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5 bonnes raisons de s’intéresser à Bluelah

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Dans l’intimité, elle préfère qu’on l’appelle simplement Blue. Et pour l’instant, peu de monde peut se targuer de la connaître, hors des iles britanniques. La métisse de 21 ans est pourtant à l’aube d’une jolie petite carrière, puisqu’elle multiplie les apparitions pour les productions de Londres et aux alentours. Talent incontestable, Blue est là et voici pourquoi.

Parce qu’elle est sujet de sa Majesté

Les Anglaises s’exportent peu, même aux Etats-Unis en dépit de la proximité linguistique. On les voit donc peu. C’est bien dommage. Elles ont de sacrées qualités, à commencer par une libido galopante. Bluelah ne fait pas exception. Apparue à l’automne 2019, la Londonienne a du sang venant des quatre coins du Commonwealth : jamaïcain, tamoul et écossais. Un cocktail cosmopolite et détonnant à l’image de la capitale britannique. Moins outrancière que la british babe traditionnelle, Bluelah n’est pas moins vicieuse que le petit pot blond aux gros seins de Manchester et Liverpool. 

Parce qu’elle aime le sexe en groupe

La pluralité n’est pas du goût de tout le monde, mais Blue aime ça. Bisexuelle déclarée, elle apparaît dans une bonne dizaine de scènes avec au moins deux autres protagonistes. Sur trois d’entre elles, on la voit s’éclater dans des partouzes, comme la fameuse London Sex Party, organisée par Rebecca Ryder et qui donne à voir 15 pornstars en pleine action avec des quidams, plusieurs fois par an. Avoir le visage badigeonné de sirop de corps d’homme n’est pas pour lui déplaire, vu la manière dont elle l’offre à ses partenaires. Pour l’instant, point de double-pénétration, voire d’anal à l’horizon. Bluelah se tâte encore. Tout ce qui peut se glisser dans son trou est un doigt ou une langue.

Parce qu’elle prétend avoir une gorge sans fond

Sur les réseaux, Blue fanfaronne sur ses qualités de suceuse. Sans être l’égale de la mythique Gauge, ce gabarit poids plume est belle et bien une deepthroateuse. L’Anglaise engloutit les membres virils avec énergie. De plus, elle n’oublie jamais qu’avec la fellation, l’aspect sonore est aussi important que l’aspect visuel. Dans le jargon, on parle de sloppy girl. Sa salive émulsionne et fait « slurp… blurp… slop » ! Les amateurs savent à quel point c’est bon ! Dans deux scènes pour le gonzoman Toby Dick, Bluelah se livre à une véritable démonstration de blowjob. Et ce n’est pas pour rien si elle s’affiche plusieurs fois sur le bien-nommé site Cumperfection. 

Parce qu’elle est ange et démon

Quand la douceur incarnée se transforme subitement en la plus démoniaque des succubes, l’effet est assuré. Bluelah a un visage, une voix et des manières d’ange, mais dans le feu de l’action, elle montre une énergie folle. De plus, elle a l’air très à l’aise dès qu’il s’agit de jouer sur le contraste entre les générations. Et c’est bien pour cette raison qu’elle est abonnée aux scènes avec des vieux sugardaddies, qui prennent un sacré pied à l’entreprendre. Chez Team Skeet, pour la série Daddy Pounds, la métisse est ainsi prise par un performeur qui ressemble à un vieux jarl viking. Une scène qui provoque une combustion spontanée des calecifs.

Parce qu’elle est une geekette 

Sa panoplie compte le gaming et ce n’est pas juste pour faire genre. Sur Twitter, elle confesse, avec foule de détails, avoir passé des nuits complètes à jouer sur les séries du Witcher et Fallout. Deux excellentes licences. Madame a un goût certain. Quand elle n’est pas avec un sexe, un gode ou une manette à la main, elle mate des séries comme Black Mirror et des animes japonais à la Naruto. Ce dernier penchant a une influence directe sur une de ses obsessions : sa crinière. Elle n’arrive pas à se fixer sur un style et sa couleur change chaque semaine. Mine de rien, chacun de ses nouveaux styles influe directement sur l’esthétique de ses scènes. Avec les cheveux bleus au carré, elle est sophistiquée. Avec des rajouts roses, elle se la joue cosplay. Et en blonde, elle se mue en femme fatale. Sans tatouage, Bluelah laisse parler sa fantaisie ailleurs…

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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