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5 bonnes raisons de s’intéresser à Alex Coal

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Alex fait peu de bruit et c’est révélateur de son caractère. La brune aux yeux verts travaille bien, dit des choses sensées et ne cherche pas la lumière comme une luciole. Huit ans après ses débuts, elle est désormais installée à Vegas, la ville où tout ce qui se passe reste sur place, sauf pour les pornstars. Forte d’un solide socle de suiveurs, elle est partie pour minimum huit ans de plus.

 

Parce qu’elle aime toutes les chattes

Le secret de la longévité d’Alex Coal ? Les chattes. Pas une, ni deux, mais trois. Elle les bichonne, les câline, les traite comme des reines et en retour, ces dernières comblent son besoin affectif et lui permettent d’aller de l’avant. « J’ai grandi avec des chats et depuis, je suis restée une femme à chat ». Au deuxième degré, les chattes, elle les bouffe aussi et par dizaines. La révélation a eu lieu au cours de son premier plan à trois. « J’avais 23 ans, mon mec en avait envie, alors j’ai appelé une copine. Mais je me suis sentie mal parce que nous avons fini ensemble en le laissant un peu de côté. C’est la première fois que j’ai concrétisé cette attirance que j’avais pour les filles. Quand je suis avec une femme, je n’aime pas utiliser un gode ceinture ou même un simple sextoy. Avec ma langue et mes doigts, je ressens mieux les » confie-t-elle au site Xbiz. Depuis, ce genre d’expérience est devenu sa routine. Une routine qu’elle a même dépassée. « J’ai fait 400 scènes, dont 200 mainstream, mais si je ne devais en garder qu’une, ce serait mon trio bisexuel pour Threeway Madness Video. J’étais avec deux mecs et nous avons baisé entre nous. Cette expérience m’a marquée, je ne l’oublierai jamais ».

Parce qu’elle est courageuse et a le sens de la famille

Avant même le X, Alex Coal était dotée d’une belle ouverture d’esprit, forgée par les turpitudes de la vie. Rembobinage. Elevée seule par sa mère dans la banlieue de Las Vegas, elle a trimé avant de connaître les spotlights des plateaux porno. A 18 ans, elle enchaîne les petits boulots pour aider sa mère. « L’année avant que je commence à faire de la cam, j’ai généré 14 900 $ en cumulant trois boulots. J’ai aidé ma mère autant que je le pouvais », témoigne-t-elle sur les réseaux sociaux. Maman, il en est toujours beaucoup question avec Alex. « Je l’aime. C’est la meilleure personne que j’ai jamais rencontrée. Quand j’étais plus jeune, j’ai été témoin de moments très difficiles qu’elle a passés avec les hommes. Jusqu’à l’âge de 21 ans, j’ai suivi ses conseils de me tenir éloignée des choses du sexe. Elle me disait que ça faisait mal et que j’allais détester chaque seconde de l’acte. Elle ne voulait pas me faire peur, mais me parlait de son ressenti, avec honnêteté. Par la suite, tout ce que je lisais me disait, au contraire, que c’était génial et libérateur. Tout ça m’a rendue hésitante et trop exigeante. Je voulais le bon mec au bon moment », explique-t-elle lors de son second passage en interview pour le site Adult Talk.

Parce qu’elle est très active sur les réseaux

Elle s’y épanche beaucoup, évoquant ses joies, ses peines et ses pépins de santé, dont le dernier en date, une colposcopie qui l’a laissée deux semaines sur le flanc. « Je suis très proche de mes fans et quand j’entends des filles très mal en parler en privé alors qu’elles vivent grâce à eux, ça me rend malade, enchaîne-t-elle. Ça n’a pas de sens pour moi de dénigrer les personnes qui me permettent de faire le job de mes rêves et qui mettent la nourriture sur ma table ». Si elle faisait de la politique, on parlerait de démago, mais on ne peut toutefois pas reprocher à Alex Coal d’être proche de son public. C’est la règle pour durer quand on n’est pas une superstar. De même, qu’on ne peut lui reprocher d’être fake. « Je suis quelqu’un d’authentique. Je mets mon cœur dans tout ce que je fais. Ma personnalité est la même sur et en dehors des tournages. Je pense que j’ai joui au moins sur la moitié de mes scènes. Ça se passe toujours de manière très naturelle, je n’ai jamais été stressée. Au contraire, j’aime qu’on me regarde ».

Parce qu’elle a un caractère dominant

Si elle aime le regard, la brune de 33 ans aime aussi et surtout regarder de haut : « je dirais que je suis dominante, mais pas dominatrice, reprend-t-elle à Xbiz. Même si je me fais baiser, je n’aime pas que l’on me parle mal. Je ne suis pas « à toi » et je ne suis pas dans l’optique d’appartenir à qui que ce soit. Au passage, je dirais que ce sont les hommes les plus jeunes qui ont un gros ego. Je préfère les hommes plus mûrs. Ils sont plus cools ». Sans être domina, celle qui se faisait appeler Harley Quin à ses débuts est aussi à l’aise sur une scène de catch porno qu’avec une cravache dans une séance de BDSM pour Kink. Son mètre 60 n’est en rien un obstacle à l’accomplissement de scènes fétiches crédibles.

Parce qu’elle est aussi Madame tout-le-monde

Mariée et mère de famille, Alexandra, dit Alex Coal arrive à tout mener de front et ne changerait de vie pour rien au monde. Drivée par l’honorable OC Modeling, elle renvoie l’image d’une femme de tête et tel un bon vin, se bonifie avec le temps. Tout sauf un hasard, elle est de plus en plus bookée par les studios de haut standing et apparaît seule sur les covers des films. La patience et le travail payent toujours. Installée à Las Vegas, celle qui a désormais dépassé les 500 scènes livre des tranches de vie à ses 500k suiveurs. Entre les chats qui se baladent, ses randonnées dans les montagnes et les petits plats qu’elle prépare, elle leur recommande même des lectures des plus sérieuses comme Soil Not Oil de l’autrice indienne Vandana Shiva.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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