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5 bonnes raisons de s’intéresser à Demi Hawks

Demi Hawks est une curiosité dans la lignée des Lupe Fuentes, Kenzie Reeves et Piper Perri. A 24 ans, la Newyorkaise affiche une taille berlingot et d’autres caractéristiques liées qui la rendent assez unique. Comme il y a fort à parier qu’elle ne fera pas carrière jusqu’à la quarantaine, autant en profiter.
Parce que sa voix est particulière
Ce que Demi Hawks écrit dans sa bio Twitter est intrigant : « Oui, c’est ma vraie voix ». Pour une fois, la curiosité d’entendre est au moins aussi forte que celle de voir… Et en effet, le son de sa voix est assez hallucinant. Il est aigu comme si la miss sortait directement d’un manga. Dans le même temps, elle s’amuse à souvent chuchoter, ce qui la rend sensuelle ou… malsaine suivant le point de vue. En tout cas, elle a bien compris les mécaniques du sugar daddy, car sa voix est peut-être la sienne, mais elle l’accentue et en joue largement. Sur ce point, certains la trouveront horripilante, d’autres seront envoutés…
Parce que tout est petit chez elle
Affichant 1m50 pour un poids indéterminé, mais que l’on devine vraiment peu élevé, Demi Hawk est une pornstar de poche. Dans le jargon du X, elle entre dans la catégorie des « spinners » ou toupies en français. Souvent, elles font des carrières éclairs, car leur physique s’accomode mal du temps et se prête peu aux rôles de belles-mères confiés à d’opulentes milfs. Toutefois, elles laissent une empreinte mémorable, à l’image de Piper Perri, ses 37 kilos et son mètre 45 ou Kenzi Reeves, ses 41 kilos pour un mètre 47, la plus mémorable demeurant la Colombienne Lupe Fuentes alias Zuleidy qui a fait le bonheur des branleurs dans les années 2010. Ses dimensions hors normes, Demi s’en plaint parfois : « C’est un combat, livre-t-elle sur Twitter. Je ne trouve rien qui m’aille. Le pire, c’est pour les chaussures et c’est malheureusement ce que j’aime le plus ». Elle fait l’équivalent de 35-36, niveau pointure, pas simple donc de trouver du stock chez Jimmy Choo et Louboutin.
Parce qu’elle cherche un mec qui a le sens de l’humour
« Si tu as le sens de l’humour, je retire ma culotte ! Rire, c’est vraiment important pour moi. C’est la meilleure manière de me mettre en confiance, raconte-t-elle à Adult Talk. À côté de ça, je recherche quelqu’un qui présente bien. J’aime bien le look poivre et sel ». Pas besoin de faire un dessin, on en revient toujours aux sugar daddies. Chez les filles, elle cherche la même chose, les gros seins en prime. Avertissement tout de même : on ne dirait pas comme ça, mais l’élu(e) devra composer avec le caractère bosseur de Demi. « Je suis une work-a-holic (NDLR : une droguée du boulot). Je ne m’accorde pas beaucoup de temps libre. Dès que je le peux, je produis du contenu ». Il pourra l’attendre en caressant Mars, son chat bengal d’un an.
Parce qu’elle distille de bons conseils
Demi communique, ce qui est une bonne chose. Plus de transparence, d’infos et de retour d’expérience que la Newyorkaise de 24 ans partage avec ses fans. Elle confie à Xbiz : « C’est une industrie très compétitive qui ne manque pas de beaux modèles, mais l’apparence ne fait pas tout. Mes fans m’aiment parce que je leur montre la personne que je suis. Je suis authentique et spontané (...) Il y a peu de temps, j’ai fait l’erreur de confier mes réseaux à quelqu’un d’autre. La gestion a été catastrophique, malhonnête même. J’ai payé pour apprendre. Maintenant, je fais ce que je veux, quand je veux ». Et Demi Hawks ne fait pas n’importe quoi, surtout avec son flouze. On me demande ce que je fais avec comme si j’achetais n’importe quoi. Je mets mon argent sur des comptes épargne, c’est tout ». Demi n’a rien d’une écervelée.
Parce qu’elle a étudié la photo et le graphisme
Née et élevée dans la banlieue de New-York, la blondinette a eu le temps de valider un diplôme en Arts avec une spécialité photographie. « J’ai des compétences dans la prise d’image, la retouche et l’édition, une compréhension de la lumière et de la composition d’une image. J’ai un œil artistique qui m’est très utile désormais. Je suis à l’aise des deux côtés de la caméra ». Ironie de l’histoire, sa formation artistique fut financée avec l’argent du… striptease. Dans ce milieu interlope où sa souplesse fait merveille, elle est enfin considérée. « Je ne me suis jamais sentie à ma place dans le milieu professionnel, enchaine-t-elle à Xbiz. On ne m’a jamais prise au sérieux. Dans le striptease et le porno, ce qui me rend différente est mis en avant. Mon besoin de focaliser l’attention est comblé ». Demi Hawks : demi-portion, mais pas demi-actrice.
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