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Reine le jour et fantasme la nuit, les reines du monde n’ont rien d’insoumises

Les rois et les reines du monde n’ont pas fait que courir après la gloire et la prospérité. Du haut de leurs châteaux et palais, nombreux sont ceux qui ont déserté la chambre royale pour s’attirer les faveurs du sexe opposé. Du sexe opposé, mais pas que… d’ailleurs. Bien qu’il soit difficile de croire qu’un monarque ait du mal à pécho, leur nombre de conquêtes dépasse de loin celui des victoires guerrières.
Il est facile d’imaginer les rois claquer de leurs royaux doigts et obtenir la vertu de n’importe qui. Mais à ce jeu-là, la gente féminine est toute aussi puissante. Bien que certaines soient sous le contrôle total de leurs époux, d’autres sont une parfaite représentation de pouvoir et de libération.
Pour ouvrir le bal des monarques les plus cochons, la première danse revient forcement à Cléopâtre. La belle d’Égypte, l’ingénieuse et sublime maîtresse du l’Empire romain. Officiellement, trois amants ont partagé sa vie et ses draps. Les deux plus célèbres sont bien évidement Jules César (Salut, Jules !) et Marc-Antoine. Elle avait une image de nymphomane, mais la réalité en est toute autre. C’était avant tout une femme puissante, et stratège, qui consommait les hommes comme bon lui semblait. Après, c’est une reine, elle pouvait faire ce que bon lui semblait. Mais la chose la plus folle était sûrement son vibromasseur. Dans un cornet en papyrus, elle ordonnait à ses esclaves sexuels d’y piéger des abeilles, et de les exciter, avant de pouvoir stimuler son anatomie. Ingénieux et avant-gardiste, il ne reste plus qu’à espérer que les butineuses soient bien enfermées, la piqûre ne devant pas être des plus jouissives.
Si Cléopâtre est sans aucun doute la femme de l’Antiquité la plus excitante, les passions charnelles ne s’arrêtent pas aux portes de l’Égypte. Dans les terres froides et hostiles de la Russie, se trouve un sanctuaire de chaleur et de plaisir. Son nom ? Catherine II. Sa réputation était connue de toutes les cours du pays. Sulfureuse et joueuse, si certains hommes voyaient les femmes comme des objets, la reine, elle, les collectionnait. Aussi futée que talentueuse, les courtisans se battaient pour elle. Elle est la seule à avoir créé la charge de favori. La légende veut que son appétit et son imaginaire étaient si grandissants qu’elle soit morte d’une hémorragie provoquée par une partie de jambes en l’air un peu trop équestre. La tête couronnée aurait surestimé ses capacités et aurait péri suite à ses ébats avec de nombreux hommes… et un cheval. La réalité est moins trash, la cause de la mort est une crise d’apoplexie.
La Grande-Bretagne n’est pas qu’un pays où l’on boit du thé, avec un petit nuage de lait, avec l’auriculaire levé. La reine Victoria, qui gouverna le pays pendant soixante-trois ans, savait comment s’épanouir dans une société où les femmes n’ont pas plus de droits que les enfants. Pour la satisfaire, son mari, Albert de Saxe-Cobourg-Gotha, porta un piercing génital. Cette reine a donc inventé le Prince Albert. Les partouzes ne hantaient pas les salles de Buckingham, mais il était fréquent que les soirées privées aient pour thème l’exotisme du Kamasutra.
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