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5 bonnes raisons de s’intéresser à Hayley Davies

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Nouvelle et méconnue, Hayley a de sacrés atouts dans sa ficelle de string. Sexy et pulpeuse au possible, l’Australienne de 24 ans est une showgirl doublée d’une femme-orchestre qui sait tout faire toute seule. De surcroît, elle n’a pas sa langue dans sa poche. Le plus dur va être de se limiter à cinq bonnes raisons de s’intéresser à elle…

Parce qu’elle a tourné 150 scènes dont 80 en… un mois

On devrait être étonné, voire incrédule, mais non. « Je peux faire jusqu’à cinq scènes par jour, raconte-telle dans l’épisode 105 du podcast Plug Talk. Mais en moyenne, c’est plutôt trois. Une première scène à 9 ou 10 heures du matin. Une autre de 13 à 14 heures, et une dernière scène vers 19h. Si le feeling passe bien, je peux en faire plus et jusque tard dans la nuit, mais jamais avec plus de trois partenaires ». Pour les besoins de ses réseaux, Hayley multiplie les collaborations, ce qui explique ce rythme démentiel qu’elle ne pourrait soutenir avec le simple concours des studios pros. Totalement bi, la native de Melbourne pioche chez les hommes comme chez les femmes pour satisfaire son appétit gargantuesque de sexe… et de fric. Faut pas se leurrer non plus.

Parce qu’elle fait tout et toute seule

Visiblement en confiance au micro d’Adam et Lena The Plug, Hayley fait la promotion de l’autonomie et de l’empowerment : les actrices sont des marques qu’elles doivent faire fructifier. « J’ai toujours cru en l’idée de créer le travail soi-même. C’est facile de faire son truc, même seule, et c’est encore mieux quand c’est avec des amis et des gens de confiance compétents. Je fais donc bien attention à ceux avec lesquels je travaille. Ce n’est pas parce que quelqu’un a un full test que j’aurai du sexe avec. Ce n’est pas parce qu’un mec à un camescope que je vais tourner pour lui. C’est mon corps, ma carrière et c’est moi qui établis les règles. Après, c’est en travaillant pour les autres qu’on sent qu’il y a une différence, qu’il faut se mettre en avant, se vendre. C’est la partie la moins agréable du porno. La concurrence est féroce. Tant que l’on reste à faire des webcams ou des vidéos chez soi, on est en compétition avec personne, juste contre soi-même ». Toutefois, le succès de ce modèle est à relativiser. Toutes les performeuses n’ont pas la force, l’envie ou la capacité de devenir des studios ambulants. Il y a des pros pour ça.   

Parce qu’elle est une succession délicieuse de clichés

Extensions capillaires roses, gros seins refaits, grosses fesses, abdos, piercings, tattoos et autobronzant : en cherchant, on doit encore trouver foules d’indices qui classent Hayley parmi les bimbos. « Jugement réducteur » dirait l’Aussie. « Les danseurs, les athlètes et tous ceux qui utilisent leur corps pour divertir et performer sont pour moi dans la même branche, juge-t-elle à Plug Talk. Ce n’est pas parce que nous y rajoutons du sexe que nous valons moins. Je ne comprends pas la connotation négative qu’il y a autour du sexe dans la société. Je ne la comprends pas et je ne l’accepte pas ». Derrière la bombe sexuelle, Hayley a comme tout le monde un besoin naturel de reconnaissance.

Parce qu’elle est drôle

Hayley ne se prend pas au sérieux. Un bon point. Elle sait à quel point le maquillage est son allié. « On me dit que je suis une bombe incendiaire. Pourquoi pas… (Elle fait la moue) Quand je me lève le matin et que je me regarde dans le miroir, je vois surtout une bonne arrachée ! Je n’ai jamais rien dit de censé qui n’ait pas été dit avant. J’ai du mal à me sentir au-dessus des autres. Je n’ai pas l’esprit de compétition. (Elle se marre) C’est là qu’on voit que je ne suis pas une Américaine ! » Elle est pourtant venue chasser sur leur terre fin 2023, tournant notamment en Californie pour Brazzers, Naughty America, Blacked et Jules Jordan. Cette année, elle fut l’attraction du stand de Brazzers à l’Adult Entertainment Expo volant la vedette aux locales de l’étape. À l’instar des épreuves aux Jeux Olympiques, il ne faut jamais sous-estimer les Australiens. 

Parce qu’elle fait un max de fitness

Affichant 61 kilos pour 1m65, Hayley Davies est plutôt pulpeuse, mais ses formes sont superbement réparties. Tout le contraire d’une bouteille d’Orangina… Elle a de bonnes fesses, de bons avant-bras et un ventre plat qui laisse deviner des plaquettes de chocolat. Ses exercices spécifiques à la salle de muscu portent clairement leurs fruits. « Tous les weekends, j’évacue le stress grâce au crossfit et au travail fractionné. Le sport, ce n’est que du positif pour sculpter le corps, garder la ligne et se défouler. Donc oui, c’est très bénéfique pour le X. il y a autant d’adrénaline et d’intensité que sur une scène ».

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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