Actrices
Catherine Knight. K-2025

Catherine n’est pas un personnage inédit du MCU, mais elle fait quand même ses propres cascades. La Chilienne de 31 ans, installée en Europe depuis 2020, poursuit une jolie carrière entamée en 2021. Hardcore par nature, sans pour autant faire de concession sur le glamour, Cat est d’une beauté qui respire l’intelligence.
À première vue, Catherine Knight n’a rien d’une latina. Pourtant, elle l’est. « J’ai grandi au Chili, déroule-t-elle à Fleshbot. Enfant, j’étais très introvertie, mais je ne suis pas arrivée dans le X par hasard, car j’étais obsédée par la mode. Je voulais devenir mannequin ». Et elle le devint. « Je suis montée à Santiago et je me suis présentée dans les deux plus grosses agences de la capitale. Je leur ai proposé de me caster. Ils ont accepté. J’ai commencé dans la foulée et j’ai travaillé non-stop. À l’époque, j’étudiais, je voulais devenir médecin, mais le modeling était trop prenant ».
En 2018, Cat débarque en Europe et s’installe à Berlin (ville qu’elle a quittée depuis, pour Budapest). « Je connais bien Berlin, car j’avais une relation longue distance avec un mec ici. C’est une ville que j’ai toujours kiffée : la techno culture, le sex positif, la communauté queer, la tranquillité. C’est ici que j’ai voulu absolument venir quand j’ai quitté le Chili ».
En 2020, la pandémie de Covid l’oblige à se réorienter. Fini le modeling, elle passe à la webcam. De toute façon, le cœur n’y était plus. « J’ai perdu la passion et ce n’était plus aussi bien payé. Et ça m’avait détruite mentalement. Il fallait toujours être la plus belle, la plus jeune, la plus grande. Ce n’était jamais assez. Sur cet aspect, travailler dans le sexe est positif. Il y a plein de types de corps différents qui sont mis en avant et j’aime ça », raconte-t-elle à AVN en 2021. Pour une personnalité aussi active que Catherine, l’expérience de la webcam atteint vite ses limites. « Quand j’ai commencé la webcam, je me suis vite rendu compte que rester 3 heures d’affilée devant une caméra n’était pas fait pour moi. Je posais au lieu de parler à la cam. Je n’étais pas naturelle. Maintenant, ça va mieux, mais ce n’est quand même pas ce que je préfère ».
Catherine Knight est plutôt emballée à l’idée de créer du contenu, ce qui va l’amener à collaborer avec Marcelo Bravo, à l’affût des nouveaux talents en Europe Centrale. « Le sexe a toujours occupé une part importante dans ma vie. Je n’ai aucune idée du nombre de mecs que je me suis tapée, mais j’ai de l’expérience, je pense ! Tous les genres m’attirent, y compris les filles. J’ai toujours été inspirée par les travailleurs du sexe. Je les ai toujours trouvés Badass et c’était le bon moment pour moi d’en faire partie ! » Sa première scène sortira en décembre 2021 et sera pour Glamcore, une des séries produites par l’Italo-Tchèque. Suivra une cohorte d’autres pour les géants du secteur : Private, Evil Angel, MetArt, Brazzers, Tushy…
Au fil des tournages, la Chilienne se fait une opinion qui n’est pas toujours à l’avantage du business. « Le X a l’air ouvert et sans jugement, continue-t-elle à AVN, mais le niveau de misogynie et d’hétéronormativité m’a déçue. J’ai été témoin de blagues homophobes. Pour moi qui m’identifie en tant que queer, j’ai été très attristée ». En dépit des crétins, Catherine a fait son trou à vitesse V. En janvier, elle sera ainsi en bonne place pour remporter l’AVN Award de l’International Performer of the Year.
Une consécration pour cette grosse bosseuse qui a choisi de travailler sous son vrai prénom. « J’en avais marre qu’on m’appelle autrement. Je ne voulais pas un nom qui sonne fake et qui fasse pornstar. À côté, je voulais quelque chose qui sonne comme une marque. J’ai fait une recherche et j’ai trouvé qu’il existait aussi une Catherine Knight, une tueuse en série ! C’était marrant. J’ai décidé de le garder ». C’est la seule fantaisie que s’octroie ce modèle de professionnalisme qui ne laisse rien au hasard. « Dans la vie de tous les jours, je suis une maniaque du contrôle. C’est pour ça que j’aime me relaxer et m’abandonner dans l’acte sexuel, même si mon passe-temps favori est de regarder du porno et l’étudier. Je suis une droguée de boulot. Je décortique les films et je regarde ce que je peux utiliser chez les autres pour m’améliorer. Plus je performe, plus j’ai envie d’apprendre. Je veux que le monde voit ce que j’ai à lui offrir ».
Cette motivation débordante transpire dans ses scènes : Catherine est de la trempe des grandes performeuses et nous ne saurions trop vous conseiller de jeter un œil sur ses scènes et à la suivre.
-
Actricesil y a 11 heures
Candy Scott : « Le hardcore, c’est un peu les Jeux Olympiques du cul »
-
Actricesil y a 1 semaine
Kate Dalia. L’éclosion
-
Actu/Newsil y a 5 jours
IA : quel avenir pour le porno ?
-
Actricesil y a 3 ans
Les plus gros seins du X
-
Acteursil y a 6 ans
Les plus grandes légendes du porno black
-
Actu/Newsil y a 2 ans
L’orgasme prostatique : mode d’emploi
-
Actricesil y a 5 jours
[Vidéo #350] Working Girls, l’entretien professionnel de Melrose Michaels
-
Actricesil y a 5 ans
Les 20 Reines de l’anal