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« Beef cake« , c’est le terme qu’emploient les anglophones pour désigner les beaux mâles virils aux muscles saillants tel notre invité du jour : le performeur Jay Snakes. À n’en pas douter, sa présence très « alpha » fait frémir dans les culottes, entre sa voix grave, son torse velu et sa tripotée de tatouages. La formidable pièce qu’il porte sur le dos, un serpent à sept têtes représentant la divinité hindoue Naga, est d’ailleurs à l’origine de son pseudonyme, bien loin des considérations sur son entrejambe aux proportions anacondesques. 

Car, plus qu’un corps, Jay Snakes revendique un esprit, une spiritualité, « a soul« , comme il le dit si bien de son accent rauque. C’est ainsi à travers le prisme de la sensation, de la connexion à l’autre, qu’il nous relate son expérience dans le X, de ses débuts infructueux au tournant des années 2000, au déclic très intime qui a fait de lui le hardeur qu’il est. Mu par une sensualité qui confine à la passion, Jay appartient à cette catégorie d’acteurs qui baisent sexy, dont le désir dévorant transcende le quatrième mur pour venir frapper au bas-ventre le spectateur, la spectatrice. Cette authenticité, il en a fait sa quête au sein du X-business. Et c’est avec une impatience non-dissimulée que nous attendons d’en voir les futures illustrations, à commencer par sa performance dans Jacky, dernière production en date du studio Elite

Titulaire d'une maîtrise en cinéma, auteur d'une Porn Study à l'Université Paris VII Diderot, Clint B. est aujourd'hui chroniqueur de l'actualité porno.

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