Années 80 : naturellement gros seins

Les années 80 ont été un tournant qui a préfiguré l’explosion des 90’s. Les implants mammaires ont commencé à grossir tandis que les permanentes et les touffes s’affichaient de plus en plus réduites. Comme les vestiges d’un temps pas si lointain, les actrices à l’ancienne ont lentement disparu pour ne laisser place qu’aux souvenirs et celui le plus marquant est celui de leurs collines sacrées. Flashback. 

Jacqueline Lorians

Surnommée le French Fox (le renard français), Jacqueline Lorians est une quasi-inconnue pour le public français par rapport à Brigitte Lahaie, ses 150 films ayant tous été tournés aux States. Mais plutôt que la Normande, c’est la Parisienne qui mérite ici les honneurs. Certes, les seins de Jacqueline n’étaient pas les plus gros (un délicat 85 E), mais ils étaient d’une forme parfaite.  

Little Oral Annie

Sa belle carrière s’étend pile sur la décennie et avec un tel blaze, il n’y avait pas de doute sur ses capacités de suceuse (Elle remporta le prix de la Meilleure Scène Orale pour Succulent en 1984). LOA fut néanmoins bien aidée par son volume thoracique de 95 F, l’un des plus imposants pour l’époque. Née Andrea Parducci, ses origines italiennes ne sont pas étrangères à ses attributs naturels.

Samantha Strong

Dès son arrivée en 1985, Sam remporte le prix de la Best New Starlet. En 88, l’actrice de Seattle devient une Vivid Girl. Le point d’orgue d’une carrière menée tambour battant à travers des films classiques comme Billionaire Girls Club, Merry X-Miss ou Only The Strong Survive. Après avoir mis sa carrière entre parenthèses en 1992 pour des raisons conjugales, elle raccroche définitivement les crampons en 1999.

Taija Rae

De 83 à 93, Taija est apparue dans 200 films et le magazine Hustler la classa même dans le Big Four des stars de l’époque. Nommée au titre de Meilleure Actrice aux AVN Awards de 88 pour son rôle dans Inner Blues, la native de Philly avait un tour de poitrine qui oscillait entre 95 et 100. Combiné à son visage enjôleur, cet attribut contribue largement à la trace qu’elle a laissée dans l’histoire du X.  

Kay Parker

Kay et son rack de légende sont apparues dès 1977 dans Sex World. Elle avait 33 ans, ce qui n’avait rien d’incongru à cette période alors que ce serait considéré comme tardif de nos jours. Précurseur dans les rôles de belles-mères mammaires, la Britannique devint populaire grâce à ses prestations récurrentes dans la série la plus polémique du X à partir de 1980 : Taboo du génial Kirdy Stevens. Rien de plus normal : elle campait merveilleusement les divorcées lubriques et alcoolisées.

Ebony Ayes

Ebony est une des premières représentantes de l’afro porn à une époque où le porn commençait à exploiter à fond les stéréotypes communautaires. Après ses débuts en 1985, on la retrouve dans une collection de films centrés sur les grosses poitrines, notamment The Godmother, Duel Of The Bustlines et Black Chicks In Heat. Elles avaient des seins si gros (un 36 JJ US) qu’on ne peut même pas trouver un bonnet français équivalent. 

Erica Boyer

Si ses débuts remontent à 74, c’est en 79/80 qu’elle passe la seconde, arrête de ne tourner que des scènes lesbiennes et rentre sur le circuit hétéro. Bien lui en a pris. Aux côtés de Seka, Christy Canyon et Vanessa Del Rio, Erica Boyer deviendra une des actrices les plus emblématiques du Golden Age. Ses prestations les plus notables sont Nothing to Hide, Palomino Heat et Young Girls Do.

Keisha Dominguez

La latina démarre une carrière en 1985 et ce n’est que 23 ans et 400 films plus tard qu’elle la bouclera avec son inscription au Hall Of Fame. Elle affichait un 95 E démoniaque qui était en adéquation avec son fessier, le tout 100 %. On peut la retrouver dans des grands classiques comme Cabaret Sin, Soft Warm Rain et Pretty Peaches 3.