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Kelly Collins. Comme un air de Kayden

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Kelly fait peut-être le maximum pour gommer qu’elle est russe, mais elle est bien trop canon pour tromper son monde. Beauté aérienne, presque éthérée, elle replonge le X dans une période qu’on pensait disparue avec Sexart. Et comme souvent avec les modèles slaves, elle est d’un appétit sexuel féroce. Aperçu.

 

 

Best New Starlet aux Xbiz Europa Awards l’année dernière, Kelly Collins a fait une entrée fracassante dans le X européen dès sa première vidéo, une scène avec Alberto Bianco et Alecia Fox, tournée en février 2022 et sortie en août de la même année. Âgée de 25 ans et née en Russie, Kelly n’est pas une Cosette cosaque, même si elle a grandi loin des centres urbains.

« J’ai grandi dans l’Oural, loin de la capitale, raconte-t-elle à Xbiz dans sa présentation de la lauréate. J’étais studieuse, mais je n’aimais pas l’université. Je ne suis pas arrivée dans le X suite à un trauma. J’ai eu une enfance parfaitement heureuse, au grand air, avec une famille et des amis qui m’entouraient. Alors peut-être que je m’ennuyais un peu, oui, mais la vérité est que j’ai toujours été une personne très sexuelle. Les gens qui me connaissent le savent ! J’ai connu une dizaine de mecs avant de faire du X. J’ai été engagée dans des relations plus ou moins longues et quand je suis en couple, je suis une personne fidèle et loyale. C’est peu avant de rentrer dans le X que j’ai découvert que j’étais polyamoureuse, polygame et que j’ai commencé à expérimenter l’amour libre. J’ai essayé les filles, les couples, mais même ça, ça m’a ennuyée. Ce n’était pas assez pour moi ».

 


Ce mortel ennui comme chantait Gainsbourg, Kelly y est visiblement très sensible. « Même faire de la cam m’ennuyait. Je cherchais quelque chose avec lequel je pourrais avoir un échange physique avec les gens. Je n’avais déjà pas peur de me montrer nue et le visage apparent, mais je voulais être mise en valeur, être glamour et que ça ait l’air opulent. J’avais en tête le porn européen ». Quand Vixen lui a offert un contrat d’exclusivité sur un plateau d’argent, un nouveau monde s’est ouvert à Kelly, cérébrale en même temps qu’amatrice de beaux engins. « J’aime les grosses queues. C’est plus facile de me convaincre de baiser avec un mec, s’il en a une grosse ! À côté, je suis plutôt cérébrale. Je peux mouiller pour quelqu’un simplement parce que je sens que je partage la même vision de la vie. Il faut juste que j’aime passer du temps avec parce qu’il a un chouette caractère ou au contraire parce que c’est quelqu’un d’irrévérencieux et d’arrogant. Après, honnêtement, il ne doit pas être vilain. Le reste n’est qu’une question d’hormones ». Au lit, le grand gagnant se verra ouvrir les portes du paradis. « Dans l’acte, je n’ai pas peur de grand-chose. J’aime tout ce qui peut me rapprocher de mes limites, toutes les formes de fétichisme. Soumise ou dominante, peu importe, je peux être les deux ».

 

 


Son mood sur le sexe est comme tout le reste chez elle : lié à son niveau d’emmerdement. « Comme j’ai tendance à m’ennuyer, je peux me masturber beaucoup, jusqu’à trois ou quatre fois dans la même journée. J’aime bien regarder des scènes hardcore avec deux mecs, voire plus, des gros plans et tout ça. Perso, je ne peux pas regarder du X trop lent et sensuel, je n’y vois rien de sexuel. Alors ce n’est pas le type de porno que je ferais, mais je suis de plus en plus curieuse de ce genre de scène ».

D’une beauté hors du commun, Kelly n’aura sûrement jamais besoin de performer dans de gros gangbangs. « De toute façon, je ne vois aucun intérêt à faire des doubles anales ou vaginales, que ce soit au niveau de mon image ou financièrement. Je réserve ça pour un délire plus personnel. Pareil pour le sperme. Je n’aime pas les faciales, je n’aime pas les liquides collants et même dans la bouche, ça me donne envie de vomir. Soit, je l’avale directement, soit je fais un creampie ». Quand elle n’est pas sur un set porno, Kelly passe une bonne partie de son temps à geeker. « Je suis tout le temps sur la PS et la Switch. J’essaie de faire un peu d’exercice pour déstresser aussi. J’ai tendance à ne pas faire beaucoup de sport. Mais ce qui me plaît le plus en ce moment est de voyager, découvrir de nouvelles villes à visiter, même les musées commencent à m’intéresser ». Logique, à sa manière, Kelly Collins est une œuvre d’art vivante, préservée à travers la vitre d’un écran.

 

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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