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5 bonnes raisons de s’intéresser à Desi Mouse

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Desi Mouse est un amour de souris. À 23 ans, l’anglo-pakistanaise habite pourtant là où ça ressemble le plus à l’enfer : Birmingham, un coin qui a peu évolué depuis l’époque des Peaky Blinders. Débutante dans la cam et le X outre-Manche, Desi rencontre déjà un franc succès, car il y a très peu de talents dans son style et avec un tel appétit sexuel. 

Parce qu’elle est dans la niche « Desi Porn »

Si vous tapez « desi porn » dans votre barre de recherche, vous tomberez sur une foule de liens qui pointeront tous vers des actrices originaires de pays riverains de l’océan Indien, que ce soit l’Inde, le Pakistan, le Bangladesh, Madagascar ou Maurice. Cette zone compte parmi les plus gros consommateurs mondiaux de X. Ce que le public ne sait pas ou peu, est que l’immense majorité de ces scènes ont été tournées au Royaume-Uni, pays où le X n’est pas interdit. Desi Mouse ne fait pas exception. Elle se définit comme la première génération de « fille anglo-pakistanaise, qui parle bien et avec un diplôme en sciences médicales (sic) ». Futée à l’instar d’une Mia Khalifa, Desi ne manque jamais de rappeler ses origines, un argument commercial imparable aux yeux de son public qui a très peu d’icônes X à vénérer depuis Sunny Leone, d’origine indienne mais qui a préféré miser sur une fausse origine latine. 

Parce qu’elle raffole des douches de sperme

The UKs no.1 Bukkakistani slut. Inscrite au fronton de son X (Twitter), la formule ne nécessite pas d’être particulièrement doué dans la langue de Shakespeare pour la comprendre. Desi s’est spécialisée dans les partouzes et les bukkakes ou douches de sperme. Difficile de faire plus provocateur. Le Royaume-Uni est une terre où l’amour de groupe est très répandu. Nombre de clubs libertins proposent des après-midis du genre et le pays compte pas mal de productions spécialisées dans le domaine et pour lesquelles Desi à évidemment bossé, comme Splatbukkake et UK Porn Party. Ses partenaires de jeu sont souvent les mêmes : Gigi Rouge, Chanella Wella, Meghan Labelle, Rebecca Curves et sa grande copine Luiza Voss.  

Parce qu’elle a un style bien à elle

Avec ses grandes lunettes et son style un peu suranné, Desi n’a pas le profil type de la gonzo girl hardcore. Et pourtant… Un petit coup de make up, un déshabillé sexy et voilà qu’elle devient une vamp très sexy, dotée d’un superbe 90D naturel. « Si j’ai choisi Mouse pour aller avec Desi, c’est parce que je suis quelqu’un de très calme et discret. C’est la caméra qui fait ressortir mon côté lubrique », explique-t-elle sur X, avant d’enchainer : « Si je jouis assez fort, je deviens une bimbo qui perd la tête. Pour être honnête, je préfère oublier mon diplôme et ma formation pour sucer des b…. pour le restant de mes jours. Et contrairement à d’autres, je ne simule jamais. Pas besoin ». Elles ont de la chance, les productions de la perfide Albion.

Parce qu’elle vit à Birmingham

Desi est née et vit à Birmingham, dans les Midlands de l’Ouest. Mine de rien, il y a pas mal d’actrices qui stationnent dans cette ancienne cité du textile. Il y en a même qui y déménagent comme la néerlandaise Melody Pleasure. Étonnant, oui et non, quand on connait un peu la ville et celles de sa grande banlieue comme Wolverhampton, Walsall ou West Bromwich. Les mœurs très légères cohabitent avec le communautarisme culturel, social et religieux. L’Angleterre dans toute sa splendeur et sa misère. Dans une telle contrée, qui compte en plus 150 jours de pluie par an, Desi est un rayon de soleil. 

Parce qu’elle fait dans la surenchère

Desi a tourné sa première scène en décembre 2022. Pour l’instant, de l’amat’, des scènes de groupes, des bukkakes, de l’intergénérationnel et de l’interracial avec la granny Lacey Starr. « Je suis une grosse coquine obsédée par la queue, qui aime le sperme et a besoin d’orgasmes pour survivre ». Les termes ont été édulcorés. Desi est bien plus cash dans ses mots… De son propre aveu, elle est encore en apprentissage. Sa grande préoccupation du moment ? Ses trous. « Un de mes buts personnels est l’élargissement de mes orifices. Qu’est-ce que je travaille dur là-dessus ! Récemment, j’ai réussi m’enfoncer une canette d’energy drink dans la chatte. Je dois encore plus travailler sur mon anus aussi. J’y enfonce déjà quatre doigts, voire cinq si je suis très excitée », conclue-t-elle sur X. Avec Desi, la montagne n’accouche vraiment pas d’une souris…

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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