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5 bonnes raisons de s’intéresser à Penny Barber

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À 38 ans, Penny partage plus qu’une ressemblance physique avec la grande Lisa Ann. Elue Performeuse Milf de l’Année, la brune a mis près de 20 ans à obtenir le succès. Une sacrée revanche pour une actrice qui a toujours été dans l’ombre et un bel éloge de la persévérance. 

Parce qu’elle est la performeuse MILF de l’année

Personne n’attendait la victoire de Penny Barber aux AVN Awards de Vegas fin janvier. La Californienne est sortie du bois à la faveur d’une hyperactivité sur l’année écoulée et de quelques beaux rôles qui ont fait la différence, à commencer par celui dans Coming Of Age, sorti chez Milfy, suivi par Rock Bottom chez Pure Taboo où elle fait admirer sa science de la sodomie. À la suite se sont engouffrés Mylf, MissaX, Girlfriends, RK, Brazzers ou Nubiles. Depuis deux ans, tous les studios semblent découvrir l’existence de Penny, la trentenaire au visage dominateur qui fait fureur dans un tailleur. Face à elle, les plus grandes Milfs, de Meagan Foxx à Natasha Nice, sont reparties la queue entre les jambes. 

Parce que c’est un visage de caractère 

Penny Barber a embelli en vieillissant. Ça arrive. Son menton proéminent a longtemps été jugé disgracieux, mais cet attribut de caractère fait désormais partie de ses atouts. Il lui donne une « gueule » reconnaissable entre mille. Ce visage, que d’aucuns peuvent trouver dur, lui donne un max de crédibilité dans ses rôles de belles-mères matures et dominatrices qui détournent leur gendre. Autre de ses qualités et non des moindres : sa paire de seins. Avec un tour de poitrine de 100 pour un bonnet D, la Californienne est une des plus busty du circuit. Et qu’importe s’ils ne sont pas naturels, Penny se définit comme une Mommy Dom qui a eu recours à la chirurgie pour effacer les traces de ses grossesses.  

Parce que c’est une catcheuse accomplie

Penny a été catcheuse chez Kink et Evolved Fights pour des combats qui ont peu à voir avec le puritanisme de la WWE. Principale protagoniste de la série Ultimate Surrender chez Kink, elle a fait parler pendant treize ans son mètre 68 pour 65 kilos, tout en muscles, contre d’autres performeuses. La finalité du résultat importait peu. Le plus important était de finir en ciseaux ou en 69 contre une, deux ou trois de ses adversaires, car les filles s’affrontaient souvent en tag team. Aussi bizarre que cela puisse paraitre de ce côté-ci de l’Atlantique, le catch porno a depuis longtemps son public, en hétéro comme en lesbien. 

Parce que ça fait 20 ans qu’elle est là !

Quand elle débute dans le 44ème volume de la série Cherries pour Homegrown Video en 2005, Penny Barber a 18 ans. Elle se fait appeler Penny Play et rien ne la distingue de la masse des actrices. Très rapidement, on ne la voit que dans des scènes lesbiennes, notamment dans la version saphique de 50 Shades of Grey pour Filly Films. Puis treize ans durant, on ne la verra quasiment que chez Kink à enchainer les clés de bras le nez dans une touffe. Toutefois, elle s’aventure ponctuellement vers l’hétéro. En 2013, elle tourne sa première anale, toujours pour Kink, à l’occasion d’un gangbang. Deux plus tard, rebelote et ainsi de suite. Tous les deux ans jusqu’en 2019, Penny se fait ainsi plaisir avec un petit gangbang anal. De quoi ouvrir l’appétit, d’autant que l’athlétique brune est entretemps entrée dans la catégorie des Milfs, les fameuses Mothers I’d Love to fuck, un genre porno très demandé. Les vannes s’ouvrent vraiment en 2020, entre deux « Covid ». 

Parce qu’elle s’éclate comme jamais

« J’ai grandi avec l’idée que personne ne me regardait, que je n’étais pas attirante, mais tout le monde me regarde, tout le monde ! ». Au micro d’Adult Empire au dernier salon de Vegas, Barber savoure le moment. Après avoir mangé son pain noir, elle est désormais à la table des Cherie DeVille et Brandi Love. Maman perverse, enseignante vicieuse, secrétaire lubrique, maitresse dominatrice… Elle a l’embarras du choix et n’a qu’à se pencher pour attraper un rôle. Parfaitement à l’aise avec un gode-ceinture, gantée de latex pour fister ou à l’opposé, dans une robe de soirée, Barber bluffe aussi tout son monde avec la qualité de ses vidéos perso. Car évidemment, madame fait dans la réalisation et dans cette optique, elle s’est équipée professionnellement. Sa caméra est une Canon C500 MkII, à des années lumières d’un Iphone équipant 90% des starlettes. Il faut un beau savoir-faire pour tirer la quintessence de ce genre d’engin. À ce stade et armée de toutes ces qualités, Penny Barber n’a que le ciel pour limite.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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