Actrices
Ameena Green. L’or vert

Sur la pointe des pieds, mais en string quand même, Ameena fait son trou. Beauté aux multiples origines, la jeune femme de 26 ans ne fait jamais la gueule et accomplit des scènes intenses. Typée, galbée et vicieuse, la native de Chicago a aussi l’esprit carré. Une bonne nouvelle dans l’idée de la voir durer.
Ameena Green : une sublime blasian
Aux States, ils ont un qualificatif pour tout. Ainsi va pour les métisses afro-asiatiques, baptisées blasians, contraction de black et asian. S’ils en sont arrivés là, c’est qu’il y en a de plus en plus à pornoland. Toutefois, à bien y regarder, elles sont peu à être d’authentiques blasians. Elles sont soit l’une, soit l’autre, mais profitent d’un attribut physique prononcé pour jouer sur l’ambiguïté et se réclamer des deux origines.
Kazumi, par exemple, n’est pas black, mais ses formes n’ont rien de commun avec l’idée que l’on se fait d’une Chinoise. À l’inverse, la Nigériane Lily Starfire a les yeux en amande, mais aucune ascendance d’Extrême-Orient. On peut en citer davantage, comme Alexis Tae, Nia Nacci ou Naomi, que les prods se plaisent à ranger dans cette nouvelle catégorie.
Ameena, quant à elle, est une vraie blasian. Malaisienne et afro-américaine pour être précis, comme elle le confie au micro de The Bougie Show l’année dernière. À l’écouter, elle se sentirait même plus afro qu’asiatique. « Mes deux parents sont métis, explique-t-elle à l’émission The Boogie Show sur Youtube. Ils nous ont élevés avec la conscience que nous étions des personnes de couleur, en nous faisant découvrir Malcolm X par exemple. En ce sens, je me sens black et j’ai eu envie d’étudier là-dessus. J’ai un diplôme en arts dans les sciences de l’éducation avec une mineure en études africaines et latines ».
Son choix d’entrer dans le porno
Née à Chicago et toujours basée là-bas, cette fine connaisseuse du mouvement Black Lives Matter est une jolie surprise. Si personne ne l’attendait, elle est ravie d’être là. D’ailleurs, elle serait tombée dans le modeling comme ça, par hasard. La graine aurait été semée en matant une interview de l’actrice Teana Trump, qui l’aurait encouragée à publier des photos coquines, puis elle aurait germé quand elle a été contactée par l’agence Hussie Modeling sur Twitter, à la rentrée 2022. « Je n’avais pas d’autre choix que de trouver un petit boulot en parallèle à ma réinscription à la fac. J’aurais pu m’occuper des enfants, mais je n’aime pas le système éducatif, et puis surtout, j’aime avoir la liberté de fixer mon emploi du temps. Rien que d’échapper au 9 heures – 17 heures me rend heureuse ».
Du striptease au MMA
Ameena Green n’a pas non plus travaillé très longtemps aux horaires de Madame tout le monde. À 26 ans, elle a passé six ans sur les podiums des clubs de striptease de l’Illinois et de l’Iowa et presque autant à se toucher pour des pépètes devant sa webcam. « Je suis très casanière. Mes journées sont toujours identiques : je me détend, je prends une douche, je mange, je vais à la gym. Je m’allonge et je mate une série ou un animé. Ensuite, je fais l’amour ou du contenu. Et un soir sur deux, j’ai mon entraînement de MMA ».
Difficile d’imaginer qu’Ameena puisse prendre plaisir à se faire abîmer le minois en ground and pound. Mais à l’écouter, le MMA offre une soupape de sécurité efficace. « Je suis encore en phase de découverte, mais je suis bonne en striking, lâche-t-elle avec le débit d’une mitraillette au micro du Boogie Show. J’explore mes limites, ce que je suis capable de faire et d’endurer. Je ne mettrai pas au même niveau un tournage et un combat, sauf peut-être en termes de stress, même si maintenant, je ne stresse plus avant une scène, alors que pour un combat, je stresserai toujours ! ».
Une artiste toujours victime du trac
Malgré le travail qu’elle fait sur elle, Green reste une grande nerveuse. « Je suis même paranoïaque ! Si j’ai réussi à faire du striptease toutes ces années, c’est parce que je savais qu’il y avait des caméras partout. J’ai besoin de me sentir à l’aise pour m’exprimer. Si j’entends des choses négatives sur des gens de la part d’amis à moi, je les inscrirai sur ma no-list et je ne travaillerai pas avec eux ». Spécialiste des creampies, Ameena n’est en revanche pas disposée à performer en anal. « J’ai dit à mon agent que je voulais faire du Tushy, termine-t-elle au micro. Il m’a dit tu fais de l’anal ? Et là, j’ai compris… Mais je suis une queen size ! J’aime travailler avec des performers bien montés, mais mon cul, non, il est beaucoup plus sensible que mon vagin ». Être obligée, c’est mourir, alors Ameena vit et se lève aux heures où elle a envie.
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