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5 bonnes raisons de s’intéresser à Gia Derza

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Dans l’ombre d’une Emily Willis ou d’une Abella Danger, Gia Derza n’était pas programmée pour devenir une star, mais le destin ne se contrarie pas. Six ans après son entrée en scène, la native de l’Ohio fait partie du cercle fermé des actrices AAA qui ont droit à des showcases centrés sur leur personne. Voici les clés de son succès.

 

Parce que c’est une stakhanoviste de l’anal

Avant sa toute première scène pro, avec Chris Stroke pour Slut Puppies 12, Gia ne s’était fait sodomiser que trois fois. Pourtant sur cette scène, Gia constate qu’elle gape comme pour rire. « Il avait vraiment une longue queue pour aller dans mon cul. Je n’en avais jamais eu une si grosse, mais elle est rentrée toute seule », glisse-t-elle dans le Behind The Scene de la vidéo. Depuis ce jour de 2018, la bombinette de 25 ans n’a jamais cessé d’en faire. Créditée de 667 scènes dont une bonne moitié avec la pastille qui dessine des ronds parfaits, elle est reconnue comme l’une des trois plus grandes performeuses de la spécialité. Car force est de constater que ce qu’elle appelle son pizza butt est une ode au passage par la porte de service, nommé tous les ans par les fans pour le titre de Most Amazing Ass aux AVN Awards.

Parce que la gonzo girl s’est muée en actrice

A Twinsburg, son patelin d’origine dans l’Ohio, Gia était, de son propre aveu, innocente et naïve. Elle étudiait pourtant la criminologie et la sociologie. Un cocktail qui aurait pu la rendre plus dégourdie, mais non. Une fois arrivée dans le porno, elle a continué à jouer sur la corde de la spinner pleine de libido, mais aux antipodes de la mante religieuse. « Je suis la fille la plus sexuellement soumise qui existe », confiait-elle d’ailleurs à AVN lors de ses débuts. Des années plus tard, ce n’est plus le même son de cloche. Gia est aux commandes de sa sexualité. C’est elle la femme fatale, la vestale. Signe de son succès, pour son premier showcase, Gia, sorti fin 2021, elle a droit à une mise en scène sur mesure de ses fantasmes, sous la houlette de la hall of famer Dana Vespoli. Dans le genre, elle se rapproche de Meryl Streep, même si elle en est encore loin. Faut pas déconner non plus.

Parce qu’elle a joui six fois au cours d’une scène

Voici une anecdote ancienne, mais révélatrice : une fois sa deuxième scène avec le performeur James Deen terminée, Gia Derza a pleuré des larmes de joie. « C’était si bon, vraiment incroyable. Il m’a fait jouir six fois quand on a retourné ensemble. Sa seule présence m’électrisait », lâcha-t-elle à l’officiel du X. Aucune raison de ne pas la croire, d’autant que Deen, son partenaire, a confirmé l’alchimie sur le plateau de New Sensations : « Elle baise comme le démon et peut faire tout ce qu’elle veut dans cette industrie ». Et jusqu’ici, elle a fait tout ce qu’elle a voulu. En revanche, Deen, personnage controversé, a été dégagé du paysage peu après sa fameuse scène avec la starlette.

Parce que c’est une pornstar par vocation

Gia fut une fan avant de passer de l’autre côté du miroir. Une vraie. « Ça fait si longtemps que je veux devenir une pornstar que je ne me souviens même plus depuis quand, raconte-t-elle à Dan Miller, RedChef d’AVN. J’avais un modèle, Skin Diamond, et puis j’ai découvert Abella Danger. Quand Skin a arrêté, j’ai dû trouver quelqu’un d’autre, parce que je suis le genre de personne qui devient fan de quelque chose à travers quelqu’un. À ce moment-là, j’ai eu un gros coup de cœur sur Abella ». Ainsi, à chaque nouveau rôle, elle croisera un ou une de ceux qui furent ses idoles : Ferrara, Deen, Kendra Spade, Abella Danger, Mick Blue ou Mark Spiegler qui deviendra son agent.

 

Parce qu’elle est la « Ronaldo du porn »

L’expression est de Charles Dera, couronné Meilleur Performeur aux AVN Awards en 2019 et avec lequel Gia Derza a accompli sa scène la plus hardcore. « Quand vous regardez Gia pour la première fois, vous pouvez la trouver timide, limite introvertie, mais elle est La Bête ! (sic) disait Dera lors de la convention Sexxxotica de Miami en 2022. Il faut juste la faire sortir. Si vous ne vous en sentez pas capable, ne shootez pas avec elle, car elle est la Ronaldo du porn. Elle vous défoncera ! » Par la suite, il parle d’elle comme Alain Delon de ses conquêtes : « Avec moi, il n’y a pas de cut sur les scènes. Si vous êtes une débutante et que vous pouvez gérer le style huilé de Charles Dera, c’est que d’abord, vous êtes très, très intelligente. Ensuite, parce que vous écoutez Charles, vous aurez un futur brillant. Au final, vous serez au sommet de la liste de Charles. Nous avons travaillé trois fois ensemble pour des scènes où l’huile dégoulinait partout, et elle a géré ça comme elle prend un brunch sur Sunset Boulevard. Elle a tout mon respect ». De la part d’un type qui a tourné 2 500 scènes en 20 ans, ça veut tout dire…

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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