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Plan médical : viens voir le docteur gay, non n’aie pas peur !

Pas besoin d’être accro au porno pour savoir que la figure du docteur y est largement présente. Mais si dans le x hétéro les infirmières cochonnes volent souvent la vedette, dans le porno gay c’est bien le médecin qui prend toute la place et laisse libre cours à son imagination pour soigner à sa façon bien particulière ses patients. Un fantasme qui est devenu un trip puisque désormais certains garçons s’adonnent à un type de plan sobrement appelé « plan médical ». C’est le moment d’observer ce qui se cache vraiment sous la blouse…
Pourquoi fantasmer sur son médecin ?
Déjà à l’âge d’or du porno gay des années 1970 et 1980 on trouve des médecins très portés sur les étreintes viriles. Des docteurs assurément pervers qui profitent de leur position pour déshabiller leurs patients et jouer rapidement avec leur postérieur. Les fesses à disposition, sous contrôle, le patient se laisse faire, examiner, et le professionnel de la santé se plait à introduire en lui des doigts, puis un sextoy et pour les plus audacieux c’est même un fist fucking qui se déploie !
Pourquoi le docteur a-t-il d’emblée eu la côte ? Déjà, il y a le « costume ». La blouse blanche en fait fantasmer plus d’un. Simple goût pour son esthétique, pour sa couleur synonyme de pureté. Un habit qui confère à celui qui la porte une stature particulière, une certaine autorité. Quand on va voir le docteur, c’est que l’on ne se sent généralement pas très bien, que l’on est inquiet, que l’on a besoin d’aide. C’est un homme auquel on se présente en étant vulnérable. Et c’est donc quelqu’un qui est logiquement censé nous rassurer, nous « prendre en main ». Dans le cabinet médical, on se met à nu, dans tous les sens du terme. On parle de ses maladies, on se dévêtit, on confesse ses mauvaises habitudes. Le doc c’est le mec auquel on dit et montre ce que l’on ne dirait ou ne montrerait jamais à notre premier rencard. Il sait qu’on dort mal, qu’on a une gastro, une MST, un nombre incalculable de phobies, de faiblesses. C’est un rapport qui exige une confiance rapide, instantanée. Une sorte d’abandon en somme.
Le docteur est aussi et surtout l’un des rares professionnels qui peut exiger de nous de nous déshabiller et d’obtenir qu’on le fasse sans broncher. Il a accès à notre corps, toutes ses parties et ses secrets. Il nous regarde sans juger, nous touche. Sur le papier, tout cela devrait être très strict, dénué de toute portée sexuelle. On espère d’ailleurs toujours que notre médecin n’aura pas les idées mal placées. Mais n’importe quelle personne qui s’est un jour retrouvée face à un médecin charmant (non, pas celui acariâtre qui a la soixantaine, une chemise trois fois trop grande qui dépasse de la blouse et une mauvaise haleine) a un jour, au moins inconsciemment, fantasmer un minimum.
C’est que le rituel de l’examen médical a quelque chose d’assez érotique quand on y réfléchit bien. Le stéthoscope sur la peau, la respiration que l’on doit amplifier et qui évoque vaguement des râles de plaisir, le médecin qui glisse sa main, la proximité subite qu’il y a entre nous et lui… Dans la réalité, ça ne bascule jamais. Chacun reste à sa place, fait mine que tout cela est très encadré. Dans le porno, ça bascule toujours et pour beaucoup cela a un côté libérateur.
Non on ne parle pas de papa. Pour beaucoup de gays, le médecin est souvent le premier homme avec lequel ils ont pu avoir un contact physique. Julien, adepte des « plans médicaux » se souvient très bien de ces premiers émois : « Déjà petit, avant que je ne découvre ma sexualité, j’étais troublé par mon médecin. Ce n’était pas un homme spécialement beau ou charmant. Mais il avait un mélange d’autorité et de douceur qui me perturbait et m’attirait. Sa main qui touchait mon torse, c’est un de mes premiers souvenirs les plus érotiques. J’avais envie de respirer plus fort comme pour ne plus faire qu’un avec lui. J’étais flatté que cet homme écoute ma respiration, ait l’impression de s’inquiéter pour moi ».
