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Sexy Marghot : “Ma créativité, je l’ai trouvée dans le X”

Un rire gourmand, une silhouette voluptueuse, et un appétit sexuel sans complexe, voici Sexy Marghot, aventurière du X qui défrayait la chronique l’année dernière à la faveur d’une séquence polissonne pour le moins époustouflante. “J’ai baisé ma voiture”, me dit-elle dès l’instant où je la rencontre, au détour d’un salon de l’érotisme languedocien. Je n’allais pas laisser passer l’occasion d’en savoir plus…
Bonjour, Sexy Marghot.
Qu’est-ce que tu fais dans la vie ?
Je suis créatrice de contenu et actrice X.
En quoi ça consiste concrètement ?
Ce que je fais le plus, ce sont des vidéos de moi. Je suis beaucoup sur les plateformes. J’ai commencé en tant que camgirl. Ça m’arrive encore un petit peu avec des habitués. Mais ma principale activité, c’est faire des vidéos, les monter et m’occuper de mes réseaux. Et m’éclater !
C’est toi qui mets en scène tes propres fantasmes ou tu réponds à des commandes ?
Alors, il y a mes fantasmes, enfin ceux avec mon homme, parce qu’on travaille en binôme. On est libertins. On fait du contenu “plaisir”. Ce sont nos scénarios, nos idées.
Je peux te demander ton âge ?
J’ai trente-cinq ans.
Comment c’est venu, le porno dans ta vie ?
Le porno, il est venu petit à petit. Je pense que je l’avais en moi depuis longtemps déjà. Je suis bi depuis toute jeune. J’ai commencé en faisant modèle photos, et je suis arrivée sur un site de vente de culottes. Ça a commencé comme ça. Je n’ai pas vendu trop de culottes, mais j’ai commencé directement à faire du show-cam. Et de fil en aiguille, j’ai fait une vidéo qui a tout fait démarré, où j’ai baisé ma bagnole. C’était sur mon premier site. Je suis passée sur les plateformes gratuites avec cette vidéo-là, qui a beaucoup marché… Puis il y a mon côté libertine. À la base, on filmait des bouts de soirée, de trente secondes, deux minutes, trois minutes.
C’est pour l’exhibition que tu fais ça ?
Alors non, parce que, tu vois, je ne pensais même pas être exhib. C’est par plaisir surtout.
Je suis quelqu’un d’assez empathique. J’adore me faire plaisir et j’adore partager mon plaisir avec les autres.
Libertine, tu l’as toujours été, ou c’est avec ton copain que c’est venu ?
C’était un petit peu en moi, mais avec mon ex, non. Et finalement, tu fais des tromperies. Tu as envie d’aller à droite, à gauche. Tu mets de côté ta bisexualité parce que tu es en couple. Et puis, sur la fin, pour essayer de sauver mon couple, j’essaye le libertinage et je vois que ça me convient parfaitement. Et voilà ! Mais coquine depuis jeune, oui.
Venons-en à la question qui tue, pourquoi la voiture ?
C’était une demande d’un fan, amateur de belles tenues et de belles bagnoles. Il voulait absolument ça. C’étaient mes tout débuts. J’avais fait un premier show pour lui dans la voiture où je m’étais godée, squirt, etc. Deux mois après, il me recontacte et me dit :
– » Vas-y. On refait la voiture, mais qu’est-ce que tu veux faire avec ?«
-« Bah écoute, je vais baiser ma voiture !«
C’est mon côté foufou, pas de prise de tête. C’est venu comme ça. J’ai fait ma vidéo en mode ni vue ni connue. Pendant le show-cam, j’ai dit à mon mec : « Il faut absolument que tu me filmes, parce que c’est une vidéo qu’on ne fait pas tous les jours ». Et une fois arrivés là, on a posté la vidéo sur xHamster et Pornhub. Et le compteur de vues a explosé. Du coup, il y a une vidéo dans la nouvelle voiture qui arrive très bientôt.
Est-ce que c’est sexy, une voiture ?
Non, je n’ai pas de kink pour les voitures. Par contre, la photo de moi empalée sur la boule, ouais, c’est sexy !
Pour ceux qui auraient envie d’essayer, est-ce que c’est pratique et qu’est-ce que tu recommandes pour bien s’y prendre ?
