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Les politiques sont chauds du slip !

La mort récente de la célèbre « madame Claude », née Fernande Grudet, le 19 décembre 2015, vient nous rappeler que sexe et politique ont toujours entretenu de proches, et parfois dangereuses, relations. En son temps, dès les années soixante, cette femme d’origine modeste avait bâti sa carrière avec une énergie de fer, devenant la plus célèbre « mère maquerelle » de France : ayant développé un réseau de prostitution haut de gamme, elle fournissait des belles filles et autres top models en mal de contrats à tout ce qui comptait de VIPs de l’époque, moyennant 30 % de commission sur toutes les activités de ces dames. Son bordel, situé au 32 rue de Boulanvilliers dans le seizième arrondissement de Paris, était connu de toutes les « huiles » de la politique, des médias et du showbiz, qui venaient y partager des plaisirs clandestins entre deux confidences sur leur métier, voire quelques échanges de secrets d’État.
Au milieu des années 70, fin de la récréation : Giscard et son ministre de l’Intérieur Michel Poniatowski décident de mettre un terme aux activités de l’entremetteuse, la harcelant sur le mode fiscal et la contraignant à l’exil.
De nos jours, bien que la prostitution soit interdite depuis une absurde loi du gouvernement Sarkozy, que le client ait été pénalisé par le gouvernement Hollande, et que les « bordels » n’existent officiellement plus, les personnes averties savent pourtant que les choses n’ont guère changé depuis madame Claude. Elles sont juste plus discrètes, plus hypocrites. Car, aussi loin que l’on remonte dans le temps, sexe et politique ont toujours fait bon ménage.
DE GISCARD À SARKO, TOUS DES QUEUTARDS !
Tout le monde le sait aujourd’hui, de nombreux récits et essais de journalistes « sérieux » en ayant témoigné : les hommes politiques sont de grands queutards. Ils ont besoin d’avoir de fréquents rapports, et de multiples partenaires. On se souvient de John F. Kennedy, dont certains de ses proches disaient qu’il avait besoin de plusieurs rapports quotidiens pour pouvoir exercer sereinement ses fonctions, et du Président de la République française Félix Faure, mort au lit dans les bras de sa maîtresse. Plus près de nous, rappelons-nous des frasques extra-conjugales que l’on prêtait à Giscard, sans même parler de son penchant pour l’écriture de récits érotiques plus ou moins autofictionnés, le plus connu narrant ses fantasmes les plus intimes et les plus brûlants avec la belle et regrettée Lady Di ! Plus tard, il est devenu notoire que François Mitterrand ne réservait pas ses faveurs qu’à son épouse officielle Danielle, et que bien des personnalités féminines des années 80 – sans parler de nombreuses journalistes – l’ont connu intimement. Idem pour l’élégant et séduisant Jacques Chirac, qui selon certains journalistes, pratiquait beaucoup les « cinq à sept » vite fait : « Cinq minutes, douche comprise » était même le surnom que lui donnaient quelques-unes de ses maîtresses !
Pour Sarkozy et Hollande, l’Histoire n’a pas encore fait son œuvre et il serait imprudent de livrer des révélations croustillantes. Toutefois, il semble clair qu’eux aussi partagent le même goût pour les choses du sexe que leurs prédécesseurs : les escapades en scooter de Hollande pour rejoindre plus ou moins discrètement sa comédienne de maîtresse Julie Gayet ont fait rire la France entière et au-delà, tandis qu’on prête à Sarkozy de multiples aventures… que l’on se gardera bien de rapporter ici.
COPAINS COMME COCHONS, CES POLITIQUES !
Et pourtant, dans le monde du porno, on en connaît des choses que l’on pourrait révéler ! Sans doute parce les professionnels du secteur sont souvent eux-mêmes des libertins fréquentant les mêmes clubs spécialisés que certaines stars de la politique, des médias et du showbiz, et que beaucoup d’actrices ou ex-actrices ont aussi des activités d’« escortes »… et qu’il leur arrive donc de passer une soirée rémunérée par telle(s) ou telle(s) personnalité(s). L’affaire de la bimbo Zahia nous a démontré que le monde du foot était concerné par ce type de prostitution, mais pas touche au petit monde de la politique. À ce sujet, les médias sont toujours d’une pudeur de bleuette : sujet tabou, atteinte à la vie privée, disent-ils. OK, mais quid quand la vie privée interfère dans la vie publique, comme l’a révélé l’affaire DSK ?
Bref, il faut admettre que, dans le monde de la politique, on aime le sexe tout autant que les footballeurs. Simplement, on le pratique honteusement et discrètement, en espérant que ça ne se saura jamais. La prostitution est interdite, le client récemment pénalisé par les socialistes ? Pas grave, les lois sont faites pour les manants de citoyens, pas pour les tenants de la nomenklatura et de l’oligarchie dirigeante, qui peuvent continuer de festoyer hors la loi du moment que c’est fait discrètement. Ces gens-là ont les moyens de réserver une suite dans un grand hôtel, et d’y faire venir les plus belles escortes contre deux ou trois mille euros en espèces la nuit. Ou bien, plus modestement, on fréquente les salons de massage thaïs du vingtième arrondissement de Paris. Ou encore, on part entre amis VIPs en virée nocturne dans les clubs libertins de Paris, tel ce petit groupe composé d’un ex-ministre des Finances, d’un ancien ministre de la Culture et d’un célèbre animateur télé abonné aux émissions intellos, tous trois copains comme cochons dès qu’il s’agit de tomber le pantalon aux Chandelles ou ailleurs.
Mais après tout, quel mal y a-t-il à se faire du bien, pourraient nous dire ces augustes personnages ? De toute façon, personne n’en saura rien puisque les cochonneries ne se passent pas sur la voie publique. Et puis, on a les relations qu’il faut si l’on doit étouffer un petit scandale, hein ? Pas question de finir comme l’imprudent DSK, puni et humilié par là où il a péché toute sa vie.
L’INSONDABLE MYSTÈRE DU PÈRE DE L’ENFANT DE RACHIDA DATI !
À la vérité, cette fascination/obsession du personnel politique envers les choses du sexe ne touche pas que les hommes. Certaines femmes politiques ont aussi une réputation de bonnes chaud… euh, enfin disons qu’elles sont aussi intéressées par la bagatelle que leurs collègues mâles. Pas question de livrer trop de noms ici, mais on peut sans risque évoquer le cas Rachida Dati tant il est notoire et factuel, ayant diverti la France voici quelques années : entre son lapsus « inflationniste », son comportement alcoolisé face à Bernard Laporte lors d’une garden-party à l’Élysée [1] et le mystère jalousement gardé de l’identité du père de son enfant, le dossier de la libido complexe de l’ex-Garde des Sceaux semble lourd !