Le médecin conseille, vole à la rescousse. C’est une sorte de héros de proximité. Il se doit aussi en général d’être lisse. Le médecin de famille peut rapidement devenir une projection du mari idéal, d’homme initiateur : il connaît déjà notre corps après tout, pourquoi ne pas le lui donner ? Il engendre une certaine frustration, on a envie de savoir qui est l’homme derrière la blouse…
Froideur et chaleur
En regardant les nombreuses vidéos pornos qui existent sur la figure du médecin, on retrouve toujours en préliminaire cette approche « clinique ». Le doc est toujours au moins un minimum sérieux. Il peut soit être autoritaire et profiter de son pouvoir pour soumettre ses patients ou perdre ses moyens face à un « client » aguicheur. Toujours est-il que le rapport clinique au corps provoque inévitablement un basculement quand le désir s’en mêle. Quand la façon la plus chirurgicale de toucher quelqu’un se transforme en sensualité, c’est explosif !
Dans le porno gay, les scènes entre doc et patients donnent lieu à de délicieuses situations faisant la part belle à la domination-soumission. Qui de mieux qu’un médecin pour parcourir son corps, lui faire découvrir de nouvelles sensations et prendre le dessus ? Tout le cabinet est un véritable terrain de jeu, avec une prédilection pour la table d’examen ou le bureau.
Si, quasi obligatoirement, on ouvre grand la bouche pour faire « aaahhh » avant de s’adonner à la fellation, le x gay qui prend place dans l’univers médical se concentre souvent sur le plaisir anal. Le postérieur des passifs est longuement examiné, doigté, léché (avec des gants comme accessoires de préférence – fétichisme oblige !). Puis on écarte. Le spéculum devient un nouveau meilleur ami et l’élargissement est de mise. Souvent, pendant l’action, le docteur actif si « clean » garde sa blouse pendant la pénétration voire son mythique stéthoscope. Il peut donner des ordres, initier au fist ou prescrire de grosses giclées de sperme.
Le plan médical
Contrairement aux pompiers ou aux policiers, le docteur a donné lieu (un peu à l’instar des militaires) à une véritable forme de sexualité. Qu’est-ce que c’est au juste, un plan médical ? Julien nous explique : « C’est un vaste sujet ! (rires) C’est un trip de niche souvent organisé par des hommes dominateurs et voyeurs. Certains sont de vrais médecins qui reçoivent discrètement dans leur cabinet aux heures de fermeture. D’autres sont des amateurs qui investissent dans une table d’examen ou tentent de recréer chez eux une atmosphère rappelant celle d’un cabinet médical. Il n’est pas rare de voir par exemple un adepte recréer une salle d’attente, d’accueillir son invité en blouse et de l’emmener dans son salon ou sa chambre redécorée et pleine d’accessoires pour jouer au docteur ».
Le jeu est au cœur de ce trip qui fait la part belle au sexe scénarisé. On adopte un rôle, on s’y tient et on s’oublie. « Les plus pointus envoient avant le plan des convocations, font remplir un formulaire approfondi avant la visite. Le thème de la visite médicale est le plus populaire je pense. Ca joue sur le fantasme de l’humiliation, ça peut nous rappeler des moments désagréables ou gênants de l’enfance et de l’adolescence. On se retrouve nu, on se pèse, on accepte les commentaires et on obéit. » Le médecin pousse-t-il toujours au sexe ? « Pas du tout ! » répond Julien comme s’il s’agissait d’une évidence. « Il y a des mecs qui se contentent juste de faire passer une visite classique teintée de touche pipi. Quand je parle de trip vaste, c’est vraiment parce qu’il n’y a pas un type de plan médical mais plusieurs. Ça peut rester très soft, très cérébral et érotique avec des caresses, des massages, un jeu prononcé autour de la frustration comme être carrément hardcore ».
Et que se passe-t-il quand le docteur devient vraiment chaud ? « Ca peut aller très loin. Le docteur peut nous amener à faire pipi et nous entraîner dans un plan uro sous prétexte de test d’urine. Il peut jouer à fond avec notre cul. J’ai un ami qui a même fait un délire avec une sonde anale une fois ! »
La blouse c’est plus fort que toi
Ce que Julien observe, dans la fièvre orgasmique que lui apportent ces plans médicaux, c’est que le physique est au final assez secondaire : « Il suffit d’une blouse, d’un charisme qui rend le mec un minimum crédible dans son rôle et on a envie d’y croire et d’obéir. Ca peut paraître idiot mais à un médecin j’ai envie de tout donner, de me lâcher, c’est une figure qui fait perdre ses inhibitions ».
Pas de doute : le doc sait faire monter la température et a plus d’un gadget pour faire jouir dans ses petits tiroirs… C’est le moment de prendre rendez-vous !
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