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Amy Stone : « J’attends avec impatience qu’on me propose des scènes anales ! »

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La libertine et bodybuildeuse Amy Stone, 37 ans, souffrait d’un manque de confiance en elle, qu’elle a retrouvé en se lançant à corps perdu dans le porno, avec son homme ! Nous, à la rédaction, sommes sûrs d’une chose : son professionnalisme et son incroyable appétit sexuel devraient l’emmener très loin ! 

D’où venez-vous, et quel est votre parcours ?

Je viens de la région parisienne. J’ai travaillé en tant que gérante pendant plusieurs années, j’avais deux sociétés que j’ai fermées pour me consacrer entièrement au porno. 

D’où vient votre pseudo ?

Stone, c’est un petit clin d’œil à Sharon Stone, c’est aussi une référence à ce film que tout le monde connaît. Amy, c’est court, rapide et efficace ! Amy Stone, je trouve que ça sonne plutôt bien ! 

Comment êtes-vous arrivée dans l’industrie du porno ?

Je suis libertine, et on m’a dit clairement que j’avais du potentiel ! Je postais beaucoup de photos, et je faisais pas mal de lives sur un site libertin, et on m’a fait comprendre que cela pouvait se monnayer. J’ai rencontré des gens du milieu, notamment une personne très chère à mon cœur, Léa Pam. C’est grâce à elle que je me suis lancée dans le porno. 

Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas travaillé dans le porno ?

Je serais commerciale, puisque c’est mon métier de base !

Quels sont les mots qui vous décrivent le mieux ?

Déterminée. Je ne lâche jamais rien. Entreprenante aussi. Je ne baisserai jamais la tête, ne courberai jamais l’échine, j’avancerai toujours plus, pour aller encore plus loin !

Quel est votre plus grand fantasme ?

J’en ai réalisé énormément. Celui qui me vient à l’esprit maintenant, ce serait de jouer avec cinq hommes. Mon maximum a été trois, pour l’instant. Ce n’est pas un énorme fantasme, mais l’idée m’excite beaucoup. 

Quel a été le meilleur moment dans votre carrière d’actrice X ?

Je n’ai pas un moment particulier qui me vient en tête, c’est plutôt rencontrer des gens que je n’aurais pas pu connaître autrement, créer des liens, pouvoir voyager

Vous avez un bon souvenir de vos tournages avec J&M ?

Oui, très bon. Pour le moment, j’ai tourné avec la production FrenchStoryX. Les tournages se passent toujours dans la bonne humeur, dans la bienveillance. J’en suis vraiment très contente. Je ne demande qu’à continuer avec eux ! 

Quelle est la meilleure manière de vous faire jouir ?

La meilleure manière, c’est la double pénétration, ou alors en pénétration simple, avec mon Womanizer.

Quelle est la scène que vous avez préférée tourner ?

Je crois qu’elle n’est pas encore tournée ! J’ai adoré tourner avec Hiro Maeti, je rêverais de tourner un trio avec Hiro et Nino Stone (mon homme). Ils assurent bien, et je n’ai pas encore eu la chance de tourner avec eux, en même temps ! Pour l’instant, je me contente de prêter mon homme aux actrices (rires) ! 

Vous est-il déjà arrivé d’être dégoûtée par un de vos partenaires ? 

Dégoutée, je n’irais pas jusque-là, mais ça m’est déjà arrivé sur un tournage, oui. J’accorde une très grande importance à l’hygiène. Ce jour-là, je ne dis pas que mon partenaire n’était pas propre, mais il sentait fort la transpiration. Je lui ai dit gentiment. Ce n’était pas insurmontable, mais ça m’a gênée ! 

Vous vous masturbez combien de fois par jour ?

Au minimum une fois, et ça peut aller jusqu’à trois fois.

Sur quelle partie de votre corps préférez-vous qu’un homme éjacule ?

J’aime beaucoup sur mes seins, ils sont gros, et j’adore avoir plein de sperme dessus. J’aime bien dans la bouche aussi. 

L’anal, c’est votre kif ? 

Oh que oui, j’adore l’anal ! Je pratique beaucoup avec mon homme, parfois avec des libertins. Je n’ai tourné qu’une scène en anal pour l’instant, et elle n’est pas encore sortie. J’attends avec impatience qu’on me propose des scènes anales ! 

