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Swame Bus, la nouvelle télé-réalité X présentée par Luka

Après avoir orchestré la Swame House, sorte de villa des secrets coquins destinée aux contributrices et contributeurs du réseau Swame, le Monsieur Loyal du X français revient avec un tout nouveau concept qui sent bon le roadtrip ensoleillé sur fond de Côte d’Azur. Le Swame Bus met ainsi à disposition des Swameuses et des Swameurs le savoir-faire technique de la production Elite pour une virée no limit entre professionnels de l’exhibition. Les premiers épisodes sont dès maintenant accessibles sur J&M TV.
Comment a germé l’idée d’un Swame Bus ?
Ce concept est né de la réflexion sur l’avenir du porno. D’ici 5 ans, il y aura plus de productions avec un iPhone qu’avec une caméra. Le geste qu’on fait le plus aujourd’hui avec un téléphone, ce n’est pas de le mettre à son oreille, c’est de le mettre devant ses yeux, pour faire une photo ou une vidéo. Devant l’essor des réseaux d’intimité comme Swame, c’est le rôle des diffuseurs de comprendre ce qu’il allait se passer avec le business. Avec le développement de ces nouvelles plateformes, l’ancien temps est sans doute révolu, car il y a des milliers de modèles, qui ont déjà fait par eux-mêmes la démarche de faire de la photo, de la vidéo et de s’exposer. Fort de son audience, J&M peut promouvoir ses modèles facilement !
Il fallait vraiment se réinventer totalement, avec Swame, cette plateforme d’intimité où on retrouve tous ces modèles qui ont déjà fait la démarche personnelle de s’exhiber. Et c’était bien, il y a deux ans. Chacun a son petit réseau, on trouve ses petits clients. Mais depuis, le secteur s’est densifié, avec l’arrivée des camgirls, qui ont trouvé leur place sur ce réseau, puis les petites coiffeuses, les stagiaires, les mères aux foyers, les anciennes stars de la télé-réalité… C’est plus vraiment du porno, c’est de l’exhibition poussée. Et cette exhibition poussée, elle a ses limites. Les contenus finissent par converger. Parce que la production est un métier, qui nécessite du temps et de l’argent. Et pour la plupart, ces réseaux sont une activité secondaire, le beurre dans les épinards. Elles n’ont pas forcément le temps, ou les techniques, pour produire et proposer un contenu différent. C’est là qu’arrivent tous les nouveaux concepts Swame.
Et le Swame Bus, en quoi ça consiste précisément ?
Swame Bus ne se base que sur le volontariat et c’est exactement monté comme les programmes de télé-réalité. Tu envoies ta candidature pour participer. Cette candidature est validée par la production et la production n’aura aucun rôle de subordination sur les gens qui sont là. Nous, tout ce qu’on fait, c’est leur proposer plusieurs étapes à bord de ce fameux camping-car, dans lequel ils sont 4 à 6, où ils peuvent rencontrer d’autres personnes sur le bord de la route, sous la forme de surprises.
Nous, on leur propose des décors, des activités, mais aussi des castings qu’ils ne trouveraient par forcément s’ils étaient restés chez eux. C’est un endroit où tu peux rencontrer d’autres modèles qui ont le même profil que toi avec qui tu vas pouvoir faire des vidéos. Sur place, tu as une make-up artist, deux caméramen professionnels avec du matériel haut de gamme : image, son, lumière. Tout ce dont tu ne bénéficierais pas ou que tu ne pourrais pas t’acheter par tes propres moyens.
L’idée, c’est de dire : nous, on vous donne tous les moyens. Tu te lèves le matin, tu passes à l’habillage. Quelqu’un t’attend pour te préparer, il y a plein de tenues. Qu’est-ce qui te plairait ? Comment tu veux être aujourd’hui ? Ensuite, tu vas passer au make-up, à la coiffure. Tu es vraiment comme dans un programme haut de gamme de cinéma ou de télé-réalité, tu as tous les moyens de production d’un gros film, comme sur le label Elite, pour faire un maximum de contenu.