(Rires) Alors, avoir plein de capotes sous la main, et avoir un joli col de cygne, une belle boule d’attelage. Parce que j’en ai essayé deux et une bonne courbe, c’est pratique. Puis, ne pas se prendre la tête et le faire pour l’envie de délirer. Après, je ne suis pas une adepte du baisage de voiture non plus…
C’est quoi tes kinks à toi alors ? Qu’est-ce qui te fait fantasmer ?
Pour moi, c’est de partager avec mon homme, de voir mon homme qui tient la caméra, et qui guide les gens qui vont s’occuper de moi. Après, j’ai beaucoup de kinks. Je suis très portée sur l’anal et le squirt. Et j’aime bien qu’on fasse un petit peu mal aussi, un peu de domination. Embrasser, le sensuel, ça, c’est réservé à mon homme ; pas des choses que je fais en vidéo. Je reste moi-même surtout. Je n’ai pas de fantasme précis. En fait, c’est selon les envies qui se créent sur le moment, et c’est toujours de plus en plus hard, j’ai l’impression.
Est-ce qu’il y a une recherche de performance ?
Un petit peu, mais je tiens quand même à faire attention à ma santé, à mon corps et tout. J’ai commencé l’anal en mode « tout doucement ». Maintenant, j’aime bien prendre des doubles dans mon cul, oui. Mais je ne me vois pas faire du ultra-hard, aller m’enfiler des trucs qui font trente centimètres. Je n’en suis pas là. J’ai fait des choses avec plein de mecs aussi. Mais, je ne suis pas forcément en recherche de performance, c’est plus en fonction des désirs du moment.
C’est quoi ta dernière découverte sexuelle ?
Ca fait quelques mois, mais en ce moment, je suis plutôt portée sur le fist anal.
Ça ne fait pas un peu peur au début ?
L’été dernier, j’ai rencontré la pro du fist, Adeline Lafouine. Je suis arrivée chez elle, et elle m’a dit : « Bon, pour briser la glace, tu vas participer à mon double-fist challenge. » Donc j’arrive et j’ai déjà deux mains dans le cul d’une fille. J’avais jamais pratiqué le fist avant. Dans la journée, on a fait plusieurs scènes, et j’en suis venue à mettre un poing dans mon cul, pour la première fois. C’est ce que je disais tout à l’heure, par rapport à la santé et tout, je n’en abuse pas, mais c’est quelque chose que j’aime bien. C’est l’une des découvertes assez récentes que je pratique de temps en temps et que je fais aussi sur les autres.
Sinon, dans les aventures qui sortent du lot, j’ai dépucelé un gay qui n’avait jamais de femme entre ses mains.
Comment ça s’est passé ?
On l’a trouvé parce que c’est un petit créateur, avec un profil sur Onlyfans. J’ai joué avec mes godes sur lui, et je l’ai fisté un petit peu aussi, il me semble. Il était super content.
C’est important les rencontres dans ce milieu ? Tu t’es fait des amis ?
Oui, je fais des collabs avec des gens du milieu. Donc, il y a des gens avec qui j’ai un bon feeling et que l’on revoit assez régulièrement, et sinon je tourne souvent avec des libertins. J’ai un petit carnet de contacts de gens fiables et respectueux, qui jouent le jeu des tests et avec qui on s’amuse bien. On arrive à trouver du beau monde.
Comment tu t’assures de leur sérieux et de leur fiabilité au préalable ?
Pour les types libertins, je marche beaucoup aux témoignages, aux retours des uns et des autres. Ça marche beaucoup comme ça. Les premières rencontres ne se font pas chez moi en général, mais dans un bar. On fait connaissance. Et s’il y a un feeling, que les gens sont sérieux, qu’ils arrivent avec des tests, on donne suite. Après, on n’est jamais sûr de quoi que ce soit.
Qu’est-ce que le porno a changé dans ta vie ?
Ma manière de me voir, ma manière de penser aussi. Mais il faut faire attention, parce qu’à force tu ne penses plus qu’à ça. Tu es en train de baiser avec ton mec et tu te dis : » Putain, il faudrait se filmer, c’est trop bien ce qu’on fait. » Il faut savoir quand même s’en détacher un petit peu. Même si maintenant, je sais que ça fait partie intégrante de moi.