Une professionnelle se prépare à recevoir en toute discrétion l’un de nos ministres. Et pas grave s’il a voté la pénalisation des clients !
Il y a eu aussi cette petite affaire marrante sous Sarkozy, mettant en scène deux ministres en exercice, mariés chacun de leur côté, qui ont voulu prendre un peu de bon temps ensemble. Réunis un soir dans une chambre d’hôtel, leurs galipettes les ont amenés à grimper sur une table, laquelle s’est lamentablement effondrée en pleine action, causant des dommages au bras de la dame et l’obligeant à porter un bandage l’espace de quelques semaines. Présenté par les médias comme un accident de ski, la réalité des faits oblige à dire qu’il s’agissait bien plutôt d’un tragique accident de levrette !
L’INSTINCT DU GRAND SQUALE
Alors, pourquoi beaucoup d’hommes et de femmes politiques sont-ils aussi souvent des obsédés du cul ? Sexe et politique sont-ils indissociablement et inextricablement liés par une mystérieuse alchimie ? Et, puisqu’il semble que oui, pourquoi ?

Le cadre feutré et luxueux des clubs libertins hauts de gamme permet des rapprochements complices entre journalistes, politiques et showbiz.
Peut-être parce qu’il faut des couilles, et des grosses, fussent-elles virtuelles (pour ce qui est des femmes) si l’on veut avoir une certaine durabilité et influence dans le paysage politique. La politique c’est âpre, c’est violent, il faut posséder une grande agressivité en soi, et ne pas hésiter à s’en servir brutalement afin de dominer l’adversaire. C’est un cliché de dire que le monde de la politique est un milieu de requins sans pitié, mais c’est surtout une réalité : tous les grands personnages de la politique sont de grands fauves, ou plutôt de grands squales prompts à réagir à toute attaque et à se défendre sans pitié. Ce sont des tueurs, des guerriers et des guerrières ; la pulsion agressive, primale et animale, fait partie de leur personnalité et de leur vie. Peu étonnant, dès lors, qu’une autre pulsion primitive puissante venue du fond des âges comme la pulsion sexuelle agisse également sur eux comme un aphrodisiaque indispensable à l’exercice du pouvoir. C’est en tout cas ce que semblait nous dire Stanley Kubrick dans son film-testament « Eyes wide shut », où tous les participants à la mystérieuse orgie du château semblaient être de hautes personnalités.
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