Ça représente quel volume d’image, ce Swame Bus, pour les participants ?
Pour un équipage de quatre, sur 24 heures, nos caméras ont enregistré six heures de rush et tandis que les modèles ont produit six heures d’images sur leurs téléphones. Avec tout ce contenu, nous ferons un programme qui sera diffusé sur le nouveau site Jacquie & Michel TV. Et un mois après maximum, les modèles récupèrent toutes les images pour les exploiter comme elles le souhaitent sur Swame. Mais ils peuvent déjà diffuser ce qu’ils ont tourné avec leurs appareils à eux. Donc ils peuvent rentrer avec 5, 6, 7, 8 scènes, qui auraient chacune un coût de production de 5000 euros. C’est le prix de réunir quatre personnes coiffées et maquillées dans un superbe décor, avec le matériel technique, pour un studio pornographique classique. Tout ça, c’est compris dans le deal. Nous, on monte un petit film, et eux ont des heures et des heures de programme pour alimenter leurs réseaux d’intimité et en plus ont de la publicité sur les sites partenaires qui peuvent leur ramener des milliers d’abonnés puisque le deal inclus des liens vers leurs plateformes. Impossible de trouver meilleure publicité avec une telle audience.
Les premières sessions ont donc déjà eu lieu. Comment ça s’est passé ?
Jusqu’ici, trois équipages sont partis en roadtrip X sur la côte d’Azur, le Var et les Alpes-Maritimes.
Les premiers participants étaient Pam, l’égérie Jacquie & Michel, Oletsha, Hiro, Vlad et Sébastien, le professeur de boxe.
Ils ont embarqué dans le camping-car devant une vue magnifique sur le massif de l’Esterel, un panorama splendide sur toute la baie, avec la pierre rouge qui brille au soleil. Les deux filles sont arrivées là en 4×4, elles ont trouvé le camping-car siglé Swame, avec les clés sur la roue. Elles sont montées dans le Swame Bus. Et tout d’un coup, un autre 4×4 est arrivé avec les garçons dedans. Ils ont fait connaissance et ont lu les instructions dispersées à droite à gauche. Ils avaient une feuille de route et ensuite, tout arrivait par texto. Dix minutes après leur départ, ils avaient leur première étape : une plage naturiste, au pied du Massif de l’Esterel. Donc ils sont allés faire du naturisme tous les 4 et c’est parti en couille. Ils ont fini par tous baiser sur la plage. Il n’y avait plus personne, à part un couple qui vit là, qui les a regardé pendant une heure et demie et qui les a applaudi à la fin.
Ensuite, direction Cannes, pour une nouvelle surprise musclée. Ils sont arrivés dans une grande salle de boxe cannoise, privatisée pour eux. Ils sont montés sur le ring et ont eu un prof qui leur a fait un cours d’initiation, mais le but était surtout de leur proposer un endroit avec une ambiance, un décor, une thématique, quelque chose « d’Instagramable » pour leurs réseaux. Ils ont fait quelques défis, et l’une des filles s’est tapé le prof de boxe à la fin, avec l’un des acteurs, pendant que le troisième filmait la scène pour son Swame. Il y a des photos magnifiques.
Le lendemain matin, Pam est partie voir les bateaux sur le port et manque de chance, elle se foule la cheville. Tout l’équipage s’est mobilisé pour lui trouver de la crème. C’est vraiment une philosophie live, avec les aléas que ça implique.
On a fini à Hyères, où un restaurant sur la plage, réservé rien que pour eux, les attendait et dans lequel ils ont pu s’en donner à cœur joie. Et c’est sur la plage qu’ils ont passé le relais à l’équipage suivant, composé de Chloé Chevalier, Miss Alice Wild, Pascal White et Darrell Deeps, un acteur étranger, car Swame s’ouvre à l’international.
