Le Tour du Monde de Jacquie & Michel Élite

J&M Élite diversifie ses productions pour mieux élargir vos possibilités de choix dans les styles de vidéos X. Cette qualité passe par des tournages plus réguliers à l’étranger, de nouvelles mises en scène dans des lieux plus variés et la découverte de nouvelles stars du X.

Jacquie & Michel Élite à Prague

Pour ce premier volet de reportage à l’étranger, nous avons pris un gros avion pour aller en République Tchèque, dans une des deux capitales incontournables (avec Budapest, en Hongrie) des productions X en Europe de l’Est, où les filles sont si jolies. Dans un magnifique manoir sis à 60 kilomètres du centre-ville, tandis que les actrices passent nous saluer avec leurs sourires coquins et que Mike Angelo place une plaisanterie ou deux pour les faire rire, nous nous installons confortablement dans des fauteuils clubs un peu à l’écart des plateaux en attendant Pierre Reinhard, le fameux réalisateur suisse de 65 ans qui fêtera ses 40 ans de carrière l’année prochaine. Rencontre avec une figure mythique du milieu et un vrai professionnel du cinéma.

Peux-tu nous raconter ton parcours dans le monde de la pornographie jusqu’à J&M Élite ?

J’ai débuté dans le cinéma traditionnel successivement comme stagiaire, premier assistant, monteur, chef monteur et régisseur, ce qui m’a permis d’obtenir une carte professionnelle du CNC [Centre national de la cinématographie, aujourd’hui renommé Centre national du cinéma et de l’image animée, ndlr], beaucoup de mes confrères actuels ne l’ont pas… J’ai débuté dans la pornographie par hasard. Un jour, un producteur m’a proposé de me financer mon premier film, c’était en 1977 et ce fut un succès phénoménal. Plusieurs autres m’en ont commandé par la suite… Depuis, j’ai dû tourner pas loin de six cents films, dont sept traditionnels.

Qu’est ce qui change entre un tournage Élite et celui d’une vidéo classique J&M ?

Ce sont deux lignes complètement différentes, incomparables. Les tournages amateurs ne sont pas pour tout le monde, je ne m’y sentais pas à l’aise. Depuis, la marque, qui se diversifie, m’a proposé ce projet avec un bon budget et une grosse équipe technique.

De quoi parlent les deux films que tu tournes en ce moment ?

Clitoridia est parti d’un fait divers réel qui eu lieu il y a pas mal d’années, quelque part en Europe et qui fit l’objet d’un procès. « Avocate pour… Taulards » se passera également dans le milieu de la justice.

Anna Polina fait partie de ce tournage. Quel rôle va-t-elle jouer ?

Ce n’est pas ma première expérience avec Anna, qui joue le rôle de l’avocate Samantha, je l’apprécie beaucoup pour son professionnalisme, sa qualité de comédienne, ainsi que sa disponibilité et sa grande gentillesse, j’avais tourné avec elle dans mon précédent film pour Canal+ (Bacchanales).

Peux-tu nous parler des actrices X que tu as recrutées ici ?

J’étais le premier à tourner à Budapest, juste après la chute du mur, et en République Tchèque depuis 1990. J’y tourne tellement souvent que c’est presque ma seconde patrie. Il y a tant de modèles, c’est incroyable ! Pour seulement 12 millions d’habitants, il y a cent fois plus de filles désireuses de tourner qu’en France, il faut dire que, proportionnellement à leur Smic local [Bulgarie : 215 €, République tchèque : 366 € en 2016, ndlr], elles sont beaucoup mieux payées ! De plus, elles sont jolies, fines, souriantes, disponibles et performeuses ! Et surtout, elles sont représentées par des agences très sérieuses, qui ont ici pignon sur rues, inscrites au registre du commerce et totalement légales !

Quels sont les autres avantages des tournages à Prague ? Notamment en matière de décors ?

Les décors sont plus accessibles et plus abordables qu’en France, mais surtout les gens y sont beaucoup plus ouverts et heureux de pouvoir louer leurs appartements, villas… et l’administration nous permet même de tourner dans des châteaux publics.

Clitoridia et Avocate pour… Taulards, de Pierre Reinhard. J&M Elite.

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