Vous avez un petit truc en plus, c’est votre langue… Elle a un superpouvoir ?

Oui, elle a le superpouvoir de passer des heures à lécher des queues, parce que j’adore ça ! 

Qu’est-ce qui vous fait rire, dans la vie ?

Les gens qui ne se prennent pas la tête, ceux qui ont un humour noir, un peu trash. J’adore les films comiques, les blagues, la vie, je rigole pour beaucoup de choses.

Une citation qui vous inspire  ?

Celle qui est tatouée sur mon bras, en latin : Dum spiro, spero. Ça veut dire : « tant que je respire, j’espère ». 

En parlant de tatouage, vous avez un nouveau projet ?

Oui, et même plusieurs. J’ai rendez-vous bientôt pour faire un tatouage en commun avec mon chéri, pour notre mariage. Nous nous marions dans deux mois. Je veux aussi finir mon bras, et me faire tatouer tout le dos. 

Un message pour vos fans ?

Je les remercie énormément. Grâce à eux, j’ai la chance de pouvoir vivre de ce métier, et je m’éclate ! Merci d’être présents au quotidien, merci pour tous vos messages. Sans vous, je ne serai pas là aujourd’hui !

Comment peuvent-ils vous contacter ?

Sur mon Instagram : AmyStone_Off ; sur Swame, X, Mym, TikTok, Onlyfans… Sur mon Instagram, on trouve tous les liens pour me contacter. 

Quelle est la demande la plus étrange que vous ayez eue de la part d’un fan ? 

J’ai eu un fan fétichiste des bulles de chewing-gum. Sa demande, c’était que je mâche des chewing-gum, pour faire des bulles, et les faire éclater ! Je n’ai jamais vraiment réussi d’ailleurs (rires) ! 

Quelle femme pourrait être votre modèle dans la vie ?

Ma grand-mère. 

Auriez-vous envie de tourner avec une transsexuelle ? 

Oui, je suis très ouverte à ça. Je n’ai jamais tenté l’expérience, mais ce serait avec grand plaisir ! 

Quelle est la chose la plus importante que vous ayez apprise sur cette industrie depuis que vous avez commencé ? 

Il faut vraiment être réglo, notamment dans ses tests, toujours être à jour. Il faut être respectueux des autres. Nous avons tous des points forts et des points faibles, des qualités et des défauts, alors respectons-nous. Et il faut aussi, parfois, savoir se méfier de certaines personnes…

Et qu’avez-vous appris sur vous-même ?

J’ai appris à m’apprécier davantage, à aimer un peu plus mon corps. J’ai beaucoup de problèmes avec l’image que je donne de moi-même. Je ne me trouve pas jolie, je me trouve grosse. Malgré toutes mes pertes de poids, malgré tout le sport que je fais, le bodybuilding, je n’arrive pas à me voir jolie. Dans le porno, je me rends compte que je peux plaire. Ça m’a permis de reprendre confiance en moi. 

Vous avez fait du bodybuilding en compétition ? 

Oui, suite à une perte de poids importante (plus de trente kilos), j’ai été suivie par un coach, et j’ai décidé de me lancer dans la compétition de bodybuilding. J’en ai fait plusieurs : trois fois le Top de Colmar, une autre sur Lille, et la plus belle du monde : Olympia Amateur, à Las Vegas. Je n’ai pas été classée, mais je voulais toucher le milieu américain, c’était une expérience extraordinaire !  Je me prépare à refaire une compétition en 2025, après mon mariage. Le temps de prendre en muscles, et d’avoir un physique encore plus important ! 

Vous faites quoi ce soir ?

Je vais jouer avec mon homme. Il va partir pour le week-end, et ce soir, je vais vraiment avoir besoin de sa queue ! 

Pierre Des Esseintes est auteur et journaliste, spécialisé dans les questions de sexualité. De formation philosophique, il est également sexologue. Il a publié, aux éditions La Musardine, Osez la bisexualité, Osez le libertinage et Osez l’infidélité. Il est aussi l’auteur, aux éditions First, de Faire l’amour à un homme et 150 secrets pour rendre un homme fou de plaisir.

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