On leur avait préparé un autre programme, ils ont eu une piste de motocross en pleine garrigue. Il y avait un champion de la discipline pour leur faire des démonstrations. Ils ont pu se prendre en photo sur le paddock, avec la tente, la moto, les combis, la totale. Et ça a fini en partouze générale.
Le proprio les a invité à un petit barbecue chez lui. Il vit sur les coteaux, donc on leur a proposé de faire des photos au milieu des vignes, dans un cadre splendide, avec la vallée en contrebas. On a fermé la route pour s’isoler sur les hauteurs. Et là, évidemment, c’est reparti. De toute façon, à chaque fois qu’ils remontaient dans le bus, d’un décor à l’autre, ils remettaient ça. Ils étaient intenables, les seins à l’air, le cul à la fenêtre, exhib dans les stations service pour les routiers, au péage… N’importe quoi !
Quelle est la différence entre le Swame Bus et la production d’un film classique ?
C’est totalement différent sans vraiment l’être. C’est totalement différent parce qu’on ne leur dit pas quoi faire, on ne les met pas en scène, on ne coupe pas le porno. Et ça, c’est vraiment important car, du coup, il est sincère et vraiment bandant. Les films que l’on fait, pour Elite, etc. nécessitent une technique et une chorégraphie où l’on coupe toutes les deux-trois minutes. À un moment, on perd une certaine énergie. Alors que là, ils transpirent, ils ont chaud, ils sont rouges, ils s’arrêtent, ils reprennent. C’est du vrai. Je vais te dire quelque chose : même moi, je me suis fait cueillir à trouver ça excitant alors que jamais je ne pourrais trouver un moment excitant sur un tournage classique. La différence, je la trouve là, au plus près de l’intensité sexuelle. Ils décident de tout, on met juste à leur disposition le matériel et l’environnement.
Ensuite, il y a toute une rigueur qui est celle de la télé-réalité. Comme disait Louis Jouvet: « si tu veux une belle pluie, il te faut un bon tuyau d’arrosage. » Donc si tu veux un beau programme de télé-réalité, tu es obligé de le construire. Il n’y a pas de scénario, mais il y a ce qu’on appelle un conducteur. On les retrouve rapidement, toutes les 30-40 minutes, pour leur dire où on en est, ce qu’on va faire, la suite du programme, etc.
J’imagine qu’on est sur le qui-vive. Comment on fait pour ne pas rater LE moment ?
Oui, on équipe de GoPro les endroits où ils sont, comme le camping-car, ce qui nous permet de laisser tourner. Sinon, il faut quelqu’un qui les filme en permanence, comme à Koh-Lanta. En parallèle, je fais le suivi du programme, ce qui est en train de se faire, ce qui va arriver ensuite, mais je dois aussi surveiller ce qui se passe dans notre environnement. Si je passe devant un endroit sympa, que je puisse dire : « Nan, mais il faut qu’on s’arrête là. C’était pas sur le planning, mais c’est canon ici. Ils vont adorer faire des photos, ça va être top ! » Il y a beaucoup d’impro. Et je pense qu’ils ont adoré ça.
Et toi, tu as pris ton pied en tant que producteur ?
Oui, c’est plutôt sympa, il y a moins de contraintes narratives que sur un film classique. Les acteurs sont souvent stressés parce qu’ils ne sont pas comédiens, qu’on leur demande d’apprendre beaucoup de texte alors qu’ils ne sont pas du métier. Ils subissent la pression parce que ce sont des gros budgets, on dépense des grosses sommes tous les jours. L’ambiance peut être lourde, laborieuse. Ce stress est palpable et tout à fait compréhensible. Là, beaucoup moins. On s’efforce de ne pas partir dans tous les sens, mais on les laisse vivre. On leur crée un écosystème pour eux, ils ont juste à en profiter.
C’est beaucoup plus détendu pour eux, et un peu moins pour nous…
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