Je suis beaucoup plus libre. Je me sens hyper à l’aise. Même chez l’esthéticienne. Elle m’a demandé ce que je faisais. Au début, je lui parlais de mon autre boulot. Maintenant, je m’en fous. Je le dis : “Bah ouais ! Je fais du porno. » Ça m’a permis de m’assumer un petit peu mieux et de vivre ce dont j’ai envie encore plus.
Tu as eu de mauvais retours quand tu as annoncé que tu faisais du porno ?
Oui, un petit peu. Il y en a qui te ferment la porte, ou qui en parlent dans ton dos. Tout le village est au courant. Les ex, n’en parlons pas. Et je m’en doutais. Dès l’instant où j’ai commencé sur mon petit site très fermé où je vendais des culottes, je le savais très bien. Mais je ne pensais pas que ma vidéo de la voiture allait buzzer à ce point-là. En trois jours, elle avait explosé. Mais le jour où je l’ai mise sur les plateformes gratuites, je me suis bien dit que je l’affichais sur la toile.
Après, j’ai aussi fait des scènes Jacquie & Michel. J’ai reçu beaucoup de visibilité. Donc je m’en doutais. Il y a quelques personnes dans ma famille qui sont au courant, et pour qui je m’éclate et tant mieux pour moi. Et concernant les proches, pareil. Je pense que ceux qui continuent à me côtoyer sont ceux que je mérite d’avoir dans mon cercle. Les autres, qu’ils aillent se faire voir.
Qu’as-tu ressenti au moment où tu t’es aperçue que ta vidéo avec la voiture faisait des millions de vues ?
Sur le coup, tu ne t’en rends pas trop compte. Tu vois les vues qui grimpent de jour en jour et tu commences à réaliser. Mais c’est quand j’ai commencé à être reconnue surtout. Ça a été hyper-vite. J’allais me promener dans ma ville, manger dans un petit truc. J’avais exactement la même veste que dans la vidéo. Et le soir même, on m’envoie un message sur Snap : « Je crois que j’ai vu un mirage. » Il me dit : » J’ai reconnu ta veste, j’ai reconnu tes tatouages, et quand j’ai vu la C4 sur le parking... »
Maintenant, je m’amuse un peu à me demander qui va me reconnaître. C’est assez courant que je reçoive des messages : « Je t’ai vu à Macdo, à Leroy Merlin, etc.«
C’est bienveillant ?
Bienveillant, oui. Quelques-uns sont venus me le dire en face, mais souvent ils n’osent pas. C’est après coup qu’ils m’écrivent sur les réseaux. Il y en a deux ou trois qui ne savent clairement pas parler aux femmes. C’est direct : « Ah, je t’aurais bien démonté dans les chiottes du Macdo… » Mais ils ne viennent jamais me le dire en direct. Ils sont souvent plus gênés que moi.
On s’est vu sur le salon d’Albi. C’est quoi ton programme sur ces événements ?
Je ne suis pas une grosse adepte des salons. C’était seulement la deuxième fois que je me rendais à Albi. Le but principal, c’était de rencontrer mes fans. L’année dernière, j’en ai vu énormément. Les premiers fans de mes sites libertins étaient venus. C’est pour me faire connaître, discuter, prendre des photos que j’y vais. Je fais aussi des strip-teases, mais ce n’est pas ce que je préfère.
Qu’est-ce qu’ils te disent quand ils te voient en vrai ?
A Albi, il y a un gars de la sécurité qui est venu me trouver discrètement pour me dire « Mais je suis trop fan de toi, tu es la meilleure ! » Et la question qui revient le plus c’est : « Est-ce que je peux faire une vidéo avec toi ?«
Tu as déjà fait des vidéos avec des fans ?
Ce n’est vraiment pas ma priorité, parce que c’est plus compliqué à organiser. Mais ça m’est arrivé.
A part le sexe, qu’est-ce qui te passionne dans la vie ?
Heu… La bouffe, les voyages, la musique, les animaux aussi, ou faire des siestes dans le canapé, les petits plaisirs de la vie. Tout ce qui illumine ma journée. On m’a toujours dit que je suis gauchère, je suis censée être créative et tout. Ma créativité, je l’ai trouvée dans le porno. J’ai essayé plein de choses, mais je n’ai pas de hobby, je n’excelle dans rien de particulier, enfin à part… (rire entendu) Dans la vie, j’aime surtout profiter des bons moments.
Merci Sexy Marghot !
X : @sexymarghotX
Swame : @sexymarghot
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