Bio/Milieu du X
Kera Lynn : « baiser n’est pas une compétence »

Qu’elle s’appelle Kera Lynn ou Candice Ferguson, ses jambes restent interminables et ses airs intellos exacerbent son sex appeal. Kera détonne au pays des pornstars. Toujours un pied dans le porn et l’autre dans le modeling, elle ne restera plus très longtemps dans le business, alors autant s’allonger, boire frais et savourer le plaisir de la regarder.
LVDX : Comment expliquer qu’un mannequin comme toi fasse du porno ? L’amour du sexe ?
Kera Lynn : Je vais être franche : non. Si tu aimes coucher, tu sors tous les jours ou tu t’installes en couple, tu ne commences pas le porno. Pour moi, ce fut une question d’opportunité et d’expérience à tester. Je ne suis pas une fille qui pense au lendemain. Je vis dans le moment. J’avais envie de savoir si j’étais une bonne actrice, y compris dans ce type de cinéma particulier.
Es-tu consciente de ne pas du tout coller à l’image de la gonzo girl ?
Heureusement ! Même si c’était le cas, je ne prête pas attention à ce que les gens pensent de moi. J’ai toujours été assez sauvage. Depuis que je suis gamine, je n’en ai jamais fait qu’à ma tête. Ça s’est retourné contre moi quelquefois, mais je ne regrette rien.
Tu es connue sous plusieurs noms, pourquoi changer aussi souvent ?
À chaque fois, je découvre que je n’ai pas le droit de l’utiliser ou que je ne peux pas communiquer dessus. J’en ai marre de changer. Il y a eu Kirsten Lee, Kera Nicole Smith, Candice Ferguson, maintenant c’est Kera Lynn, que je garde pour les castings traditionnels aussi. S’il faut que je change encore, tant pis, qu’ils me donnent un numéro. De toute façon, je fais mon boulot, on me paye et le reste ne me regarde plus. Je ne suis plus Kirsten quand je rentre chez moi.
Sur tes scènes, tu es souvent très peu maquillée. Est-ce une impression ?
Je suis une naturaliste. Tout ce que je mets sur mon corps ou mes cheveux, je le prépare et le fabrique moi-même. Je refuse toute forme de produit cosmétique que l’on trouve dans le commerce. Certains studios porno ne m’aiment pas pour ça, ils ne peuvent pas me modeler comme la petite salope qu’il voudrait que je sois. D’autres me disent que je suis une des rares actrices qui puisse se le permettre. Une fois, j’ai fait une concession. C’était pour Brazzers.
N’as-tu pas peur qu’on te prenne pour une diva ?
Je m’en fiche. Dans ce milieu, on ne fait que passer. Toutes. Hormis quelques-unes comme Chanel Preston (NDLR : l’ex-actrice défend les intérêts de ses collègues au sein d’un lobby), nous, les actrices ne faisons que passer. Je ne serai jamais le type de star que j’aimerais être en faisant du porno. Je peux tout arrêter demain, on ne me reconnaîtra pas pour autant dans la rue et je ne fais rien pour. Je ne voudrais pas perdre cette liberté.
Tu n’as pas envie d’être une star, comme tout le monde à L.A ?
Je ne sais pas ce que j’ai fait pour prétendre l’être. Baiser ne réclame pas de compétence ou de talent, même si j’ai beaucoup de respect pour celles qui essaient de faire des pornos différents.
Quel est ton point fort, sexuellement parlant ?
J’aime expérimenter, je suis curieuse de nature. Je suis plutôt grande, j’arrive à prendre beaucoup de positions. Être sur le dos et enlacer le cou de mon partenaire avec mes jambes est une de celles que je préfère. Les possibilités sont nombreuses avec moi.
Tu baises beaucoup ?
J’ai des besoins sexuels normaux, comme toutes les femmes. Je n’étais pas nymphomane avant le porno. Je ne le suis pas plus depuis. Là où j’ai évolué, c’est dans la maîtrise de mon corps. Je suis plus expérimentée et je subis moins dans l’acte. J’emmène mon partenaire là où j’ai envie de l’emmener.
Comment t’y prends-tu pour faire jouir un homme ?
C’est une drôle de question. Je ne me suis jamais demandé : « comment vais-je arriver à le faire éjaculer celui-là ? » La vérité est que je suis toujours en train de douter, je ne suis jamais sûre de moi. J’essaie juste de donner le meilleur dans l’instant, de rester sensuelle, douce, pas trop agressive. Mais je mouille abondamment, je suis souple et profonde si c’est ce qui importe !
Que fais-tu de ton temps libre ?
Rêver, voyager, jouer de la guitare. Parfois je suis artiste, parfois actrice, parfois je fais juste de la figuration. Parfois, je fume trop d’herbe. Ce qui est certain, c’est que je ne peux pas me passer de l’océan très longtemps.
J’aime écrire des poèmes, ils sont publiés dans un mag online : Elan Vital Magazine. Mon waterbed, j’ai un Ford 150 de 6L et j’adore les armes à feu.
Pourquoi fumes-tu des cônes ?
Je fume de l’herbe pour la même raison que des gens portent des lunettes : améliorer ma vision du monde.
Que représente le tatouage que tu as sur la cuisse ?
C’est un attrape-rêve. Il symbolise mes racines natives américaines et allemandes.
As-tu des projets à Hollywood ?
Je viens de tourner dans Jupiter Lift, un film de science-fiction. Avant, j’avais tourné dans Reunion of Secrets, un thriller. Ça fait deux projets mainstream en peu de temps. Je suis contente. Ce n’est pas moi qui vais m’enflammer mais j’espère que ça va continuer et à ce moment-là, oui, je dirai adieu au porno.
Kera Lynn
21 ans
Originaire de Oceanside (Californie)
1m76
55 kg
80B
Filmo sélective :
– Ass in Action (Reality Kings)
– Divine Sex (Hustler)
– Sister Fantasy 2 (Digital Sin)
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