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Les meilleurs films français des 80’s
Après les films américains, l’été est l’occasion de se reprendre une tranche de nostalgie avec la crème de la crème des films porno français des 80’s. Si la période est moins révolutionnaire que la décennie précédente des 70’s, elle donne à voir quelques-uns des plus grands films X jamais produits, notamment ceux du regretté Michel Ricaud.
L’Education d’Orphélie (1981)
Michel Ricaud et Joachim Wallach formèrent un duo très prolifique à la réalisation, qui officia de longues années pour Private. Avec des films du calibre de l’Education d’Orphélie, on comprend mieux pourquoi la légendaire compagnie suédoise s’attacha leurs services. Coproduit par Ricaud lui-même avec l’Allemand Ulrich Geismar, l’Education d’Orphélie (paru à l’origine sous le titre L’éducation anglaise) s’offre un casting digne du plateau d’une émission d’Ardisson : Catherine Ringer, Sussane Laesson, Claudia Morel et Marianne Imbert entourent une Brigitte Lahaie, qui débutait à l’écran dans un petit rôle. Le pitch, novateur pour l’époque, sera repompé des centaines de fois par la suite : recueillie par son oncle, un libertin bigame, après la mort de ses parents, la jeune Sylvie est envoyée dans un pensionnat qui dispense une éducation façon Angleterre victorienne. Elle y apprendra aussi et surtout les ficelles du vice sous la férule d’une tutrice dépravée. Un film qui fera date.
Bourgeoise et Pute (1982)
Gérard Kikoïne est unanimement reconnu comme l’un des meilleurs réalisateurs de film porno qu’ait connu la France. Coproduit avec les Allemands de Beate Uhse et distribué par Alpha France, son film Bourgeoise et Pute repose sur un scénario brillant et une ambiance chabrolienne. Dans un double-rôle, Cathy Menard incarne Sandra et Muriel, deux sœurs jumelles aux caractères opposés. L’une est morte, l’autre prend sa vie et Kikoïne perd son spectateur dans les méandres de la schizophrénie. Et pour ceux que l’histoire n’intéresse pas, reste la divine Marilyn Jess…
La femme objet (1980)
Le mythe de Frankenstein revisité par Frédéric Lansac offre à Marilyn Jess son meilleur rôle face à Queue de béton, alias Richard Allan. Ce dernier, écrivain de science-fiction, épuise toutes ses conquêtes féminines au point qu’il crée de ses propres mains ce qu’il pense être la femme ultime, un robot qu’il soumettra à ses moindres désirs. Comme toute bonne créature, elle échappera à son contrôle… Peuplé de Flashbacks et conté sous la forme d’une voix off, La femme objet a marqué le début de la décennie.
Dodo, petites filles au bordel (1980)
Avec Dodo, Francis Leroi imagina il y a quarante ans une histoire qui serait impossible à réaliser dans le climat hystérique de 2020. Jugez : Albert et Lulu sont un couple qui tient un bordel, le Chat rose. En difficultés financières, ils sollicitent un prêt auprès d’un banquier et, pour l’amadouer, décident de lui faire passer de bons moments avec leurs plus belles filles dont leur propre engeance, Julie, qui va inaugurer ses débuts au boxon. Julia Perrin est divine dans son rôle de petite allumeuse et l’ambiance fleure bon la France de naguère aujourd’hui disparue.
Dans la chaleur de Saint-Tropez (1981)
Une œuvre majeure dans la filmographie de Gérard Kikoïne et un film qui marquera le X français. Marilyn Jess y tient le rôle principal, celui de Karine, qui ment à ses parents la croyant en Bretagne pour partir en escapade sur le tournage d’un film porno du coté de Saint-Tropez. La surprise pour elle sera de découvrir son père en train de mater la cassette du film, une fois rentrée à Paris… Projeté dans de nombreux festivals et même présenté au Centre Pompidou, Dans la chaleur de Saint-Tropez est un vrai film de ciné.
Le fruit défendu (1985)
Le fruit défendu met en scène un écrivain veuf, Alban Cerray, terrassé par le chagrin et tentant de se remettre de la mort de sa femme à la campagne. Sur place, il faudra tout le charme de Tessa (Patricia Violet) pour lui redonner goût à la vie. Produit par Colmax et réalisé par Jean-Luc Brunet, le film est un grand classique et un modèle de porno bucolique qui donne à voir les somptueuses Patricia Violet, Hélène Shirley et Yukijiro Yoko.
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