi qui n’avais jamais performé, c’était symbolique car toutes les pets auparavant étaient des actrices confirmées », lâche-t-elle à AVN. En avril 2022, elle se fait brancher par Brazzers mais c’est sa sister compagny, Reality Kings qui remporte sa première hétéro. Cette scène avec J-Mac fut baptisée That Girl Suttin, un titre emblématique qui deviendra celui de son site web. 

Parce qu’elle cuisine à poil

Suttin est végétarienne, et adore cuisiner. L’un n’empêche pas l’autre. Exit les carottes râpées et le quinoa, place aux lasagnes et aux légumes sautés. « Je cuisine des choses faciles et rapides. J’aime manger sainement, mais des aliments chauds et élaborés », dit-elle en interview. Autre de ses particularités : dans sa grande maison de San Diego, elle déambule nue, dès qu’elle le peut. « Je suis casanière. Mais si je suis seule chez moi, je peux rester nue toute la journée. Qu’y a-t-il de mieux ? ». Si un importun s’avise de prendre ses rêves pour des réalités, il tombera nez à nez avec Kuda, un sympathique croisé American Staf – Pitbull Terrier dont elle ne se sépare jamais depuis qu’elle l’a recueilli il y a un an pile. Ensemble, ils font de longues marches dans les collines autour de San Diego, même si elle confesse être une potatoe couch qui bouffe toutes les séries. Si tel est le cas, elle a un métabolisme qui carbure car sa silhouette n’en garde aucun stigmate.

Parce qu’elle est acoquinée avec Maitland Ward

En 2019, Suttin accomplit ses premières scènes lesbiennes sur Manyvids. Rien de sensass jusque-là, sauf que sa camarade de jeu est Maitland Ward. La rousse est hypée à mort pour avoir fait quelques apparitions à Hollywood et tenu un second rôle dans Amour, Gloire et Beauté de 1994 à 1996. Pour la sud-californienne alors inconnue, ce fut un formidable coup de projo. Si elles se sont initialement branchées via les réseaux sociaux, leur amitié est devenue bien réelle autour de bonnes bouffes cuisinées par Suttin. Au total, ce n’est pas moins de dix scènes qu’elles feront ensemble.

Parce qu’elle pourrait bien bousculer la hiérarchie chez les milfs 

À 32 ans, on pourrait penser que Suttin n’a pas de temps à perdre, mais la californienne n’est pas une dingue des tournages. Elle travaille peu et privilégie les productions haut-de-gamme. Au surplus, elle arrive dans le secteur archi-encombré des milfs qui ont toutes des gros seins et des culs d’exception. Néanmoins, elle a des arguments à faire valoir. Nommée pour le Most Amazing Ass aux Fan-Voted AVN Awards de janvier, Suttin est plébiscitée pour ses perfs. « Smoking hot » pour les uns, « stunning » pour les autres, elle affiche depuis peu un goût prononcé pour l’anal qu’elle réserve en majorité pour son site perso, ThatgirlSuttin. De plus, elle cultive un petit côté fake et sophistiquée de celle qui ne veut pas vieillir. Une beauté offensive qui plait, indéniablement.  

Parce qu’elle a toujours la banane

Suttin est une femme solaire qui arbore constamment un grand sourire. Ca change des têtes croisées dans le métro. Cette qualité, elle l’a travaillée des années dans la vente de détail, se forçant à avoir le smile même quand elle n’en avait pas envie. « Je suis naturellement positive aussi. J’ai toujours été une personne ouverte sexuellement et libre dans sa tête ».

Ces derniers temps, elle a toutes les raisons d’être heureuse. En pleine ascension, elle kiffe ce qu’elle fait : « Je vais voir où tout ça me mène, mais jusqu’ici, j’adore le porn mainstream. Travailler seule, c’est bien, cela permet de faire des scènes plus personnelles, mais j’aime rencontrer et échanger avec d’autres performeurs ». L’essence du métier en somme. 

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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