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Olga, le bonheur est dans le gras

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Depuis sa première scène tournée, à l’époque où nous regardions encore le porno en VHS, Olga a passé une vingtaine d’années à peser de tout son poids dans l’industrie du X avant de se retirer pour le plus grand malheur de ses (très) nombreux fans. Retour sur une carrière hors-norme.

 

Dans l’univers, somme toute assez vaste de la pornographie, il peut arriver, et plus souvent que vous ne pourriez le croire, que l’on tombe sur des personnalités exubérantes et plutôt rigolotes comme l’est justement Olga dite « la magnifique ». Immortalisée par de nombreuses productions, la tonitruante actrice ne s’est malheureusement plus montrée devant les caméras depuis bien longtemps. Ainsi, tombait dans l’oubli l’un des grands noms du porno à la française…

 

Car, c’est bien connu, nous les Français aimons les trucs bien cochons, bien terroir et, de ce côté-là, nous sommes servis en ce qui concerne ce pur produit de la campagne alsacienne ! On l’imagine fort bien, d’ailleurs, se rouler dans la fange lors d’une orgie champêtre.

 

Les contes de mamelles rois

Connue surtout pour son physique, vous nous l’accorderez, assez peu banal [un bonnet 115E, qui dit mieux ?], Olga plaît à ses fans non seulement par ses formes mais aussi par ses airs de vieille mère de famille de nos campagnes, dont on imagine assez facilement qu’elle a vu défiler pas mal de chibres tout au long de son existence, avant de comprendre qu’elle pourrait rentabiliser cette véritable passion qu’elle a pour la bite.

 

Son audience dépasse de loin la simple et habituelle sympathie qu’ont généralement les amoureux du porno envers les actrices. Pour eux, elle est une véritable divinité dont ils sont les adorateurs comme les adeptes d’une secte satanique. Ils échangent collections de photos [plus rares les unes que les autres], dissertent durant de longues heures sur ce qui serait le plus excitant entre lui « lécher la rondelle » ou « téter ses énormes seins », le tout entrecoupé de tergiversations pseudo-philosophiques, sur lesquelles nous ne reviendrons pas ici, pour finir par se remémorer les grands classiques de la star

20 000 pieux sous mémère

 

Car, en effet, lorsque l’on évoque Olga, on parle bien de films « cultes » ! Et ne pas avoir vu le mythique Olga, grosse pute bien mûre fera de vous la risée de tout un petit monde, qui pouffera à l’idée que quelqu’un puisse n’avoir jamais vu leur idole s’astiquer la fente avec sa « traditionnelle » culotte en format triple XL, avant de la renifler un grand coup, en mode Kleenex.

Racontant l’histoire d’une bande de potes se retrouvant dans une grande maison pour une partie de jambes en l’air tonitruante, le film certifié « Papy Crado » (ça ne s’invente pas) introduit Olga, et le mot est faible, dans un déchaînement de délires cradingues bien de chez nous. Une pipe, un cunni, l’addition… Le tout s’achevant inévitablement dans une traditionnelle partouze, des plus monstrueuses, à laquelle tous sont conviés, ravis de la présence de celle que l’on surnomme alors « la grosse chiennasse ».

T’as tout mis dans mamie ? !

 

Et justement, elle le mérite bien ce sobriquet ! Accusant près de 120 kg [certains affirment que ses roberts en pèseraient plus d’une bonne douzaine à eux seuls], la Gmilf nymphomane est spécialiste en délires dégueulasses. Et il faut la voir grouiner de plaisir à la réception des premiers jets d’un golden shower reçus lors d’une tournante infernale où s’exhiber de manière focale dans des productions, ô combien poétiques, comme Caviar obligatoire et pisse à discrétion.

 

Mais son succès ne s’explique pas simplement par ces arguments « de poids » ou encore de pratiques. Olga, pour ceux qui en sont toujours au premier stade d’un complexe d’Œdipe mal résolu, est un véritable fantasme vivant ! Avec ses faux airs de « laisse mamie, elle sait faire », dont on devine au premier coup d’œil qu’elle cache bien son jeu, elle fait des heureux non seulement au sein de la communauté « gérontophile », mais aussi parmi ceux qui ont plus d’une fois fantasmé de se taper leur maman très chère. En prime, pour les adeptes de la tétée, il y a de quoi s’amuser, même si ses jets mammaires sont définitivement taris. On peut dire, au final, qu’il y a, dans ses films, « matières » à divertir, pour peu que l’on fasse preuve d’un peu… d’imagination.

Pigiste globe-trotter, essentiellement pour la presse américaine.

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