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Jill Kassidy : un break et ça repart

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Jill poursuit une carrière riche depuis maintenant sept ans, coupée par une récente période de réflexion. Polyvalente et élégante, la jeune femme de 26 ans profite aussi et surtout d’une plastique irréprochable qui lui ouvre les portes des productions les plus prestigieuses au point d’être considérée comme la successeure de Riley Reid. Forte de ses nombreux suiveurs, elle se veut désormais influenceuse. Où s’arrêtera-t-elle ?

« Jill est belle comme une reine de bal. Son allure innocente la rend encore plus sexy. Notre showcase a dépassé mes espérances, c’est définitivement l’un de mes meilleurs ». Le compliment est signé Jules Jordan. Y’a pire. Le producteur et performeur à talonnettes a vu passer des milliers de fessiers. Qu’a de plus celui de Jill Kassidy ? Déjà, il est beau. Plus beau que les autres ? Non, mais elle le bouge bien et sûrement mieux ou elle ne serait pas parmi les actrices-performeuses qui ont le plus travaillé dans la Porn Valley et pas pour n’importe qui.

Toutefois, depuis deux ans, la gagnante du trophée de Meilleure starlette aux AVN Awards 2017 faisait un break sur l’hétéro. Pour son retour au boy-girl au printemps dernier, elle a préparé quelque chose que ses centaines de milliers de fans attendaient désespérément depuis ses débuts en 2016 : se faire prendre par derrière. « Ça fait longtemps que je considérais l’idée, détaille Kassidy au micro d’Austin King. Après avoir fait le tapis rouge aux AVN Awards, elle s’est concrétisée. J’étais prête. J’en avais vraiment envie. Je voyais passer trop de nouvelles têtes sur les réseaux que je voulais rencontrer ». Le studio qui a réussi à arracher cette première anale de Jill Kassidy est toujours le même, commence par un V et finit par un N… Mais avant ce retour à la lumière, ces deux ans de pause sur l’hétéro furent presque deux ans de pause tout court, la native de Dallas ne tournant que six scènes lesbiennes.

« J’ai vécu étrangement la période Covid et post-Covid, témoigne-t-elle à Austin King. J’étais anxieuse à l’idée de remettre les pieds sur un plateau avec du monde autour. Plein de gens ont dû penser que j’avais un boyfriend, mais je n’étais simplement pas envie. Je faisais juste mon contenu dans mon coin et quelques scènes lesbiennes, mais j’avoue, je n’avais pas le feeling ». L’ancienne barista chez Starbucks poursuit : « Pendant quatre ans, j’ai tourné presque non-stop. Je ne prenais pas bien soin de moi. Je mangeais mal, je dormais peu. J’ai fait un break sur le sexe que je connais depuis que j’ai l’âge de 15 ans. Je voulais savoir ce que ça faisait. Et j’ai gagné en self-control. Quelque part, je me sentais bien. J’avais comme un petit sentiment de puissance ». Elle accorde quand même son entre-jambes à quelques chanceuses dont Dana DeArmond.

Jill a un petit goût pour les femmes mûres. Avec les choses qui sont rentrées dans l’ordre, elle a remis l’ouvrage sur le métier et si elle a mis du temps à l’ouvrir, elle n’a pas laissé reposer son anus longtemps, puisqu’elle a enchainé derrière chez Mike Adriano au printemps. Une figure. « Je suis très sélective. Je ne travaille qu’avec des gens que je connais depuis des années, même plus avec les nouvelles compagnies. Les réalisateurs doivent s’attendre à ce que je fasse le show et doivent être déçus. Je suis d’un naturel timide. Je ne suis pas une performeuse qui fait la folle. Je fais des scènes juste normales ».

Sa modestie l’honore, mais Jill fait mieux que des scènes normales. Les scénarios à base de ménage à trois lui vont comme un gant. Elle est bookée à tour de bras pour jouer les jeunes maîtresses de quadras en crise. « J’aime bien jouer les soumises, aussi, sourit celle qui fait beaucoup penser à Riley Reid. J’ai travaillé deux fois avec elle pour Twistys et pour son site. C’était cool, classe et joli ». On n’en saura pas plus. Elles se ressemblent sûrement trop pour avoir sympathisé sur la durée sans une pointe de jalousie. Car avec 500k followers sur Twitter, Kassidy est aussi populaire que sa devancière.

Ultra-photogénique, elle abreuve son audience d’un maximum de contenus glamour régulièrement mis à jour. En gros : elle ne se paie pas la tête de sa communauté qui raffole de son style et de son corps naturel, qu’elle ne compte pas changer. Dans l’immédiat… « Je n’ai pas envie d’avoir quelque chose d’étranger dans mon corps, si je me fais augmenter les seins par exemple, termine-t-elle au micro de King. Peut-être un jour, mais l’idée me fait trop peur ».  Parfois, cette dernière est la meilleure conseillère.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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