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Charli Phoenix renait de ses cendres

Ce qu’elle est à l’intérieur, se voit à l’extérieur. Un slogan de pub de 35 ans pour une beauté du même âge. Car Charli est une belle personne à la vie bien remplie. Si elle se définit avant tout comme une soccer mom, elle n’étouffe pas ses envies de sexe qui l’ont amenée dans l’industrie depuis trois ans.
Une adepte du sexe
Les trajectoires de vie changent souvent suite à un grand chagrin. De temps en temps, elles se confirment. Avant le décès de son mari en 2015, Charli Phoenix s’enjaillait déjà bien dans la chambre à coucher. « Quand mon mari était en vie, nous faisions passer plein de copines chez nous, confie-t-elle à Adult Talk. On avait une vie sexuelle débridée. On vivait dans la Bible Belt (NDLR : une région des States), donc on ne pouvait pas en parler, mais c’était hush hush (NDLR : Top secret).» À Wheeling, cinquante kilomètres au Sud-Ouest de Pittsburgh, Charli chasse sur ses terres natales avec son amour de jeunesse comme complice et époux. La vie rêvée pour beaucoup. « On s’est connu à 16 ans et marié à 22. On était si jeune ! Je ne le laissais pas choisir les filles, c’était moi qui décidais. Si c’était à refaire, je serais beaucoup plus souple, mais à 22 ans, c’était : si c’est elle que tu veux, elle ne rentrera pas à la maison avec nous ! »
Le deuil de son mari
Quand survient la disparition, la jeune veuve ne se sent pas de rester dans un l’environnement qu’elle partageait avec son bien-aimé. « J’ai acheté deux tickets de loterie, un pour lui, un pour moi, et j’ai gagné 10 000 $. J’ai refait mon corps avec et je suis partie ». Elle met le cap sur l’Arizona, à l’autre bout du pays. « J’étais totalement déboussolée. Pendant cinq ans, je ne suis sortie qu’avec des femmes. Elles sont difficiles. Jolies à regarder, mais difficile à vivre. J’oscillais d’un extrême à l’autre, une fois une prof de yoga, une autre fois, une capitaine de l’armée. Le jour et la nuit, mais je recherchais toujours une forme d’énergie masculine, comme si je ne voulais pas trahir mon mari. Quand j’ai recommencé à sortir avec des hommes, je me suis sentie mal. J’ai détesté. C’est un peu par défaut que j’en suis venue à l’idée de créer un compte OF, là où mon agent actuel m’a repérée ».
Effectivement, son style bien à elle attrape le regard. On la dirait sortie d’une série des décennies 80-90, genre Melrose Place. Une période qui a été jusqu’à inspirer son nom. « Je n’ai vu le film Top Gun qu’en 2020. Je trouvais qu’avec sa vibe des années 80, ses cheveux courts, la prof était la femme idéale et elle s’appelait Charli (NDLR : Charli-e dans le film). Et comme le phénix, j’ai renait de mes cendres ».
Un petit bilan pour Charli
Avec une soixantaine de scènes à son actif, Charli n’a pas campé dans la Porn Valley. Sa vie de famille passe avant tout. Et puis comme elle le dit : « se prendre une queue de performer tous les jours n’est pas fun ». Sur la pénétration anale, Charli a le discours le plus franc possible. Elle est même dans l’Atlas de la maladie hémorroïdaire du grand proctologue Roland Copé. « Quand j’étais enceinte, j’ai subi une hémorroïdectomie car je saignais beaucoup. J’ai gardé une cicatrice. Que se passerait-il s’il y avait du sang sur un tournage ? C’est impensable, enchaine-t-elle à Captain Jack d’Adult Talk. Ce n’est pas que je ne veux pas, mais il faut trouver une solution médicale. Mon médecin m’a dit qu’on pouvait envisager de faire des injections de botox pour détendre les tissus et rendre l’anus moins serré ». C’est bien la première fois que l’idée d’une telle intervention nous revient aux oreilles et elle fait froid dans le dos.
Plutôt dominante que dominée
Laisse ton anus tranquille, Charli ! Ton bonnet double D suffit déjà amplement et pour peu que tu continues d’offrir des squirts aussi spontanés sur les tournages, une communauté te suivra. « Quand je squirte, je ne contrôle plus rien. Je peux voir des étoiles et presque m’évanouir ! Parfois, je dois même demander d’arrêter la scène pour me faire gicler dans la salle de bain ». En bunny, sa position favorite, sur le dos et les jambes derrière la tête, elle n’a nul besoin de se forcer. Le plaisir est instantané. Toutefois, elle ne se mettra pas dans cette position pour le premier venu. « Je suis très, très dominante. Je ne switche pas comme ça. Le mec a intérêt d’être sacrément viril ». Et Charli a une conception old school de la virilité, au moins du point du vue physique. « Ma sœur dit que je suis une chasseuse de graisse ! Mon mec idéal est plutôt petit et avec des poignets d’amour. J’aime les épaules larges et le style lutteur ». Sans doute le portrait plus fidèle de son défunt époux, dont le souvenir est naturellement encore très fort dans le cœur de Charli. « S’il était encore là, il me dirait : tape m’en cinq et fonce ! » .
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