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Cinq bonnes raisons de s’intéresser à Blondie Bombshell

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A la vue de Blondie, les anciens se rappelleront la grande Frida de Düsseldorf dont elle revendique l’héritage. Créature customisée, la Teutonne est arrivée par la grande porte aux States sans passer par la case Europe. A-t-elle les moyens de ses ambitions ? Assurément, mais il faudra revérifier brevets, licences et garanties pour chaque pièce… 

  1. Parce qu’elle perpétue la tradition allemande

Pommettes, paupières, lèvres, poitrine, fesses… Rien n’est d’origine chez Blondie, tout est passé sous le bistouri. Des upgrades clivantes, forcément, mais réussies pour qui apprécie le style de l’ultra-bimbo blonde tout droit sorti des 90’s, un style qui a longtemps caractérisé les starlettes outre-Rhin. « J’aime mon corps et mon sex-appeal, explique l’Allemande à AVN. Je sais que j’ai du charisme et que mon apparence rend les hommes complètement fous ». Au niveau des tatouages, Blondie fait dans l’outrance, là-aussi. « La plupart de mes tatouages n’ont aucune signification particulière. Les tatoos, c’est comme une mode, un style, sauf que c’est pour la vie ». Bouleversifiant comme dirait l’autre. Gonflée par la confiance, Blondie s’est démerdée pour débarquer aux Etats-Unis par ses propres moyens : « J’ai pris l’avion seule pour l’Amérique ». Elle aurait pu voyager sous l’aile depuis l’Allemagne. A 31 ans, Blondie Bombshell est à la pointe de l’aérodynamisme. Le père des fusées, Werner Von Braun en serait très fier. 

  1. Parce que c’est une sacrée performeuse 

« Blondie veut atteindre le sommet de cette industrie ». La fausse modestie n’est pas le genre de la maison. Comment lui en vouloir ? En effet, ses prestations sont à la hauteur de ses ambitions, même si elles ne sont pas légion. En une vingtaine de scènes pour certaines des compagnies les plus prestigieuses comme Bang Bros et Elegant Angel, B.B a montré l’étendue de sa palette : creampie, faciale, boobjob, interracial… « Le plus dur est de rester fidèle à soi-même et ne pas finir noyée dans le courant, explique-t-elle, mais j’ai une bonne carapace de ce monde compétitif et plein d’envieux. Mon rêve serait d’être signée en exclusivité par Brazzers. Ils affichent toujours des costumes et des situations marrantes. Et puis, je pense avoir les attributs pour ». On a bien compris que la Teutonne est une caricature d’Alain Delon, parlant d’elle à la troisième personne, mais elle sait heureusement faire preuve d’autodérision, se qualifiant elle-même de « patate allemande ».

  1. Parce qu’elle est une domina chevronnée

Blondie a les moyens de vous faire parler. « Comme j’ai une personnalité « dominante » et de l’expérience je n’ai pas peur de m’affirmer et mettre les pieds dans le plat quand quelque chose ne me convient pas. Pendant des années, j’ai été dans le monde du sexe du sexe en tant que maîtresse dominatrice et bizarre lady. C’était très excitant ». Bizarre lady… un terme équivoque et fourre-tout, mais connoté au niveau esthétique : bondage, latex, ballbusting et chaises percées… Les deux seuls mâles qui prennent le dessus sur elle sont ses chihuahuas qui ne la quittent jamais.

  1. Parce qu’elle roule en Mercedes AMG GT 63 S

Non contente d’être profilée comme la monoplace de Hamilton, la grande Allemande (1m78) est aussi l’heureuse propriétaire d’un bolide de la même marque à peine moins cylindré : une AMG GT 63 S. Affiché à partir de 210k€, sellerie cuir de série, le V8 biturbo de 639 chevaux est l’une des voitures de série les plus puissantes du monde. « J’ai travaillé comme hôtesse dans des business conventions pour de grands constructeurs automobiles. J’aime l’action et les voitures rapides. J’aime les trucs de mec en fait comme le quad, le tir et la bouffe ! » Installée du côté de Miami quand elle vient aux Etas-Unis, elle rêve d’être résidente permanente et pourrait largement s’épanouir au Texas. Le gallon d’essence affiche les prix les moins chers du pays.

  1. Parce qu’elle était derrière la caméra avant d’être devant

Blondie est diplômée en Allemagne. De quoi, on ne sait pas, mais le fait est qu’elle est devenue coiffeuse et maquilleuse par la suite. Au bout de quelques années, s’occuper de la tête des autres l’a gonflé. « Je voyais l’envers du décor et j’avais toujours voulu être devant la caméra. Alors j’ai fait un peu de télé en Allemagne, de la téléréalité et des programmes de nuit ». Des programmes de nuit qui sont, en Allemagne, des tirages de loto virtuels avec une bombes sexy pour faire le passe-plat. « Par la suite, j’ai trouvé ma place dans la domination avec en point de mire l’objectif de travailler pour les plus grandes compagnies porno du monde. Pour moi, ça représente plus qu’un simple job ». Définitivement, Blondie est pro jusqu’au bout des griffes.

Journaliste professionnel depuis 2003. Rédacteur du magazine Hot Video de 2007 à 2014.

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