5 bonnes raisons de s’intéresser à Kayley Gunner

Rares sont les actrices à faire l’unanimité à peine arrivées. Kayley est de celles-là. À 24 ans, l’Hawaïenne donne l’impression d’être sur le circuit depuis des années. Outre ses prestas de haute volée et son physique gorgé de sève, elle a un parcours hors des sentiers battus. Présentation de cette graine de star en cinq étapes. 

Raison 1 : parce que Kayley a été Sergent dans l’armée

Gunner a servi cinq ans dans l’US Army, entre 2015 et 2020, avant de quitter la grande muette avec le grade de Sergent sous-officier. Fille de militaires de carrière, elle a marché dans les pas de ses parents qui bougeaient de caserne en caserne. Selon ses dires, ses supérieurs ne tarissaient pas d’éloges sur ses qualités au tir à la mitrailleuse lourde, pas le simple fusil d’assaut. Une machine qui doit peser dans les 50 kilos, munitions comprises. « J’ai fait beaucoup d’entraînements au combat, des parcours à ramper dans la boue ou grimper des murs avec l’équipement, témoigne Kayley à AVN. Jamais de maquillage. Parfois, ça me manque, même la boue me manque. C’était le jour et la nuit par rapport à ma vie actuelle, mais je suis très fière de cette période qui m’a construite ». 

Raison 2 : parce que Kayley sera (probablement) une superstar

C’est son agent, Ryan Kona de Motley Models, pourtant pas réputé pour sa tendresse qui en parle le mieux : « Elle est une des plus iconiques. Il n’y en a vraiment aucune autre comme elle. Elle est l’exemple même de la manière dont une pornstar doit se comporter et ce à quoi elle doit ressembler. Son parcours militaire lui a donné une grande confiance en elle. Kayley est une pornstar classique et c’est ce que nous voulons ramener dans cette industrie. Le X a besoin de mégastar, de noms qui soient connus dans le monde entier ». Sur les sentiers de la gloire, gagner un Oscar du porn en devenant la starlette de l’année en janvier serait une première date à marquer d’une pierre blanche pour Gunner.

Raison 3 : parce que Kayley a des formes exceptionnelles

K.G a un format assez ramassé, 1m63 pour 59 kilos, mais possède un bubble butt exceptionnel. De plus, elle s’est chargée de mettre sa poitrine au diapason via une augmentation mammaire que certains trouveront néanmoins tout juste passable pour rester gentil. Quoi qu’il en soit, Gunner est généreuse et ses courbes ont d’abord fait le bonheur des networks spécialisés dans l’interracial comme Dogfart, Blacked et Cherry Pimps. Tout le contraire de la spinner, de la girl next door ou de la suicide girl au corps saccagé par les gribouillis. 

Raison 4 : parce que Kayley est une surfeuse émérite

À l’âge de deux ans, elle atterrit sur l’île de Hawaï, à Oahu, dans le sillage de ses parents qui intègrent la base navale attenante. Une grande partie de sa jeunesse, elle la passe sur la plage et sèche les cours pour surfer dans les rouleaux de l’Océan Pacifique. Au fil de sa pratique, elle se fixe sur le longboard, la planche la plus traditionnelle, au surf ce que le Français est au billard. « J’aime bien me balader sur la board, glisse-t-elle. C’est très relaxant. Après, rester bloquée sous la planche est flippant quand les vagues sont au-dessus de vous. Vous avez intérêt à être un bon nageur et à savoir retenir votre respiration. Ça m’a probablement aidé plus que je ne le pense dans le porno, surtout à faire de bonnes gorges profondes ». 

Raison 5 : parce qu’à 24 ans, Kayley a déjà tout d’une MILF

Avec son look sophistiqué à l’ancienne, on oublierait que K.G n’a que 24 ans, d’autant qu’elle a déjà fait face à des problématiques de vieux, comme un divorce, vécu juste avant de se lancer dans le X. Pour Dave Rock, le patron de son agence, elle est bien plus mature que les jeunes femmes de son âge. « Elle sait comment prendre soin d’elle et se mettre en avant, explique-t-il. Elle inspire beaucoup de respect aux personnes qui l’entourent ». Kayley Gunner est une femme de tête qui voulait protéger les pornstars avant d’en devenir une elle-même. Une démarche curieuse qu’elle explique dans une interview à Austin King : « J’ai écrit à Abella Danger pour devenir son bodyguard. Elle m’a répondu et m’a demandé si j’étais prête à me rendre à Miami. Je l’étais, mais on en est restée là. Tant mieux ou je ne serais surement pas celle que je suis maintenant ». Ces qualités d’encadrement sont parfaites pour jouer les matrones avant l’heure. Et pour peu qu’elle se mette à l’anal, ça ne saurait tarder, elle deviendra une adversaire potentielle pour Angela White. D’ici là, il y a encore une bonne trotte au pas de l’oie.